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Extrait ajouté par carly359 2019-08-06T14:57:40+02:00

Je perdis le souffle en scrutant ses yeux. Je n’ai jamais eu une telle réaction pour quelqu’un d’autre. Quelque chose d’inexprimé passa entre nous tandis que nous nous fixions dans les yeux.

Il me fallut toute mon énergie pour ne pas réagir lorsqu’il m’aida à me relever. Dès que nos peaux se touchèrent, un courant électrique passa entre nous. Il y eut comme un bruit de crépitements.

Plus tard, lorsque je commençai à courir sur le tapis roulant, je fus incapable de le chasser de mon esprit. Pendant que mes cuisses me chauffaient et que la sueur coulait sur ma poitrine, je ne pensais qu’à lui.

Où l’avais-je rencontré ?

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Extrait ajouté par carly359 2019-08-07T17:14:25+02:00

En entrant dans la salle de bains, je tombai sur l’infirmière indiscrète qui avait pointé mon suçon. Elle était en pleurs. Il était trop tard pour que je puisse m’esquiver sans avoir l’air d’être totalement insensible.

C’était bien ma fichue veine.

Elle s’appuyait sur ses mains, penchée au-dessus du lavabo, ses larmes tombant en produisant des petits bruits dans la cuvette.

Je soupirai, ayant envie de tourner les talons.

Je me fichais bien de ce qui pouvait la rendre triste, mais ma compassion prit le dessus.

Foutue conscience.

— Ça va ? demandai-je en m’approchant.

— Non, répondit-elle en passant le dos de sa main sur son visage pour essuyer les larmes.

— Désolée, je vous laisse tranquille.

Je reculai et tendis la main vers la poignée.

— Non, ne partez pas ! s’écria-t-elle en se tournant vers moi. Tout le monde me laisse, gémit-elle, son corps s’écroulant presque sur le comptoir.

— Merde, grommelai-je en me précipitant à ses côtés.

Pourquoi me retrouvais-je toujours prise dans ces situations ?

— Je suis là. Que puis-je faire ? m’enquis-je.

Mon ton était attentionné, me surprenant moi-même.

— Il n’y a rien qu’on puisse faire, hoqueta-t-elle en pleurant.

— Tout peut s’arranger.

Je lui tapotai le dos en regardant le plafond.

— Je n’ai qu’une minute entre mes patients. Je suis désolée, ajoutai-je.

— Mon fiancé m’a plaquée, et je suis enceinte.

Elle s’étrangla sur ces mots, recommençant à tomber vers l’avant.

Je la soutins en l’aidant à se redresser.

— C’est horrible ! émis-je en essayant d’avoir l’air horrifiée.

— Comment peut-il être aussi cruel ? Il agit comme si nous n’avions jamais compté l’un pour l’autre.

J’avais des mots à la bouche, mais je les ravalai.

— Il changera peut-être d’idée.

Si l’homme avait un brin de jugeote, il prendrait la fuite ou demanderait la protection accordée aux témoins de crimes.

— Il faut qu’il me revienne, décida-t-elle en se redressant pour me regarder dans les yeux. Il faut qu’il comprenne tout ce qu’il perd en renonçant à nous.

— Oh, je suis sûr qu’il n’en a pas la moindre idée.

Je savais que je semblais narquoise, mais ça m’importait peu.

— Je peux y arriver, vous avez raison.

Elle sécha les joues avec ses doigts et sourit.

— Merci infiniment, ajouta-t-elle.

Ses larmes disparurent.

Complètement cinglée.

Elle passa les bras autour de moi et me serra si fort que je crus qu’elle allait me briser les côtes.

— Je dois y aller, fis-je remarquer en me reculant.

— Oh, désolée, dit-elle en esquissant un sourire.

Le mascara avait coulé sur ses joues, et ses yeux étaient rouges et enflés.

— Vous m’avez aidée plus que vous pouvez l’imaginer, ajouta-t-elle.

Son sourire s’agrandit.

— N’abandonnez pas, l’encourageai-je en passant la porte.

— Jamais ! cria-t-elle tandis que la porte se refermait.

Je secouai la tête en me demandant où étaient passées mes journées stressantes ordinaires à l’hôpital. Celle-là méritait de figurer au livre des records.

*

La nuit fut relativement calme, comparée à l’épisode de l’infirmière cinglée et à la crainte de voir Michael gravement blessé.

Son frère était aux soins intensifs pour la nuit après sa chirurgie. Lorsque j’avais regardé sa fiche plus tôt, elle disait qu’il serait transféré dans une chambre ordinaire le lendemain si tout se passait bien au cours de la nuit.

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Extrait ajouté par carly359 2019-08-07T16:37:30+02:00

— Tu veux juste dormir ? demandai-je en lui offrant une dernière porte de sortie. Je ne sais pas si je peux être doux en le faisant, Mia. C’est juste un avertissement.

Je tins son visage entre mes mains tout en poussant mon érection contre elle.

— Ne sois pas doux avec moi, Michael. Je ne vais pas me briser.

