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Livres - Bibliographie

Delly


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Toutes les séries de Delly

2 livres
41 lecteurs

- On ne se marie pas pour son plaisir ! décrète d'un ton sévère dame Véronique, la gouvernante de la jeune Aélys.

Aélys de Croix-Givre vient d'apprendre que son père, avant de mourir, l'a destinée au prince Lothaire. Elle repousse avec effroi l'idée de s'unir au descendant des Waldenstein qui, toujours, furent "aussi cruels et terribles que les pires fauves".

Le prince est superbe, hautain, satanique. Ne prenait-il pas plaisir, adolescent, à faire fouetter ses serviteurs ? Vaincre est sa passion. Aélys le hait, il le sait. La perspective de l'épouser le séduit. Soumettre cette jeune fée aux cheveux d'or sera fort amusant...

Dans l'entourage du prince, on s'oppose à ce mariage. Pour évincer Aélys, la belle Sidonia, de sang noble elle aussi, est prête à tout.

Aélys et Lothaire s'épouseront-ils ? Quand le prince contemple i sa fiancée, il passe parfois, dans son regard, une étrange douceur...

3 livres
20 lecteurs

Angelica porte un prénom trompeur: derrière cette voix douce et ce visage d'ange se cache une âme d'intrigante avide et sans scrupules. Recueillie par le comte Marcien de Varouze, la jeune et jolie veuve ne tarde pas à devenir la maîtresse des lieux et à faire chasser Gérault, le neveu et seul héritier du comte.

Le comte, homme bon et généreux, est loin de soupçonner la véritable nature de celle qu'il vient d'épouser. Alors qu'il n'attend qu'un signe de son neveu pour lui ouvrir Ies bras, comment pourrait-il deviner qu'Angelica a subtilisé les lettres de Gérault ? Vieilli prématurément, affaibli par les drogues que lui administre Angelica, le comte ne sait pas qu'il ne reverra jamais son neveu. Il ne sait pas non plus qu'il existe quelque part une femme et deux enfants désormais seuls au monde. Cette femme s'appelle Mme de Varouze. Et ces enfants, Etienne et Ourida, sont les enfants de Gérault?

2 livres
21 lecteurs

Élevée durement par le baron de Pelveden, Bérengère s'enfuit du château de Rosmanec, protégée par Gaspard de Sorignan qui veut se marier secrètement à Paris avec la belle mais frivole Françoise d'Erbannes.

Mais les routes sont peu sûres sous le règne d'Henri III. Protestants et catholiques s'entretuent. Les fugitifs sont arrêtés et conduits devant Wennaël de Trégunc, duc de Rochelyse.

Curieuse figure que celle de Wennaël. Élevé par son oncle Alain qui a péri au cours de la nuit de la Saint-Barthélemy, en août 1572, après s'être marié à une Hindoue de grande beauté, Adrâni, le jeune homme s'est juré de châtier l'assassin de son oncle. Et ses fidèles lui ont prêté serment de fidélité sur un bijou qu'il porte toujours sur lui : un petit sphinx taillé dans une seule émeraude.

Séduit par la beauté de Bérengère, intrigué par le mystère qui entoure ses origines, Wennaël ne cesse de penser à ce qu'a dit d'elle Adrâni : «Elle semble née princesse.»

2 livres
13 lecteurs

Ty an Heussa... la Maison de l'Epouvante ! Dans ce repaire vit Edern de Porspoët, sur la côte sauvage de Cornouailles. Edern est le chef d'une bande organisée. Il s'enrichit en pillant les navires qu'il fait échouer sur les récifs du rivage. Un soir, par exception, il épargne les survivants d'un naufrage : une jeune femme, Linda, dont la beauté le séduit, et un petit garçon, Miguel, qu'il décide d'élever comme son fils. Du temps passe... Miguel, l'enfant trouvé, devenu un superbe jeune homme, ignore tout des forfaits de son père adoptif. Il tombe amoureux de la douce Hoëlle de Tréguidy, la fille des châtelains voisins. Elle lui rend son amour. Les Tréguidy : une famille unie, vertueuse, qu'une haine séculaire oppose aux Porspoët. Le farouche Edern laissera-t-il ce mariage s'accomplir ? Soudain, éclate la guerre de Vendée...

