Extraits

Tant que je t'avais toi, j'avais un chez-moi, que ce soit dans la voiture ou dans l'appartement de Hank ou, plus tard, avec Herman. Je n'ai jamais vraiment perdu ma maison parce que je ne t'ai jamais perdue, toi.

"J'ai appris que la notion d'un chez-soi dépend moins du lieu que des gens qui t'entourent."

« J’ai appris que la notion d’un chez-soi dépend moins du lieu que des gens qui t’entourent [ … ] Tant que je t’avais toi, j’avais un chez-moi, que ce soit dans la voiture ou dans l’appartement de Hank ou, plus tard, avec Herman. Je n’ai jamais vraiment perdu ma maison parce que je ne t’ai jamais perdue, toi. »

https://onceuponadreamgirl.wordpress.com/2020/12/20/le-bonheur-au-pied-du-sapin-holly-jacobs/

"je ne peux pas sauver le monde mais je peux essayer"

Quel bonheur de lire pour la première fois le roman d'un tel ouvrage! Comprenez-moi bien . Je possède des tas de livres de poche. Mais une reliure en cuir donne un caractère particulier. Le poids. L'odeur. Le bruit, même ! Ce craquement quand vous l'ouvrez. Il vous dit que les feuilles ont été cousue ensemble, pas uniquement collées. Un tel objet doit être quasiment savouré.

— Vous paraissez énervée, fit remarquer Boyd, rompant enfin le silence alors que Maeve se garait dans son allée à présent dégagée.

— Vraiment ? rétorqua-t-elle d’un ton cassant dont elle se voulut aussitôt. Pardonnez-moi.

Boyd accepta son excuse d’un hochement de tête avant d’ajouter :

— Vous n’avez pas apprécié le petit nom dont cet homme vous a baptisée, on dirait.

— Pfff !

C’était rien de le dire !