Elle poussa sur ma poitrine, rompant le baiser.

— Une douche d’abord, ordonna-t-elle en me poussant vers la salle de bains. Nous sommes couverts de sable.

— Seulement si tu viens avec moi.

Je fis un sourire en coin et ouvris l’eau dans la douche avant de retirer mon tee-shirt mouillé par la pluie.

Pendant qu’elle passait ses doigts doux sur le tatouage de ma poitrine où l’on pouvait lire le nom Gallo, ma queue m’élança et fit pression sur mon pantalon. Je voulais être en elle. Son contact était comme une torture.

— Verita ? dit-elle en passant son ongle sur les lettres qui ornaient mes côtes.

Je fus couvert de chair de poule.

— Ça veut dire « vérité » en italien, expliquai-je en essayant de garder un ton posé.

Passant derrière moi, elle embrassa mon épaule avant d’enfoncer ses dents dans ma chair.

Aspirant brusquement de l’air, je me contractai.

— Si tu fais ça encore une fois, je ne me rendrai pas jusqu’à la douche, dis-je d’une voix pantelante.

Je voulais sentir ses ongles gratter mes couilles pendant qu’elle me suçait.

— À mon tour, fis-je en me tournant vers elle.

Je défis lentement les courroies de son cache-maillot, le tenant entre mes doigts alors que le tissu collait à sa peau. La robe glissa de son corps en une cascade jusqu’au sol. Elle se tenait devant moi avec rien d’autre que son bikini noir. Ses seins me firent saliver tandis que ses mamelons durcissaient sous l’effet de l’air frais. Elle restait clouée sur place en regardant le plancher, ses joues prenant une légère teinte rosée tandis que j’admirais sa beauté.

Je plaçai les doigts sous son menton, la forçant à me regarder dans les yeux.

— Tu es à couper le souffle.

Un petit sourire s’étendit sur son visage, mais il restait de l’incertitude dans son regard.

— À vrai dire, renversante. Tu es sûre de toujours vouloir ça, Mia ?

Je voulais être certain qu’elle avait envie d’être avec moi.

Elle hocha affirmativement la tête et tint ma queue à travers mon maillot de bain. Je frissonnai, l’élancement se transformant en palpitation sous la chaleur de sa main. Tendant les mains avec un sourire en coin, elle tira sur les bords de mon maillot, mais il resta accroché sur mon érection.

Je gloussai quand elle écarquilla les yeux, et je l’entendis déglutir.

Elle tira plus fort, jusqu’à ce qu’il glisse sur mes hanches et tombe par terre en produisant un bruit sourd.

Quand je m’avançai, ma queue frôla sa peau douce et humide. En fermant les yeux, je pris une inspiration, ayant besoin d’un moment pour réfréner mon désir.

J’avais envie de la prendre contre le mur, mais je n’étais pas ici pour un coup vite fait.

S’appuyant sur moi, elle me tint les côtes et pressa, son souffle se coupant lorsque ma queue frappa son ventre.

Je passai la bouche sur sa joue, savourant la douceur de sa peau. Il y avait une connexion ici — quelque chose de plus grand que nous qui échappait à notre contrôle. Nous en avions besoin tous les deux.

L’eau qui coulait et le bruit de nos respirations remplirent la pièce lorsque nos lèvres s’écrasèrent les unes contre les autres. Je donnais un coup de pied pour me débarrasser du maillot, grinçant dans sa bouche alors que ses doigts effleuraient la peau sensible et délicate de ma queue.

J’avais envie qu’elle me touche plus que je l’aurais cru possible.

Elle toucha délicatement le bout de ma bite avant de passer les ongles sur mon gland, se dirigeant vers le bas. Sa main s’immobilisa lorsqu’elle sentit le premier perçage, et Mia se figea.

J’avais oublié de mentionner ma quincaillerie.

Je fis un grand sourire, ouvrant les yeux pour voir son expression.

Elle écarquilla les yeux en baissant le regard pour continuer de sentir le dessous de ma queue.

— Tu n’as jamais touché une échelle de Jacob avant ? demandai-je avec un sourire narquois.

— Non, j’en ai vu, mais je n’en avais jamais touché.

Elle tâta ma bite et la souleva pour avoir une meilleure vue. Se mordant la lèvre inférieure, elle la regarda, bouche bée, comme si elle allait lui sauter dessus.

— Attend de la sentir en toi, chérie, chuchotai-je à son oreille tout en faisant glisser son cache-sexe en bas de ses jambes et attendant qu’elle en sorte.

Je soulevai Mia, et elle passa ses jambes autour de moi. Il me fallut toute ma volonté pour ne pas enfoncer ma queue en elle alors que je me dirigeais vers la douche pour vérifier la température de l’eau.

Quand je posai un pied dans la douche, elle m’arrêta en enfonçant ses pieds dans mon derrière.

— Attends.

Bon sang de merde. Ma queue pouvait exploser à tout moment. Le simple fait de la porter causait assez de friction pour me faire venir.