2 livres
14 lecteurs

Dans les plus lointains décors ceux des pampas saurages du vieux Mexique - comme dans les paysages les plus familiers de France, des hommes luttent pour punir les crimes d'un mauvais génie, dona Hermosa Barrai...

2 livres
10 lecteurs

La venue, à la maison des Belles Colonnes, où vivent les Fauveclare, de Dona Encarnacion, comtesse de Villaferda, de son fils don Rainaldo et de sa toute jeune épouse dona Enriqueta, marquera le début d'une période néfaste aussi bien pour cette branche espagnole de la famille des Fauveclare que pour la branche française.

Melchior Fauveclare, veuf, y vit avec ses deux enfants Aubert et Isabelle, et avec sa soeur Anne.

Peut-être les motifs de discode entre lesdeux familles se fussent-ils, o la longue, atténués si l'âme damnée de dona Encarnacion, l'intrigante Claudia de Winfeld, que les fils de Melchior appellent "la louve dévorante", ne les entretenait à plaisir. Quels drames se préparent dans cette atmosphère empoisonnée ? Et quel martyre aussi doit suppporter la faible et malheureuse Enriqueta qui doit vivre sous la férule d'une belle-mère orgueilleuse et au coeur sec et qui n'a même pas la ressource de recevoir de son mari, domnié par sa mère, aide et assistance ?

2 livres
17 lecteurs

Ker-Even... Sur un promontoire déchiqueté de lamer bretonne se tapit une longue maison, noire et basse. Elle inquiète par son aspect. C'est un ancien repaire de pirates.

Un couple jeune et brillant l'habite, cependant : André de Valserres, sa femme Ines et leur fillette Florita. Officier de marine, André a inventé une terrible arme secrète. "Mais il est souvent absent... Légère et coquette, Ines est criblée de dettes. Aux abois, elle vole un jour les plans de son mari, les vend... Aucun des époux ne survivra à ce déshonneur.

Non loin de Ker-Even, se dresse l'opulent château de Runesto. Là, résident la marquise de Penvalas et ses petits-enfants, Armelle et Alain. La marquise a recueilli par charité une orpheline, Elsa Hoffels dont le père, soi-disant colporteur, se livrait en réalité à d'étranges et mystérieuses activités... Elsa n'en ignore rien.

Après la mort de ses parents, Florita de Valserres est élevée par une tante mariée à un Allemand. Elle séjourne fréquemment chez les Penvalas, qui la chérissent. Au fil des ans, un ardent amour naît peu à peu entre Alain et Florita.

Amoureuse elle aussi du jeune marquis, Elsa ne supporte pas cette idylle. Sa haine et son ambition vont gravement la menacer...

2 livres
9 lecteurs

Nourri d'observations, charpenté puissamment, ce roman brille par les qualités d'émotion qui ont valu à Delly tant de succès. Un roman d'aventures ne se résume pas. Disons simplement que c'est l'histoire de l'espionnage allemand tenu en échec par une organisation qui compte des affiliés sur tous les points du globe. Le duel entre les deux organisations se complique d'assassinats, de vols de documents, de rapts d'enfants, d'exécutions sommaires. La sèche énumération des faits donnerait du reste une fausse idée du roman si l'on ne connaissait le charme du style de Delly, sa justesse d'expression, et qu'un discret idéalisme, un souffle de morale pure atténuent dans tous ses romans ce que la brutalité des gestes peut communiquer d'amer au récit. Sous le masque a obtenu le même succès prolongé que La Fin d'une Walkyrie, Esclave ou reine et Entre deux âmes.

2 livres
19 lecteurs

Laquelle, d'Orietta ou de Faustina, est la fille de lord Cecil Falsdone, marquis de Shesbury ? Ce dernier, au cours d'un voyage en Italie, s'est fiancé à Béatrice Darielli, mais il se marie avec la cousine de celle-ci, Bianca, qu'il abandonne bientôt ainsi que leur enfant. Avant de mourir, Bianca confie sa fille à sa cousine qui donne à son mari, le comte Farnella, également une fille. Une épidémie enlève Béatrice et les deux enfants, orphelines de mère, sont confiées à la soeur du comte Farnella, Angiola.

Les deux petites filles se ressemblent à s'y méprendre et Angiola, les ayant déshabillées pour les baigner, a mélangé leurs vêtements et ne sait plus distinguer, dans son désarroi et sa précipitation, la fille de son frère de l'autre fillette. Confusion dramatique que vient encore renforcer la mort de Angiola.

