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Extrait ajouté par ilovelire 2017-02-13T21:50:30+01:00

Jay termina sa bière, fit un signe de tête au barman qui fit semblant de ne pas le voir et s’en fut dans la grande salle où les gens s’apprêtaient à partir. Il aperçut Clem Rogers, le saxophoniste de l’orchestre qui rangeait son instrument. Il connaissait très bien Rogers.

Il retira son chapeau du vestiaire, sortit et attendit Clem une dizaine de minutes. Il marcha derrière lui et ne l’accosta qu’une fois arrivé dans la grande rue. Rogers eut l’air surpris de le voir.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-02-13T21:50:11+01:00

Jay arriva au Club « 22 » vingt minutes avant la fermeture. On y dansait beaucoup et on y buvait ferme. Il alla directement au bar. Le barman lui jeta un coup d’œil et du pied actionna une sonnerie qui retentit dans le bureau de Grantham. Il eut pour Jay un sourire professionnel, et lui demanda ce qu’il voulait boire. Jay commanda une bière.

Au même moment Benny Perminger fit son entrée, tout en sueur. Il commanda un double whisky et parut enchanté de voir Jay.

— B’soir, Olibrius, fit-il, tu bois de la bière ? Ça la fiche mal dans une boîte comme le « 22 », tu sais !

— J’ai pas besoin de m’en faire, répondit Jay d’un ton sérieux en lui serrant la main. Nous autres, journalistes, on n’est pas comme tout le monde. Et les voitures, ça va ?

Benny secoua la tête.

— Plus que mal, répondit-il. Trop de concurrence. C’est pas de blagues, mon vieux, j’arrive tout juste à joindre les deux bouts et c’est dur.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-02-13T21:50:01+01:00

Ainsi, ça n’allait pas, être facile, comme il aurait pu s’en douter. De plus, il était très probable que Mendetta, s’il avait des gardes dehors, en eût d’autres à l’intérieur.

Raven s’en alla, la tête en avant, la mâchoire serrée, ses lèvres minces pincées. Il savait que Mendetta ne pourrait lui échapper et que ce n’était qu’une question de temps.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-02-13T21:49:53+01:00

Elle le quitta, les genoux tremblants, le haïssant de tout son être. Elle traversa la chambre, tira les rideaux et, appuyée sur le rebord de la fenêtre, contempla la rue qui s’étalait sous ses yeux. Il lui fallut quelques instants avant de reprendre son calme. Si Mendetta, à ce moment-là, avait pu voir l’expression de ses yeux, il se serait senti mal dans sa peau. De toute façon, avec sa manière de ne pas faire attention à ses sentiments à elle, il ne faisait que préparer ce qui devait arriver un jour.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-02-13T21:49:44+01:00

Le flic s’avança jusqu’à l’entrée de l’allée et Raven put le voir regarder négligemment dans l’obscurité, ôter sa casquette et s’éponger le visage avec un immense mouchoir blanc. La nuit était chaude. Planté là, à rêver d’un demi bien frais, il ne se rendait pas compte que Raven attendait son départ avec impatience. Finalement, remettant sa casquette, il partit dans la direction des lumières brillantes du bistrot où il pourrait se taper tranquillement un verre.

Raven lui laissa quelques secondes avant de s’avancer et d’inspecter la rue. Ne voyant rien d’inquiétant, il redressa les épaules et émergea à la lumière des réverbères.

Dans son appartement, Mendetta s’amusait à faire une réussite, un cigare entre ses grosses lèvres et un verre de whisky près de lui.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-02-13T21:49:33+01:00

Au coin de la rue, un flic musait en agitant machinalement son bâton.

Raven l’aperçut au débouché de la ruelle et recula précipitamment dans l’ombre. Des jurons lui vinrent à l’esprit et sa mince figure de loup se plissa de rage impuissante.

Le flic flâna jusqu’au tournant, hésita, puis recommença à arpenter la rue. Raven se recula dans la ruelle, s’enfonçant dans l’ombre protectrice. Il allait le laisser passer. En face, de l’autre côté de la rue, il pouvait voir le large immeuble de rapport avec ses centaines de fenêtres brillamment éclairées. Au sixième étage, Tootsie Mendetta avait sa suite de six pièces, et de sa place Raven voyait ses fenêtres.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-02-13T21:49:07+01:00

Jay Ellinger était assis derrière son bureau en désordre ; le chapeau sur la nuque, une cigarette aux lèvres, il griffonnait sur son sous-main. Son article fini était déposé dans une corbeille ; il n’avait plus rien à faire. Mais il ne se pressait pas de quitter son bureau. Il restait là, à griffonner et à fumer.

Le téléphone intérieur sonna et il le considéra sans enthousiasme.

— T’es verni, mon p’tit pote, dit-il en décrochant le récepteur, deux minutes de plus et tu me manquais.

Dans l’appareil, une voix de femme lui dit :

— M. Henry veut vous voir.

Jay fit la grimace.

— Dites-lui que je suis parti chez moi, suggéra-t-il précipitamment.

— M. Henry m’a dit de vous appeler chez vous si vous étiez parti.

— Qu’est-ce qui se passe ? Un incendie monstre ou quoi ?

— Vous feriez mieux de venir. M. Henry a l’air de très mauvais poil.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-02-13T21:48:49+01:00

— Emmenez-moi faire un petit tour, mon chou, demanda M me

Poison dès que la musique se fut tue.

Gerry Hamsley regarda la grande masse de chair ridée et eut froid dans le dos.

— La nuit est si chaude, vous ne trouvez pas ? poursuivit-elle en traversant la salle de danse. Ce sera bon d’être dehors dans la voiture… – Elle lui donna une petite tape sur le bras. –… avec vous…

— Oh ! oui, madame, répondit Gerry en s’épongeant le front.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-02-13T21:48:17+01:00

Joe ouvrit le loquet et tira à lui la petite porte du comptoir :

— Ça va, dit-il avec lassitude. Descendez. C’est une foutue blague et vous le savez aussi bien que moi, mais je veux pas prendre de risques. Une histoire pareille, ma vieille serait trop contente d’y croire.

Philips sourit :

— On y va, les gars, dit-il.

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Extrait ajouté par ilovelire 2017-02-13T21:48:05+01:00

La nuit était chaude, d’une chaleur d’étuve qui faisait ruisseler les corps et rendait les chiens fous. Il avait fait chaud toute la journée et même après le coucher du soleil, les rues étaient étouffantes. Philips du Saint-Louis Banner, un type grand et mince, avec des yeux mélancoliques et des cheveux en broussaille, était en train de se saouler dans un coin écarté du Club de la Presse. Franklin, un reporter de passage, lui trouvait l’air d’un poète raté.

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