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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par AstridJavert 2021-09-15T18:25:30+02:00
Argent

Bien que l'intertitre dise "la véritable histoire de Jack l'Éventreur", je sais qu'il ne s'agit que de spéculations. Personne ne saura jamais qui était vraiment le meurtrier. Mais j'avoue que l'auteur a mit énormément de travail et de recherches dans son oeuvre. Pour ça, il mérite nos bravos.

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Commentaire ajouté par mistinguette60 2020-12-13T21:26:20+01:00
Pas apprécié

Je n'ai pas réussi à aller au bout de ma lecture car je n'accrochais pas du tout au style d'écriture et aux personnages.

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Commentaire ajouté par Coralie-98 2020-05-13T12:00:06+02:00
Bronze

Un peu déçue. J'ai appris quelques éléments sur l'affaire Jack l'éventreur mais surtout sur la vie de ces femmes au XIXème siécle. Je n'ai pas accroché au personnage ni à l'histoire de la fille de Marie Kelly. Un peu mitigée donc.

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Commentaire ajouté par TrishBrocley 2020-02-16T06:28:51+01:00
Bronze

Une hypothèse sur l’histoire de Jack l’éventreur intéressante et recevable.

Les descriptions des années 1888 sont très bien faites. On a l’impression de vivre les horreurs de cette époque. On voit un gros travail de l’auteur par rapport à ces recherches.

Certaines narrations du présent où l’héroïne se remémore n’apportent rien à l’histoire.

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Commentaire ajouté par Priscilla-24 2019-11-04T11:52:37+01:00
Argent

Il y a une dizaine d'années j'avais lu " Jack l'éventreur : Affaire classée" de Patricia Cornwell et j'avais ADORÉ.

Et c'est ce même plaisir que j'ai cherché en commençant ce livre.

Si ces deux romans sont sur le même sujet: la mise en évidence de l’identité de Jack l'éventreur, la construction du livre en lui même est totalement différente et c'est ce qui m'a le plus plu !

Michel Moatti a choisi de nous parler de l'affaire Jack l’Éventreur sous la forme d'un roman, en laissant une belle place à l'imaginaire mais tout en gardant une partie retranscrivant uniquement la réalité des faits.

En effet le roman alterne les périodes des meurtres, comme si on les vivaient à l'instant T ( la partie historique avec les faits réels) avec d'autres qui se déroulent en pleine seconde guerre mondiale quand Amélia, fille de la dernière victime iconique du tueur en série, mène l'enquête (ici la partie fiction).

J'ai adoré ce mélange ouvrage historique et roman ! 

Et alors plus que tout j'ai été complètement happée par les descriptions faites sur les conditions sociales, de vie et de travail des habitants de Londres de cette fin de XIX e siècle, il faut dire que c'est une période que j'adore comme "décor " de lecture, et  l'auteur à parfaitement su retranscrire cette atmosphère bien particulière. 

On est pas loin du coup de cœur, il n'y a que certaines longueurs en milieu de roman qui font que je ne passe pas ce cap

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Commentaire ajouté par MademoiselleMaeve 2019-06-10T20:33:43+02:00
Lu aussi

Après avoir terminé mon écoute de J’ai dû rêver trop fort de Michel Bussi, j’ai téléchargé sur Audible Retour à Whitechapel de Michel Moatti. J’aime beaucoup les histoires de tueurs en série, surtout s’ils ont existé. Je sais, ça fait un peu voyeuse, mais que voulez-vous, j’aime les true crimes stories et mon historique Netflix est là pour le confirmer. Pourtant, je n’ai jamais été fascinée par Jack l’Éventreur, sans doute parce qu’il n’a jamais été arrêté et qu’on ne sait pas qui il est. Je me souviens tout de même avoir lu il y a très longtemps Jack l’Éventreur, affaire classée de Patricia Cornwell, qui a passé des années à enquêter et a financé des analyses pour en arriver à la conclusion que Jack l’Éventreur était en réalité le peintre Walter Sickert et non pas un membre de la royauté. A l’époque, j’avais trouvé sa démonstration plutôt convaincante – mais il faut dire que je n’avais pas franchement d’éléments de comparaison.

Retour à Whitechapel est le premier roman de Michel Moatti à mettre en scène Amelia Pritlowe. Amelia apprend par son père que sa mère n’était autre que Mary Jane Kelly, la dernière victime de Jack l’Éventreur, la plus violemment attaquée. Elle décide alors de se plonger dans les archives constituées par des ripperologues et de tenter de découvrir l’identité de l’assassin de sa mère.