Quand le comte Farnella, obligé de s'exiler, confie les fillettes à lord Cecil Falsdone, ce dernier s'interroge : " De ces deux enfants, quelle est la mienne?"

2 livres
8 lecteurs

Raymond de Faligny, ulcéré par la perte du domaine de la Sarrasine au profit du docteur Valdemar Norsten, voue à ce dernier une haine tenace. Et il accusera le docteur, preuves en main, d'être l'assassin d'Aurore de Serval, soeur de Raymond. Arrêté, condamné au bagne, Norsten réussit à s'évader et à s'enfuir avec sa fille Elfrida dans une île de l'Océanie, où le docteur est reconnu bientôt par les indigènes roi de leur royaume de Kidji.

A Paris, déçu par les intrigues de miss Dinah Barnett de qui il s'est épris, de Faligny part pour les îles du Pacifique avec son ami André, un explorateur. Les sujets du roi de Kidji les font prisonniers. Le docteur tirera-t-il une vengeance éclatante de celui qui a brisé sa vie et celle de sa fille ? Il jure à Raymond de Faligny, avant de mourir, qu'il est innocent du crime. Les trois Européens réussissent, au prix des plus grands périls, à rejoindre Melbourne d'où ils s'embarquent pour la France. Elfrida, de Faligny n'ont plus qu'un but : réhabiliter la mémoire de Valdemar Norsten.

2 livres
14 lecteurs

A Paris où Manon travaille, le hasard la met en présence d'Ahélya, la soeur de Maun-Sing. Bientôt, une sincère amitié unit les deux jeunes fllles. Elle se revoient souvent et, un jour, Manon rencontre chez Ahélya le maharadja de Bangove-Maun-Sing qu'elle n'avait pas revu depuis longtemps.

La petite Manon d'autrefois qu'il appelait alors « l'enfant mystérieuse » est devenue une séduisante jeune fllle et Maun-Sing s'éprend passionnément d'elle. Mais quels sont ses origines, son passé ? Nul ne le sait.

Qu'importe ! Manon est enlevée par Maun-Sing sur son yacht, le Trimourti, qui fait route vers l'Inde.

— Pour vous soustraire aux attaques de vos ennemis, ces Courbarols qui ont juré votre perte, pour accomplir mes dessins personnels, j'ai dû agir ainsi, Manon, lui avoue Maun-Sing. Et puis, je ne vous rendrai jamais votre liberté, parce que je vous aime et vous veux pour femme. Nous nous marierons dès notre arrivée en Inde.

C'est, pour « l'enfant mystérieuse », le début d'une extraordinaire aventure…

2 livres
2 lecteurs

Alwyn entra dans une salle immense. Au fond trônait une énorme statue de Siva, taillée dans un granit rouge. Le dieu tendait ses bras multiples, chacun tenant un serpent. Il semblait darder un implacable regard sur les étrangers qui osaient souiller son temple de leur présence."

Le jeune Dr Alwyn Clenmare, établi depuis peu en Bretagne où il exerçait sa profession, vit à présent une étrange aventure...

A son grand-père, Lord Rusfolk qui vient de mourir en lui léguant ses titres et privilèges, Alwyn a juré de sauver Ahélya, une petite cousine enlevée par une secte hindoue. Il n'en connaît qu'un portrait, mais elle paraît ravissante...

Après avoir déjoué les intrigues d'un oncle et celles d'Aurora, sa superbe et redoutable fille, Alwyn retrouve enfin la trace d'Ahélya. Bravant tous les dangers, les interdits, les superstitions, il découvre le sanctuaire des brahmes où est cachée la prisonnière.

Une angoissante lutte s'engage...

2 livres
8 lecteurs

De son union avec Armaël Dourzen, Var vara a eu une fille, Gwen. Après le décès de son mari, elle se réfugie à Ti-Carrec, une vieille maison de la lande bretonne. Elle espère y vivre en paix, mais le comte Ivor de Penanscoët, qu'elle a quitté pour se marier à Armaël, la poursuit d'une haine sans pitié. Installé au château de Kermazenc avec sa femme Nouhourmal, fille d'un maharadja, et leur fils Dougual, Ivor est, du fait de son mariage, rajah de Pavala, dans l'île de Bornéo.

Un matin, Varvara est trouvée morte, empoisonnée. Suicide? Non, un crime. Qui est le meurtrier?

Gwen est recueillie par Hervé Dourzen et sa femme Blanche qui ont deux filles, Rose et Laure, bientôt jalouses de la beauté de l'orpheline de Ti-Carrec.

Une nuit, Gwen pénètre dans le parc de Kermazenc. Dans une construction de style des temples hindous, elle aperçoit Dougual. A ses pieds, assise, une jeune femme vêtue d'une robe de gaze blanche, lamée d'or...

Dès cet instant, Gwen subira la loi de son destin. Quel sera-t-il ? Vous le saurez en lisant la suite du présent ouvrage, deuxième tome qui a pour titre : " Gwen, princesse d'Orient ".

Tous les livres de Delly

Elisabeth de Rüden aura.t-elle, un jour, l'explication du mystère qui n'a cessé d'entourer la mort de sa mère trouvée noyée dans l'étang-aux-biches? Accident? Crime?

Judith, la seconde femme du père d'Elizabeth, pourrait répondre peut-être à ces questions.

Ni elle ni sa fille Agathe, née d'un premier lit, ne peuvent s'entendre avec Elisabeth, encore moins lorsque Agathe épousera Willibad Rüden-Gortz.

Mais l'étang exigera d'autres proies.

A bord d'une barque conduite par Elisabeth, Agathe et son fils périront noyés.

Tout accuse Elisabeth d'avoir volontairement provoqué l'accident: sa haine pour sa jeune rivale, l'aveu de son amour pour Willibad, seul à la défendre contre tous...

En ce sauvage Morbihan, la noblesse bretonne a gardé toute sa fierté, tous ses préjugés aussi... Et c'est avec méfiance qu'on apprend à Sermor cette nouvelle : un certain Franz Wolf a loué le manoir de Ty-Glaz.

Un Autrichien... et un "roturier"! On le dit séduisant, musicien, il n'empêche !

Seuls M. de Pendennek et sa fille Gwen - la grâce même - l'accueillent avec courtoisie.

Une courtoisie qui pour Franz et Gwen devient entente profonde, tant leurs goûts communs les rapprochent. Gwen croit vivre un conte de fées !

Autour d'eux cependant on crie au scandale Mlle de Pendennek se compromet avec cet homme dont on ignore le passé...

Quand une dépêche rappelle Franz à Vienne, Gwen reste seule, blessée, en proie au doute. A-t-elle eu tort de croire aux contes de fées ?

1793. La Révolution. Oriane de Cormessan doit fuir avec son jeune frère Aimery. Tous deux trouvent refuge en Autriche, auprès d'une cousine qui dirige un chapitre de chanoinesses fondé par la famille des Faldensten.

Les Seigneurs loups, tel est le surnom donné aux comtes de Faldensten, car ils portent dans leurs armoiries une tête de loup. Durs, hautains; despotiques, ils sont craints de tous...

L'héritier du titre, le redoutable et séduisant Guido, tombe amoureux d'Oriane et décide de l'épouser. Terrifiée, la jeune fille ne peut qu'y consentir. Dès cet instant, elle s'attire la haine d'une jeune femme, délaissée par Guido, la comtesse Freihild Moldau qui jure de se venger. "Je sais haïr et aimer... jusqu'au crime", dit-elle.

Par ce crime, elle compromettra gravement sa jeune rivale.

Oriane, prouvera-t-elle son innocence aux yeux de son Seigneur loup, qu'elle commençait à trouver moins terrible, presque tendre... ?

La fidélité en amour ?Je ne m'en sens pas capable. Je veux du chan¬gement. Même Claire, ma femme, si ravissante, ne m'a pas gardé..." Tel est l'aveu du beau, de l'irrésistible Flavio.

Séparé de son épouse, il poursuit au gré de son caprice, une carrière de séducteur qui ne respecte ni l'innocence ni la pureté. Peu d' élues se refusent, hélas!... Aussi, dès qu'il rencontre en Italie; où l' accompagne son cousin Emmanuel, la jolie Giovanna, lui fait il une pressante cour, bien accueillie. La jeune fille est troublée... , loin d'imaginer que Flavio est marié.

Emmanuel n' est pas moins amoureux de Giovanna, mais il l' est profondément. Il n'a qu'une idée : se vouer à son bonheur. Et il s' alarme en secret à la perspective du bouleversement de cet être si jeune et si fier quand Giovanna apprendra la duplicité de Flavio. I1 faudra pourtant qu'un jour...

N' est-il pas déjà trop tard? Un coeur brisé peut-il l'être à jamais?

Orpheline de mère et dont le père, remarié, vit à Paris, Madel a vécu une enfance préservée dans la demeure familiale de Bargenac. Entre deux aïeules tendrement chéries.

Lorsqu'elles s'éteignent, M. Breuil appelle sa fille à Pans et Madel se retrouve - dépaysée et blessée - dans une famille sans âme. De rares êtres adoucissent sa détresse : le chaleureux Dr Vital Nisse; Mme Marsy, surtout, une vieille dame exquise qui vit avec son fils Bernard.

Quand Vital, soudain, lui témoigne un sentiment plus ardent, Madel est tout à la fois ravie et effrayée. Elle ne sait rien de la vie mais la rumeur lui a appris la frivolité de Vital... Dans les yeux de Bernard, elle a lu beaucoup de tendresse. Cependant la réserve du jeune homme est si grande…

Comme Phyllis écoute avec délices s'égrener les notes des Heures de la vie sous les doigts d'Alexy Orbiewicz! Il joue là une composition de son frère Witold - un musicien que la sensible adolescente admire avec ferveur.

Ainsi naît entre les jeunes gens une douce entente et bientôt la grand-mère de Phyllis donne son consentement au mariage... Pour lui c'est l'amour le plus intense, pour elle une tendresse confiante.

Witold quitte sa retraite de Cap d'Antibes et rejoint les fiancés. Entre Phyllis et lui naît alors, foudroyante, totale, une passion qu'ils refusent, qu'ils nient, mais dont Alexy prend conscience. Avec horreur, avec effroi. Avec désespoir aussi car il vénère son frère.

C'est un être déchiré, écartelé, qui s'interroge...

Venger soi-même les injustices dont on est le témoin chaque jour, s'arroger le droit de juger et de punir ceux qui se rendent coupables de ces injustices, tel est le but que s'est proposé d'atteindre Don Miguel, sur-nommé le roi des Andes.

Nul ne peut faire fléchir ses décisions, ni atténuer ses rigueurs... jusqu'au jour où il reverra Inès qui participe à une périlleuse expédition au Pérou où elle risque sa vie.

L'amour changera-t-il le caractère de cet homme dur, cruel, impitoyable ? Inès se demande pourtant si son bonheur est au-près de lui, si elle ne court pas au-devant de la plus amère déception en essayant, malgré lui, de le convaincre de consacrer son temps à des tâches plus nobles.

Un vieux manoir autrichien où vit une étrange famille ruinée, celle des comtes de Lendau ; des pierres séculaires ; de sombres haines ancestrales ; mais aussi l'honnête famille du professeur Lienkwicz : le vieil homme probe, l'enfant malade et cette silhouette adorable de fraîcheur et d'intelligence, la radieuse Marysia.

- Avez-vous toujours conservé le fameux rubis que l'émir remit pour dot à une de vos parentes ?

- Oui, répond Aimery de la Roche Lausac au père de Meryem; il est toujours resté dans la famille.

- On dit que ce bijou est un gage de bonheur pour celle qui le porte.

- Cela dépend de ce que l'on entend par bonheur ! réplique Aimery d'un ton ironique.

Marié à Flora, Aimery n'est pas heureux. Il l'avoue à sa jeune cousine Meryem de Grelley, il lui confie son espoir qu'un jour peut-être il sera libre ...

Leur conversation, surprise par une oreille indiscrète, se retournera contre lui quand on découvrira sa femme Flora assassinée.

Aimery est arrêté. Est-ce lui le coupable ? Qui a volé sur la morte le «rubis de l'émir»? Françoise Gibault, filleule recueillie par le père de Meryem ? Elvira de Gomaès, soeur de Flora, ambitieuse et amoureuse de son beau-frère, capable de commettre même un crime ?

Meryem conservera-t-elle sa foi à celui que tout accuse et qu'elle aime en secret ?

"- Vous mettez toujours une robe couleur du temps, Gillette !

