Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 800
Membres
1 013 883

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Pour détourner l’attention de moi, je lance à Landon :

— À qui envoies-tu tous ces SMS, bordel ?

Il a une main sur ses couverts et l’autre sur son téléphone, sur ses genoux.

Ce mec a eu la tête dans le cul toute la journée.

Il me foudroie du regard. Ma mère en reste bouche bée.

— Landon ! Pas de téléphone à table. Je vous jure, les gosses et la technologie, dit-elle en secouant la tête.

— Nous ne sommes plus des gosses, rétorque Landon, les sourcils froncés, qui me fait un doigt d’honneur avant de se remettre à manger. À trente ans, on fait ce qu’on veut, putain.

— Pas de gros mots ! rouspète ma mère.

— Les garçons… Candace, intervient mon père.

— Alors, qui est-ce ? demande ma mère.

Elle me fait penser à un chiot qui vient de ramasser un nouvel os à mâchouiller. Ses yeux se mettent à scintiller dès qu’elle surmonte le choc que quelqu’un ait osé transgresser sa règle pas-de-téléphone-à-table.

— Personne. Une fille, répond Landon en haussant les épaules, la bouche pleine de pommes de terre. Je t’ai dit que j’avais eu un rencard sympa, y a quelques semaines.

— Et ?

Je pince les lèvres, ignorant l’intérêt qui perce dans la voix de ma mère.

Landon lève les yeux au ciel. Puis, dans un geste inhabituel, il se penche en avant, pose les deux avant-bras sur la table et sourit à ma mère.

— Elle s’appelle Karly. Elle travaille dans une banque près du gymnase et on sort ensemble depuis un mois. C’est tranquille ; il se peut que ça devienne sérieux, et non, tu ne vas pas la rencontrer.

— Mais…

Landon l’interrompt :

— Non, maman. Et si tu te pointes chez moi un dimanche matin je peux te garantir que je n’aurai pas de caleçon, que tu mettras Karly horriblement mal à l’aise et que ce n’est pas une fille que j’ai envie d’effrayer tout de suite.

— Très bien, râle ma mère en se tapotant les lèvres avec sa serviette. Pas besoin de me menacer.

Je m’esclaffe en la voyant si contrariée.

— Sérieusement, m’man. Quand je voudrai que tu la rencontres, tu la rencontreras, déclare Landon.

— T’as dit « quand », pas « si ».

Je souris quand mon frère tourne la tête vers moi, les yeux plissés.

— Et toi, t’es un sacré trouduc.

Je raille :

— Faut en être un soi-même pour savoir les reconnaître.

— Les garçons ! s’écrie mon père.

Landon et moi pinçons les lèvres pour ne pas éclater de rire.

— Bon sang ! grommelle mon père. Je veux juste passer un repas sans que vous vous conduisiez comme des petits merdeux. C’est impossible ?

Landon pointe sa fourchette vers moi.

— C’est lui qu’a commencé.

Ma mère lève les yeux au ciel et marmonne quelque chose comme quoi on la tiendrait à l’écart des compagnes de ses garçons.

Afficher en entier

-Moi aussi. Comment va maman?

-Elle devient cinglée, voilé comment elle va.

J'éclate de rire et avale une gorgée de bière.

-Alors, elle cuisine, hein?

Afficher en entier

— Toi et moi, Sarah. Rien d’autre. Je te désire plus que tout, bordel. On est abîmés tous les deux, mais tout le monde l’est d’une manière ou d’une autre. Certaines blessures sont juste plus profondes. Je veux que les parties brisées en toi se mêlent aux miennes jusqu’à former un magnifique kaléidoscope de morceaux déchiquetés qui s’assemblent à la perfection.

Afficher en entier

— Je veux être là où tu veux que je sois, peu importe l’endroit.

Afficher en entier

— Si je prenais le risque d’offrir mon cœur à quelqu’un, je veux que tu saches que ce serait à toi. C’est juste que je ne suis plus faite pour ça, c’est tout.

Afficher en entier

Je n’ai pas encore tout programmé depuis ce matin, mais je sais une chose.

Ma vie est plus belle avec Sarah dedans.

Je veux qu’il en soit de même pour la sienne avec moi.

Afficher en entier

— Lynx, un jour, tu rencontreras une femme. Et, quand tu l’auras trouvée, tu découvriras ce qui la rend le plus heureuse. Et, parfois, ce dont une femme a besoin pour être vraiment heureuse, c’est le trésor d’avoir du temps pour elle seule, en sachant qu’à la fin de la journée elle ne sera jamais réellement seule.

Afficher en entier

« Nous sommes le gratin des entraîneurs de MMA, et nous sommes sans cesse obligés de refuser des combattants.

Un adolescent entre, et mes yeux manquent de sortir de leurs orbites.

Il paraît familier. À la manière dont il scrute la vaste salle avant de localiser Grayson au milieu du ring, en train de s’entraîner avec un autre combattant, il ne me faut qu’un instant pour comprendre.

Ce gosse est le portrait craché de Kennedy, la femme de Grayson.

J’ai vu des photos de lui chaque année. 

[...]

Je me dirige vers le gosse et demande :

— Je peux t’aider ?

Bordel !

Lui et sa mère se ressemblent comme deux gouttes d’eau.

Le gamin sursaute comme si je venais de le surprendre et détourne les yeux de Grayson pour me regarder. Il se frotte la nuque.

— Non. Euh… je… je cherche quelqu’un. Mais je crois que je devrais…

Sa voix s’estompe, et je fais un autre pas vers lui.

— Je peux aller te chercher Grayson, si tu veux.

Il rougit.

— Vous savez qui je suis ?

Bordel de merde ! Devenir père a dû me transformer en mauviette. Je sens que mon nez me picote.

— Ouais, Thad. (Le gosse sursaute en entendant son nom.) On sait qui tu es. Ça fait longtemps que Grayson et Kennedy attendent de te revoir.

Ses yeux s’emplissent de larmes. Je l’observe les ravaler tandis que son menton se met à trembler. Il hoche la tête, et je lui pose une main sur l’épaule, que je serre avant de m’éloigner. »

Afficher en entier

« Sarah, dis-je en reculant pour qu’elle puisse me regarder dans les yeux.

Avant de perdre la maîtrise de moi-même, je lui caresse les joues avec mon pouce et souris face à son regard embué.

— Je t’aime. Tu es la femme de ma vie. Pour toujours.

Elle cligne des yeux et esquisse un sourire »

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode