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Quand on rencontre de nouvelles têtes agréables, on reste en contact. On appelle ça se faire des amis.
Afficher en entierEt comme le rire est un aphrodisiaque, il était l'objet de davantage d'avances qu'il ne pouvait y répondre. Il y avait toujours des masses de filles prêtes à lui démontrer ce qu'elles entendaient par prendre du bon temps...
Afficher en entierUn des aspects de la vie que Cléo avait le plus de mal à supporter était le spectacle de ses amies qui vivaient ou se mariaient avec des hommes qui ne leur convenaient absolument en rien. Il était clair comme de l'eau de roche que leur couple ne fonctionnerait pas, que cela se terminerait par des larmes et que c'était la relation la plus désastreuse depuis Tom et Jerry...
Afficher en entierCes types heureusement mariés, elle ne le savait que trop bien, étaient capables de vous rendre folle d'impatience. Parfois, il leur fallait plusieurs semaines pour trouver le courage d'avoir simplement des pensées adultères..
Afficher en entierL'attirance magnétique qui déclenchait des étincelles entre Imogen et lui était d'une telle intensité qu'il n'avait pas la force de s'y opposer. Son attitude était en totale contradiction avec les vieux principes qu'il respectait scrupuleusement.
Afficher en entierCertains hommes - certaines femmes aussi, bien sûr - lorsqu'ils constatent l'état désastreux de leur conjoint, ont l'impression de mériter vraiment de prendre un peu de bon temps ailleurs pour se remonter le moral.
Afficher en entierA trente-neuf ans, elle possédait un corps que nombre de filles de vingt ans lui auraient envié. Pas l'ombre d'une vergeture, pas une once de cellulite et un ventre plat. Elle se faisait régulièrement épiler et sentait toujours délicieusement bon. Elle possédait également une classe innée ; sur elle, tous les vêtements avaient de l'allure. Et là, avec sa cascade de cheveux blonds brillant au soleil et ses seins dorés débordant de son bikini vert, elle était infiniment désirable
Afficher en entierElle n'eut pas à attendre si longtemps.
Continuant à défier toute probabilité, Cass et Jack restèrent ensemble les deux années suivantes. Les mentions très bien s'amoncelaient, Cass était de plus en plus blonde, de plus en plus belle et toujours plus amoureuse, et Jack
- plus beau que jamais - obtint une place enviée d'étudiant en
économie à Cambridge.
Cass, moins ambitieuse, n'avait pas la moindre idée de ce qu'elle voulait faire pour gagner sa vie. Elle se retrouva étudiante en anglais à l'institut de technologie de Bristol, légèrement moins prestigieux. Elle partageait une maison avec cinq autres jeunes filles, détestait ses cours et souffrait atrocement d'être loin de chez elle. Ou, pour être plus précis, d'être loin de Jack.
Tous les soirs, au lieu de travailler, Cass lui
écrivait de longues lettres désolées. Chaque fois qu'il téléphonait, elle pleurait tellement qu'elle parvenait difficilement à parler. Dès que l'occasion se présentait, elle attrapait le car pour Cambridge, ou elle le rencontrait à
mi-chemin, à Londres.
— C'est sans espoir, soupira Jack en la serrant contre lui, alors qu'elle passait la soirée de son dix-neuvième anniversaire en larmes, à l'idée qu'un mois allait s'écouler avant de le revoir.
Cass lui manquait tout autant. Les trois cents kilomètres qui les séparaient ne leur faisaient de bien ni à l'un ni à l'autre.
Elle essuya son visage sur la manche du pull bleu marine de Jack et renifla bruyamment.
— Je déteste Bristol. Je déteste tout le monde dans mon cours, hoqueta-t-elle misérablement. Jamais je ne réussirai mes examens, Jack. Je hais tellement tout, que je n'arrive plus à
réfléchir.
D'un air plein de défi, elle ajouta :
— Et tu me manques tellement que je m'en fiche.
— Dans ce cas, dit-il, tu ferais mieux de tout plaquer.
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