- Oui, celle-là est grise comme ce ciel d'hiver. Grise comme ma vie..."

Ainsi parle Gillette d'Arbiers que la vie, en effet, n'a pas gâtée. Orpheline et soudain ruinée, pour se libérer d'une tutelle odieuse, Gillette se réfugie dans sa métairie délabrée de La Meulière, en Vendée. L'unique bien qui lui reste.

L'effondrement de sa fortune a fait fuir un prétendant. Sans argent, que peut attendre désormais Gillette malgré sa jeunesse, sa radieuse beauté? Courageuse, tenace, elle décide de s'installer dans sa vieille maison et de s'initier aux travaux de la campagne.

La rencontre d'un homme exceptionnel, Guy de Trézonne, le châtelain du pays, la trouble autant qu'elle la déconcerte. Il a l'air si hautain, si dur?... Pourquoi? Gillette a peur dès qu'il la recherche.

Aux ciels gris de l'hiver, les ciels lumineux aux couleurs d'espoir succèderont-ils, pour qu'elle change de robe? Ou, au contraire...

Oui, puisqu'il l'a promis à son père mourant, Siegbert épousera Myriam de Würmstein. Oui, lui, le fier, l'ombrageux comte de Hornstedt épousera cette inconnue dont il a appris avec horreur qu'elle est la petite-fille d'un usurier...

Et lors de ce mariage secret, rapide et glacé, le lourd voile qui couvre le visage de Myriam cache à Siegbert les immenses yeux noirs, les cheveux d'or de cette fiancée haïe. Sitôt la cérémonie achevée, il fuit.

Myriam, quant à elle, sera contrainte à une humble retraite provinciale. Un seul sourire éclaire sa vie celui de sa sœur Rachel, une enfant fragile et tendre.

Siegbert, brillant diplomate, sillonne l'Europe... jusqu'au jour où le destin met sur sa route une exquise inconnue, aux longs cheveux d'or roux, au sombre et doux regard. Et qui tient par la main une frêle adolescente…

Il va être lord. Elle est belle, de bonne naissance mais pauvre et persécutée par une vilaine marâtre, il l'épouse pour se venger, il hérite, elle devient lady à sa grande surprise, mais il ne l'aime pas. Après moult péripéties et turpitudes, ils s'aimeront cependant pour toujours dans le bonheur, la plénitude et entourés de petits angelots voletant. Bien évidemment, la main de Dieu s'est abattue sur les méchants. Pardonnés par leurs victimes victorieuses.

Dans les jardins du château de Versailles, Odile laisse tomber son livre. Un jeune homme le ramasse, le lui tend... C'est le coup de foudre !

Odile est pauvre. Lui, Frantz de Drosen, est un prince. Ni l'un ni l'autre ne peuvent oublier cette rencontre.

Devenue lectrice de la soeur du prince, Odile lutte pour échapper à l'amour impossible... A la Cour, d'ailleurs, on se montre, hostile à la trop jolie Française. Une grande dame, follement éprise de Frantz, songe même à éliminer l'intruse par le poison.

Cédant à leur passion, Odile et le prince viennent de se fiancer. Dans quatre jours, ils seront mari et femme.

Du moins le croient-ils, inconscients du danger...

Il m'est pénible de vous le dire, monsieur Devennes, mais ma fille Paule a décidé de reprendre sa parole. Elle s'est trompée sur la nature du sentiment que vous lui inspiriez».

Ainsi Raymond Devennes, jeune avocat, apprend-il la rupture de ses fiancailles. A sa douleur s'ajoute bientôt la certitude que Paule est malheureuse avec le mari qu'elle a choisi, Me Ferdinand Daubrey, incorrigible viveur.

Ariane, soeur de ce dernier, a reçu une éducation sans idéal et une connaissance trop précoce de la vie.

Sera-t-elle la consolatrice de Raymond ? Avocate, penchée chaque jour sur les mi¬sères matérielles et morales d'autrui, elle peut acquérir une âme de clarté. De ces âmes qui attirent les faiblesses pour les relever, qui communiquent aux autres cette chaleur de la «lampe ardente» qui est en nous.

Un parent inconnu, le comte de Redwitz, invite Genovefa et sa soeur Héloïse, dès qu'elles sont orphe¬lines, à séjourner dans son lointain château de Bavière.

