Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 827
Membres
1 013 950

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Allegra palpa sa parka du bout des doigts.

-Alors comme ça, tu avais aussi une veste épaisse dans le coffre de ta voiture. je suis impressionnée. tu sembles prêt à parer à toutes éventualités. Qu'est-ce que tu as d'autre dans ton sac de week-end? Un flacon de crème solaire? Un costume d'homme d'affaires?

Voyons voir. Il avait aussi un pistolet-mitrailleur MP5 9mm et six chargeurs, un fusil M24 et une boîte de munitions, un pistolet M9 et cinq chargeurs, un gilet et un casque pare-balles, des plats lyophilisés permettant de tenir deux semaines, cinq gallons d'eau, des jumelles de vision nocturne et un ordinateur portable relié à Satcom. Sans parler des explosifs illégaux logés dans le double fond de sa mallette à outils. Kowalski était expert en explosifs. il avait fait sienne la philosophie Seal selon laquelle il existait peu de problèmes qui ne puissent être résolus grâce à la charge adéquate d'explosifs.

Il avait enfin un kit médical d'urgence, des gants de tir en cuir extrafins, des vêtements adaptés à toutes les conditions climatiques possibles, et un équipement de plongée.

Et quatre boîtes de préservatifs.

-Pas grand-chose, répondit-il. Juste quelques bricoles. Je n'aime pas être pris au dépourvu.

Afficher en entier

Peut-on sentir l'immobilité? Douglas était un homme exceptionnellement calme, il ne s'agitait jamais et n'émettait pas de bruits parasites, mais là, il était d'une immobilité de statue. Allegra ne percevait plus sa présence, à croire qu'il s'était volatilisé.

L'instant se prolongea, Allegra la main sur la bouche, Douglas ayant apparemment disparu. Il n'y avait pas le moindre bruit dans la cuisine, pas même le bruit habituel des voitures qui passaient dans la rue. Le seul son qui parvenait aux oreilles d'Allegra, c'était celui de son cœur, qui battait trois fois plus vite que d'habitude.

Finalement, Douglas se décida à bouger.

Afficher en entier

Allegra se redressa, étourdie, bouleversée par le flot d'images qui venait de surgir dans son esprit depuis quelque recoin empli de ténèbres. Comme si un monstre avait soudain envahi son esprit.

Son cauchemar éveillé venait de prendre une dimension nouvelle - l'odeur. Les images s'estompaient déjà dans son esprit, refluant vers le gouffre infernal d'où elles avaient jailli, ne laissant que des débris épars sur le rivage de sa conscience, mais elle avait encore dans les narines l'odeur métallique du sang, et celle, fétide, de la mort.

Afficher en entier

Elle chercha vainement à localiser Douglas. Elle savait seulement qu'il était quelque part dans la pièce. Avec elle.

— Douglas, commença-t-elle d'une voix atrocement chevrotante, je vous en supplie, ne me laissez pas seule. Je ne le supporterai pas.

Il était devant elle. Sa grande main lui caressa les cheveux, puis il l'attira dans ses bras. Elle appuya la tête contre son torse, et sentit les mots vibrer sous sa joue tandis qu'il les prononçait.

— Bien sûr que je ne vais pas vous laisser seule.

Il resserra son étreinte.

— Aucune force au monde ne pourrait m'y contraindre.

Afficher en entier

« Kowalski veillerait à ce que Jacko soit disponible. Jacko était encore plus pénible à regarder que lui-même. Kowalski faisait au moins l’effort de s’habiller normalement. Jacko, lui, s’affublait de vieux sweat-shirts aux manches coupées, de jeans déchirés et de bottes avachies, le tout sans manteau, quel que soit le temps. Une tenue qui faisait presque aussi peur que ses tatouages de serpents, son crâne rasé et ses piercings aux sourcils. Si les gens détournaient le regard quand Kowalski entrait quelque part, ils changeaient carrément de trottoir pour ne pas avoir à croiser Jacko. Kowalski avait en lui une confiance absolue, et cela seul comptait quand la sécurité d’Allegra était en jeu. »

Extrait de: Lisa Marie Rice. « L'ombre de minuit. » iBooks.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode