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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-05-08T01:12:13+02:00

C’est à mon tour de parler, à toute vitesse. De lui parler et de le toucher, de lui faire sentir que notre rencontre me bouleverse, que ses paroles et sa présence me transportent. Il faudrait que je trouve les mots… j’ai malheureusement moins d’éloquence que lui… Je n’arrive pas à lui dire que je ressens des émotions qui m’étaient jusqu’alors inconnues. Que j’ai peur car jamais je n’avais rencontré un être aussi talentueux et brillant que lui. Que je suis terrifiée à l’idée de ne pas être à la hauteur. Que, quand tout cela s’arrêtera, ce sera pour moi une perte irréparable. Alors je l’embrasse à mon tour et me contente de lui répéter que je suis heureuse, que c’est lui qui me rend heureuse. Notre étreinte est fougueuse. Je perds toute notion du temps et de l’espace. Le monde a été réduit à l’odeur de David et au toucher de sa peau.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-05-08T01:09:29+02:00

Il m’attrape par la taille et presse mon corps contre le sien ; il hume mes cheveux.

– Je suis un homme égoïste, Louisa. Bien trop égoïste et sombre pour une jeune femme aussi lumineuse que toi. J’ai tellement peur de te blesser…

– Non David, non ! C’est moi qui suis égoïste ! Je devrais réussir à te faire sentir comme je suis heureuse d’être ici, avec toi. Tu ne me blesses pas. C’est même tout le contraire !

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Extrait ajouté par ilovelire 2016-02-08T16:36:09+01:00

Hein ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire, on ne dort pas ensemble ?

Je n’ai même pas le temps de rétorquer que David m’a déjà entraînée à l’autre bout du couloir. Il m’attire dans une chambre sublime aux murs ocre, avec un magnifique lit à baldaquin. L’épais tapis persan au sol recouvre des tommettes en parfait état. La cheminée dégage une agréable odeur de feu de bois. Un fauteuil club trône devant la bibliothèque en chêne garnie de livres anciens.

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Extrait ajouté par ilovelire 2016-02-08T16:36:05+01:00

À peine sommes-nous descendus du jet et foulons-nous du pied le tarmac de l’aéroport de Florence que je découvre deux voitures : une luxueuse berline noire digne d’un chef d’État et un coupé deux places Alpha Roméo – un superbe modèle datant des années 1960. David me demande :

– Tu la reconnais ? C’est la voiture qu’on peut voir à la fin du film Le Mépris, de Godard. Elle est pour nous deux. Gary conduira la berline.

Il s’adresse à son chauffeur :

– Gary, tu peux charger nos affaires dans ta voiture et aller ouvrir la maison ? Mademoiselle Mars et moi te suivons.

En nouant sur mes cheveux un carré de soie délicat qu’il sort de sa poche comme par enchantement, David m’explique le programme.

– Il y a un très bel hôtel pas loin de la maison. J’y ai pris une chambre pour Gary, comme ça nous aurons la propriété pour nous tout seuls.

Voilà qui n’est pas pour me déplaire… Et à en juger par le regard gourmand avec lequel David me couve, cette perspective ne le rebute pas non plus !

– J’espère que la Villa degli Umbri te plaira. Elle a été baptisée « la maison des ombres » parce qu’elle est protégée par du lierre et des pins parasols qui la gardent toujours fraîche.

« Villa des ombres… », voilà qui colle parfaitement à mon énigmatique amant. J’ose poser une question pour le moins indiscrète :

– Si tu aimes tant cet endroit, pourquoi ne l’achètes-tu pas ? J’imagine que tu en as les moyens ?

Mêle toi de ce qui te regarde, Louisa !

– Eh bien, pour commencer, la maison a déjà un propriétaire. Ou plutôt : une propriétaire.

Nous y voilà.