Isolé au milieu de la forêt, dès l'abord le château leur semble étrange. Le comte de Redwitz est un personnage dur, orgueilleux à l'extrême. Bien vite les jeunes filles comprennent qu'il veut régenter leurs existences.

Peu à peu, elles nouent pourtant des liens avec les châtelains voisins. Un ardent amour naît entre Genovefa et Odo de Gheldorf, un brillant officier. Pourquoi le comte s'oppose-t-il si violemment à cette union?

Genovefa n'est pas d'un caractère à plier sous le joug de son cousin. Un combat sans trêve les oppose. De plus, elle pressent un mystère dans la vie de cet homme singulier, tourmenté.

Un soir, saisie d'effroi, Genovefa entend un cri, une plainte poignante qui paraît sortir des ruines proches de sa chambre. Et ce cri, elle l'entend encoreune autre nuit... )ès lors, Genovefa va s'acharner à savoir - impru¬demment peut-être ! - qui appelle ainsi au secours…

Un inconnu au visage bronzé, à l'air hautain contrastant avec ses vêtements élimés, descend du train à la gare de Treilhac.

C'est Lorenzo. Il revient dans le Bordelais après une longue absence. Chacun l'évite : il ne semble pas avoir fait fortune, en Afrique !

Pour sa belle-mère, Mme Damplesmes, qui vit dans la maison de Lorenzo, ce retour est une catastrophe. Cet aventurier, ce raté est bien capable de la chasser, elle et ses enfants ! Seule, Hélène une orpheline recueillie par Mme Damplesmes, accueille le jeune homme avec chaleur. Elle-même est malheureuse, traitée comme une domestique...

Dans les salons de Treilhac, on ne parle que d'un mystérieux étranger qui vient d'acheter un superbe château et les terres qui l'entourent. Les jeunes filles rêvent de ce riche parti, surnommé "le marquis de Carabas".

Lorenzo a su se faire aimer de la douce Hélène. Il songe à l'épouser.

Mais avant, il prépare sa revanche, qu'il veut éclatante…

Un homme de ton rang ne doit jamais considérer que son bon plaisir... " a-t-on affirmé au prince Wladimir. De plus, il est beau. Si séduisant malgré sa morgue et son mépris envers les femmes !

L'une d'elles, pourtant, une jeune fille modestement vêtue, rencontrée dans une forêt, ose braver le prince alors qu'il menace son chien :"Non ! Ne le tuez pas ! Il s'est défendu !lui crie-t-elle.

Wladimir est stupéfait. Mais elle est ensorcelante dans l'éclat de sa blondeur et de son indignation ! Qui est-ce ?

Elle s'appelle Lilia Vérine. Elle habite chez son garde-chasse. Celui-ci tremble en écoutant le prince qui déclare : "A bientôt Lilia ! Nous. nous reverrons..."

Que faire ? Comment la sauver ? se désole le brave homme.

Lui est cruel, méchant. Elle, ne sait encore rien de la vie...

Tout cela est vrai. Un grand amour changera-t-il le destin ?

- Resterez-vous quelque temps à Pelcoat?

- C'est probable. Je me contenterai de courts séjours à Paris. Ainsi, mademoiselle, j'espère avoir le très grand plaisir de vous rencontrer encore, probablement chez M. le recteur?

Luz répondit avec sa spontanéité habituelle:

-Mais je l'espère bien aussi, monsieur!

Après quoi elle prit congé du jeune homme qui l'accompagna jusqu'au delà du pont. Elle regagna les trois chênes toute joyeuse. Enfin, elle l'avait revu, cet Hoël, dont le nom était aujourd'hui célèbre! Comme, sous la correction élégante de la tenue, sous les manières d'homme du monde, elle le retrouvait semblable à autrefois!

Beau, riche, noble, et déjà célèbre à trente ans pour son talent d'écrivain, Elie de Ghiliac est paré de tous les prestiges. Veuf après une union malheureuse, il veut cette fois faire un mariage de raison. Dans la jeune Valderez de Noctare, il croit avoir trouvé l'épouse pieusement effacée qui restera au foyer. Mais la ravissante Valderez est-elle faite pour n'être qu'une maîtresse de maison? Saura-t-elle gagner le coeur de son trop séduisant mari?