Nous sommes en 1941, Amelia est infirmière. Nous entrons dans l’histoire grâce à son journal d’enquête. Grâce à lui revivent les victimes de l’Éventreur de Whitechapel, le tueur de prostituées qui travaillaient dans ce quartier pauvre et malfamé de Londres.

Ce roman de Michel Moatti qui mêle fiction et réalité est aussi le témoignage d’une époque. D’une époque difficile pour les femmes, qui se crevaient à la tâche. On y découvre les ravages du travail dans les usines d’allumettes (c’est assez saisissant et ride pour que je vous passe les détails), on y découvre des femmes payées en pommes de terre, des femmes obligées de se prostituer pour gagner de quoi se payer un lit pour dormir. La misère. La misère que Jack l’Éventreur a sans doute voulu détruire, annihiler.

Si le début du roman ne m’a pas vraiment passionnée – je l’avoue – je suis progressivement entrée dans l’histoire, bercée par la voix de la lectrice au superbe prénom, Marie-Eve Dufresne (oui, bon, on a le droit de se lancer des fleurs, entre Marie-Eve). Mes parties de jeux de Sherlock Holmes avec mon amie Caroline ont sans doute relancé mon intérêt pour ce roman, qui est tout de même extrêmement bien documenté. On y retrouve la théorie de Patricia Cornwell et le fait qu’Amelia soit la fille de Mary Jane Kelly nous implique un peu plus dans le récit.

Finalement, Retour à Whitechapel est un très bon roman. Il dresse une intéressante photographie d’une époque, d’un quartier et des femmes de l’époque. Je me plongerai peut-être dans une autre aventure d’Amelia Pritlowe.

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Commentaire ajouté par Irene-Adler 2019-03-07T15:01:30+01:00
Or

Là, je m'incline devant le roman de monsieur Moatti car il a réussi à

mélanger la fiction avec le réel, donnant vie au quartier de Whitechapel et à quelques unes de ses prostituées les plus célèbres !

Nous sommes en 1941 et tout l'Europe est écrasée par les bottes des Boches... Toute ? Non, une île résiste encore et toujours à l'envahisseur, mais est écrasée par les multiples bombes que le cousin Germain lui envoie. C'est le Blitz à Londres et il vaut mieux louvoyer entre les bombes.

Secouant la manche de ma grosse veste remplie de poussière due à l'effondrement d'un bâtiment, je pénétrai au London Hospital afin de faire la connaissance avec Amelia Pritlowe, une infirmière qui, comme moi, tente de survivre aux bombardements du sinistre moustachu.

C'est penchée sur son épaule que j'ai lu, avec elle, la lettre posthume qu'elle venait de recevoir de son père.

Moi, j'avais lu le résumé, donc je savais déjà que cette lettre allait être son petit Hiroshima à elle. Oui, je n'exagère pas... Cette lettre, ce sera son cataclysme personnel, tout aussi dévastateur qu'une bombe de grande puissance qui vous pèterait dans les mains.

Sa mère n'est pas morte d'une maladie pulmonaire comme elle l'a toujours cru. Que nenni !! Sa maman se prénommait Mary Jane Kelly... Ça vous remet ?? Yes, Mary Jane, la dernière victime de Jack l'Éventreur, celle sur laquelle il s'était lâché...

Souvenirs ? Néant car elle n'avait que deux ans. Alors, Amelia va retrousser ses manches et mener l'enquête, 53 ans après.

Alors, non seulement l'auteur propose une nouvelle vision de l'identité du meurtrier qui me plaît bien, mais en plus, il a parfaitement mis en scène le tout.

On alterne les chapitres avec l'enquête d'Amélia, prête à toute, même à entrer dans un club de "ripperologues", et les chapitres qui se déroulent en 1888, dans les ruelles sombres de Whitechapel.

L'incendie des docks, le 31 août, nuit de la mort de Mary Ann Nichols s'y trouve, la manifestation des ouvrières de l'usine d'allumettes "Bryan & May" qui ont eu le visage ravagé et dévoré par le phosphore, les femmes qui devaient vendre leur corps pour gagner de quoi boire un coup et dormir dans un asile qui avait tout du taudis... Tout se trouve dedans !

Celui qui voudrait en savoir un peu plus sur l'atmosphère nocturne et angoissante de l'East End de 1888, et bien, il est servi !

Un magnifique travail de reconstitution, comme si on y était, le tout sans ennuyer le lecteur une seule seconde. Les pages ont défilé sur deux jours. Je l'aurais même lu plus vite si je n'avais pas eu d'autres choses sur le feu.