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Extrait ajouté par ilovelire 2016-02-08T16:35:45+01:00

Lorsque son intervention se termine, je suis maussade. Je n’aurais jamais dû venir avec lui en Italie. Je me suis complètement méprise sur le but de ce voyage. Je sors prendre l’air dans les jardins pour dissimuler mon chagrin. Au bout de quinze minutes environ, David me rejoint.

– Tout va bien, Louisa ?

Je lui réponds d’un ton qui se veut indifférent, mais ma voix est cinglante.

– Tout à fait, monsieur Fulton.

– Tu n’as pas l’air en forme. C’est vrai que ces rencontres avec les institutionnels et la presse peuvent être assommantes ! J’aurais mieux fait de te laisser te promener en ville. Tu aurais pu visiter Rome et me retrouver en fin d’après-midi…

– Oui, comme ça, tu aurais pu tranquillement signifier à Madame Vogue que tu es disponible.

Mais qu’est-ce qui me prend ? Ça ne va pas, de lui faire une remarque aussi déplacée ?

David accuse le coup. Il prend un air songeur et soupire :

– Je vois… Tu es en colère contre moi à cause de ce que j’ai dit à cette journaliste… Tu sais, je comprends que ce soit difficile pour toi de m’entendre tenir ce genre de propos à des inconnus. Mais je t’assure que mon but n’est pas de minimiser l’attraction que tu exerces sur moi ! Ma carrière a commencé il y a dix ans et tu es entrée dans ma vie il y a 8 jours à peine…

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Extrait ajouté par ilovelire 2016-02-08T16:35:33+01:00

Sans pouvoir quoi ? Je rougis. Je suis curieuse de savoir ce qu’il a en tête… Je dois bien l’avouer : ses mots me troublent et me comblent à la fois. Pour un court instant, du moins. Car tout le monde veut s’approprier David Fulton. Le directeur de la Villa, les libraires romains, les journalistes présents et présentes. Je ressens un pincement de jalousie. Les femmes italiennes qui nous entourent sont vraiment très belles. Sensuelles, sophistiquées… Comment pourrais-je rivaliser avec elles pour obtenir l’attention de David ?

Ce dernier donne ensuite une conférence de presse et là, ça se gâte encore plus. La journaliste du Vogue italien, une blonde immense habillée comme une gravure de mode, ne cesse de lui poser des questions sur sa vie privée.

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Extrait ajouté par ilovelire 2016-02-08T16:35:14+01:00

– David, je suis tellement impatiente que je ne sais même pas si je vais arriver à avaler quoi que ce soit.

Mon amant prend un air faussement sévère.

– Hors de question de te laisser sortir le ventre vide…

Il caresse mon épaule et fait remonter sa main le long de ma nuque. Je frissonne.

– … ni, d’ailleurs, dans cette nuisette indécente.

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Extrait ajouté par bellajessica 2013-12-11T01:20:35+01:00

Oui, je sais exactement ce qu’il veut, et mon ventre hurle tellement j’ai faim de le lui donner. Ma langue se raidit. Avec la pointe durcie, je remonte le long de sa verge jusqu’au gland. Puis j’entoure son sexe énorme de ma bouche. Mes mains, lentement, massent ses cuisses. Sans que je sache comment, je pousse un premier gémissement. Ça peut donc être aussi bon… pour moi aussi ? Les mouvements adéquats viennent à moi naturellement. Je le suce avec ardeur mais c’est à moi que je donne du plaisir. Avec son sexe, je caresse ma langue brûlante, mes lèvres pulpeuses. David agrippe mes cheveux mais ne guide pas pour autant les mouvements de ma tête : c’est moi qui ai le contrôle. Il se renverse en arrière et il doit prendre appui sur son bras gauche. Il continue d’empoigner ma chevelure tout en gémissant. Je le laisse s’enfoncer encore plus profondément dans ma gorge et, avec ma langue, je lèche son membre raide. Ses hanches basculent vers moi.

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