— Qu’est-ce qui ne va pas ? demandai-je en posant mon front contre le sien.

— Il nous faut un condom. En as-tu un ? demanda-t-elle en se mordant la lèvre.

— Merde, non. Je n’avais pas prévu m’enfoncer en toi jusqu’aux couilles, doc, fis-je en riant. Et toi ?

— J’en ai un. Il est dans le tiroir du haut de ma table de chevet. Dépose-moi et je vais aller le chercher.

Elle commença à s’écarter.

Je secouai la tête, la serrant de plus près.

— Jamais de la vie. Nous ne quittons pas cette position. C’est vraiment trop bon pour que je te dépose maintenant.

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Extrait ajouté par carly359 2019-08-06T20:24:09+02:00

— Ne parle jamais — et je dis bien jamais — de ma queue et d’une seringue, doc. C’était drôle au bar, mais en ce moment, ça ne l’est pas autant.

Il rit, son corps sautillant sous le mien.

— Bien, allons-y avant que tu aies d’autres mauvaises idées, ajouta-t-il.

Je l’embrassai tendrement tandis qu’il riait encore en me soulevant et en me transportant sur la plage. Michael n’était pas l’idiot prétentieux pour lequel je l’avais pris la première fois que je l’avais rencontré — eh bien, pas complètement.

Je le voyais sous un jour nouveau après notre premier rendez-vous. Il y avait quelque chose de plus en lui, et j’avais envie de découvrir chaque centimètre de son être.

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Extrait ajouté par carly359 2019-08-06T20:18:41+02:00

Alors que je me penchais vers l’avant, mes cheveux nous isolèrent du monde tout en tombant en cascade autour de sa tête.

— Fais-moi oublier, Michael, murmurai-je.

Ses mains s’immobilisèrent. Pressant mes cuisses, il se pencha vers l’avant et mordilla mes lèvres. Je me laissai tomber sur sa poitrine, mes mamelons se durcissant à ce contact. Sa queue durcit, et je poussai un hoquet de surprise contre sa bouche.

— Je suis désolé, doc. Il y a des choses que je ne peux contrôler, marmonna-t-il contre mes lèvres.

Ses mains explorèrent mon corps pendant que nos lèvres et nos langues restaient emmêlées. Prenant ses cheveux dans mes poings, je demandai à être embrassée plus passionnément.

Mon corps était avide d’être touché par lui. Je voulais être remplie et me sentir vivante, et je me frottai contre lui pour soulager cette vibration que je n’avais pas sentie depuis si longtemps.

Un petit gémissement s’échappa de ses lèvres, et il serra mes hanches, ses doigts s’enfonçant dans ma chair.

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Extrait ajouté par carly359 2019-08-06T20:09:32+02:00

— Alors, pourquoi sommes-nous ici ?

Il coupa le moteur et se tourna vers moi.

— J’ai loué la plage pour la soirée. Elle est toute à nous.

— Je ne sais pas quoi dire, émis-je tandis qu’il sortait de la camionnette. Ce mec sait-il comment faire les choses à moitié ?

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Extrait ajouté par carly359 2019-08-06T20:07:31+02:00

Sa bouche couvrit la mienne aussitôt que je me tournai vers lui après avoir verrouillé la porte. Tirant mon corps contre le sien, réclamant mes lèvres avec autant de passion qu’il l’avait fait la nuit précédente, il me coupa le souffle.

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Extrait ajouté par carly359 2019-08-06T19:05:22+02:00

— Oh, ouais, j’adore conduire cette camionnette. La chatte ronronne quand je la tiens comme il faut.

— Ramène-moi en un seul morceau à la maison et arrête de parler de manière obscène.

J’avais parfois envie de le frapper, mais j’aimais trop ce gros salaud pour lui ensanglanter le visage.

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Extrait ajouté par carly359 2019-08-06T19:04:27+02:00

Quand je combattais, le sang circulait si rapidement dans mon corps que je pouvais presque le sentir passer. C’était difficile de le décrire à quelqu’un d’autre. Chaque muscle de mon corps se durcissait et demandait à se relâcher. Ma respiration augmentait au point que j’avais l’impression que mes poumons allaient exploser si j’aspirais plus d’air. Lorsque j’entrais dans le ring, tout le reste s’effaçait. Je me sentais comme un guerrier, luttant pour la sensation et le défi. Il y avait tellement d’adrénaline dans mon système que je sentais à peine les coups de mon adversaire quand ils touchaient mon corps, écrasant parfois mes os.

— Je suis prêt, annonça Anthony en me tapant sur l’épaule.

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Extrait ajouté par carly359 2019-08-06T14:43:50+02:00

L’écran de mon téléphone s’alluma.

Tammy — elle m’avait envoyé au moins une dizaine de textos depuis que j’étais arrivé ici.

Tammy : Nous sommes faits l’un pour l’autre.

Tammy : Tu me reviendras.

Tammy : Tu me manques.

Je lui avais dit la veille au soir que c’était fini entre nous, même si ça n’avait jamais vraiment commencé.

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