À cause ou grâce au tueur de Whitechapel, les 5 victimes sont passé de l'ombre à la lumière, passant du néant à la postérité pour l'éternité, devenant les prostituées les plus célèbres de l'univers...

Grâce à l'auteur, les victimes viennent de revivre une nouvelle fois : leurs personnalités, leurs vies de misère, leurs joies,leurs emmerdes, leurs personnalités sociales et affectives...

Tout est recomposé, sans pathos, sans exagération, le tout formant un roman où le voyeurisme n'est pas invité et où l'enquête que mène Amélia a quelque chose de touchant.

On a même droit à des fac-similés des documents d'enquêtes de l'auteur. Un vrai travail qu'il a accompli là.

Je ne sais pas si sa théorie est bonne, mais la proposition de solution à l'énigme posée de 1888 pourrait être plausible...

Une lecture qui m'a enchanté !

Je vous laisse, je vais me réfugier dans le métro, il pleut des bombes dans ma ville de Londres !

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Commentaire ajouté par Nausicaa_Npa 2019-01-31T16:30:12+01:00
Bronze

C'est une lecture en demi teinte pour ma part.

J'ai aimé le type de narration qui interpose plusieurs époques et le fait de suivre pas à pas l'histoire de Jack L’éventreur. Même s'il y a un vrai avantage à inclure des détails (réalisme), j'ai trouvé que c'était parfois trop ce qui rendait la lecture un peu moins intéressante (sans être lourde cependant).

Une hypothèse différente (des livres que j'ai déjà pu lire à ce sujet) sur l'identité de Jack est ici évoquée et paraît plutôt plausible.

Le livre est agréable à lire mais j'aurais aimé un peu moins de "blabla" et de détails.

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Commentaire ajouté par Isabelle-258 2019-01-24T10:09:42+01:00
Diamant

Retour à Whitechapel de Michel Moatti : alerte au chef d’œuvre !

L’histoire de Jack l’éventreur, est ici abordée sous un angle hyper original, des recherches monumentales, approfondies. Il s’agit d’un vrai travail d’orfèvre, tant les personnages sont ciselés, profonds, vrais.

On fait un bond dans le temps pour se retrouver à Whitechapel à l’aube de l’automne 1888, on y est « pour de vrai », on sent la crasse, le moisis, la désagréable sensation des vêtements mouillés et froids sur la peau. On y ressent également en même temps que les personnages, la fièvre, le corps qui souffre, le désespoir : maladie, faim, addiction à l’alcool, la nécessité de vendre son corps pour survivre, la pestilence omniprésente dans des rues boueuses et jonchées de détritus et d’excréments.

On expérimente un sentiment permanent d’insécurité, on ne sait pas de quoi sera fait demain ni même l’heure qui suit, bien souvent on ne sait même pas où on va passer la nuit.

Michel Moatti nous livre une fresque vivante de cette époque victorienne, celles des bas-fonds, des laissés pour compte, la vermine qui grouille au plus bas de l’échelle sociale, « l’underworld » qui porte si bien son nom…

Mais de tout ceci ressurgit l’humanité, réduite à son plus simple élément mais bien là quand même. Et les faits de l’automne 1888, un assassin qui s’acharne sur des femmes de misère, sœurs d’infortune, tombées dans l’engrenage de la pauvreté de la survie par de menus travaux et la prostitution à l’occasion ou régulièrement à chaque fois que c’est nécessaire pour assurer une maigre pitance, un peu de gin et éventuellement un toit pour la nuit.

Et enfin, géniale trouvaille que la narratrice Mrs Pritlowe qui vient de découvrir qu’elle n’est autre que la fille de la dernière victime du ripper, Mary Jane Kelly dite « Ginger », massacrée dans la nuit du 9 novembre 1888…

J’ai adoré suivre cette femme, encore sous le choc de la révélation sans parler des passionnantes investigations qui s’ensuivent, que je n’aborderai pas ici car je vous invite à plonger dans ce que considère comme un chef d’œuvre du genre.

Merci Michel Moatti pour cette immersion aussi effroyable que délectable dans « le monde de Jack ».

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Commentaire ajouté par kira2000 2018-09-02T01:24:43+02:00
Argent

Je pensais connaître beaucoup de chose sur Jack l’Éventreur, ce livre et les recherches de l'auteur m'ont prouvé le contraire. On voit que l'auteur a bien travaillé son sujet. Le mystère autour de l'assassin ne sera jamais entièrement levé mais je suppose que l'auteur se rapproche grandement de la vérité. Le personnage d'Amélia était bien amené, au point que j'ai presque cru qu'elle aussi avait existé.

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