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C'est facile de se moquer à l'abri de ses certitudes. Je lisais dernièrement dans la revue "Bretons" à laquelle est abonné Erwan : "À quoi sert de parler breton ?". Ma réponse est claire : comme pour la philosophie, ça sert à mourir moins con ! Allez, circulez, y'a rien à ajouter...

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À part l'odeur infecte à laquelle on peut s'habituer, pourquoi pas, quel plaisir, quel réconfort les humains peuvent-ils trouver dans ce genre de liquide ? C'est pour moi un des grands mystères de leur vie. Me revient une maxime bizarre : in vino veritas. Dans le vin est la vérité. "Quelle vérité ?" dirait Pirandello. Ah, mais non, suis-je bête... Oui ? Comment ? Vous dites ? Je n'aime pas beaucoup ce genre d'humour... C'est ça : quand les humains ont bu, ils disent la vérité. Nous n'avons pas ce genre de problème. Les... bêtes... puisque vous nous nommez ainsi, ne mentent pas. Nous avons cette belle qualité. Eh, oui... Un éclair illumine mon cerveau : pourquoi n'obligerait-on pas les instances humaines d'un pays à boire du vin avant chaque débat ? La vérité rayonnerait à travers les propos pour l'intérêt général ! Plus d'allusions perfides, plus de mensonges, plus de trahisons. Les discussions seraient claires et précises... J'ai quand même un doute en observant les trois spécimens sous mes yeux. Il faut que je réfléchisse.

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Morphologiquement, je ne peux pas mettre mes pattes sur mon front. Il n' empêche que je suis consternée.

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Comme disait Coluche :

"L'intelligence c'est pas sorcier, il suffit de penser à une connerie et de dire l'inverse."

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La rue du Chapeau Rouge n'est plus aussi fréquentée maintenant. Ce doit être le moment de la gamelle. Quelle espèce bizarre, les hommes !

Ils se sont donné des habitudes pour tout : leur travail, leur nourriture, leurs loisirs, leurs études... Ça se dépêche tout le temps, ça crie, ça déprime, ça a besoin d'un tas de trucs inutiles qui coûtent la peau d'un chat, même davantage.

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- Ma fi-fille ! Oh, la jolie fi-fille ! dit-il en se baissant et en me caressant plusieurs fois le dos.

Oui, je sais ; soyez indulgents, s'il vous plaît. Vous ne proférez jamais ce genre d'idiotie, en faisant semblant de vous extasier sur l'horrible poupon de la voisine ? Au moins lui, Erwan, est sincère.

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Ah ! Vous n'aviez pas réalisé ! oui, je suis une chatte. Mais pas n'importe laquelle. J'arbore une fourrure somptueuse comme tous les angoras de la race dite "Européenne". Mon panache, ma queue, est ma fierté. Mon homme, Erwan; m'appelle "sa jolie fi-fille". C'est d'un ridicule ! Je lui pardonne volontiers car je ressens de sa part une affection sans limites. Nous nous comprenons au moindre regard, et savons réciproquement dans quel état d'esprit nous nous trouvons.

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J’arrive là où la gouttière s’arrête, au rebord de la fenêtre du vieux… Miracle ! Elle est ouverte ! Je le sens à l’odeur du tabac qui s’en échappe.

— Miaou ! je crie, tonalité désespoir.

Rien ne se passe. Il dort peut-être la fenêtre ouverte.

— Miaou ! recommencé-je, un ton plus déchirant.

Toujours rien. C’est inquiétant.

— Miaou, bordel !

Là, c’est carrément la roue de voiture qui m’écrase la patte.

Une lumière s’allume ! J’ai gagné !

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