La beauté du devoir, la force rayonnante qui émane de la fidélité héroïque aux vertus chrétiennes, voilà ce que raconte ce roman d’une adolescente jetée dans ce que le monde est convenu d’appeler un grand mariage. Armée de sa seule foi et de sa douceur invincible, Lise finira par incliner à une conception chevaleresque du droit des faibles son mari, imbu des préjugés féroces, à demi barbares, de l’aristocratie russe d’autrefois. Et c’est un duel émouvant qui a lieu ainsi dans le décor d’une villa de la côte d’Azur et dans la solitude d’une demeure seigneuriale de l’Ukraine.

Un drame intime, qui se déroule tantôt dans la société mêlée des salons où l'on ne s'ennuie pas, tantôt dans le milieu émouvant d'une ambulance pyrénéenne ou parmi les existences un peu cloîtrées de la province. Mlle Elys de Valromée, qu'en dépit de ses dix-huit ans on appelle Madame la Chanoinesse, n'a pas fait voeu de célibat en entrant dans le chapitre de Sainte-Edwige, mais s'est persuadée qu'elle ne se mariera jamais. Ne se trompe-t-elle pas ?

A bout de force, tenant par la main sa petite Magdalena, Roland de Norhac marche vers Cadeilles, le château familial d'où il fut un jour banni. Aujourd'hui, sachant sa fin proche, il vient demander à son oncle, M. de Norhac, aide et protection pour l'enfant, bientôt misérable orpheline. Trop tard ! Roland s'effondre, agonise... Et Magdalena est reléguée dans une tour vétuste, mise au secret, vouée à des tâches ingrates. En vérité, M. de Norhac, malade, n'est plus le maître de Cadeilles : c'est Vincente de Muvis, une belle intrigante, qui régente tout. Pour elle, Magdalena est l'ennemie. Un jour, l'adolescente s'échappe de sa prison et rencontre un jeune peintre - ému par une grâce si pure. Mais déjà, telle Cendrillon, Magdalena a fui et disparu

Quatrième de couverture :

Parce qu'elle a éprouvé par sa fille d’amères désillusions, Mme Norand a élevé sa petite-fille Annabel, devenue orpheline, dans une dure discipline, avec indifférence et un froideur inflexible. "C'est elle qui a tout détruit en moi, tout glacé, tout perdu. Je la hais", confie Annabel à sa jeune amie Régine.

A l'âge où son coeur parle, Annabel se heurte encore plus violemment à l’aïeule qui veut lui faire épouser Roger Brûlard, contre son gré. Elle aime Robert Arlys, un jeune avocat plein d'avenir, qui veut l'épouser. Comment Annabel vaincra-t-elle la résistance qu'oppose à ce mariage sa grand-mère intraitable ? Rien ne peut rien contre l'amour...

Rares sont les êtres qui choisissent dans la liberté complète de leur conscience la voie du sacerdoce. Ils y sont souvent poussés par des parents, des prêtres aussi parfois, qui ne se rendent pas compte exactement de la gravité de leur influence. L'auteur traite dans ce livre du délicat problème de la vocation religieuse.

Il analyse le trouble et l'angoisse qui assaillent Jacqueline Dubrulier, exhortée par sa soeur Agnès et leur tante à entrer dans la vie religieuse alors qu'elle doute d'avoir la vocation.

Agnès veut suivre la même voie ; elle connaîtra les luttes des âmes tourmentées qui se sont jetées hors du chemin tracé pour elles et qui s'obstinent dans leurs erreurs... par orgueil. Mais Jacqueline et Agnès ne persévéreront pas dans leur obstination.

Pour l'une comme pour l'autre, deux hommes surgiront dans leur vie...

Invité par son cousin Pierre Harige à venir aux Roches-Noires, en Corrèze, pour renouer des relations depuis longtemps interrompues, avec des membres de sa famille paternelle, Bernard Dambreuil fait ainsi la connaissance de ses cousines Monique Harige, de Marguerite Rambel, et de sa soeur Valentine, de leur frère Paul, de Marie-Claude Drezous, petite nièce d'Ambroise Harige, le propriétaire des Roches-Noires.

Quelque Temps après l'arrivée de Bernard, le drame éclate : la mort subite de Marie-Claude qui devait bientôt se marier avec Jacques Brezennes, de qui Valentine semble amoureuse.Par la suite, ils se marieront mais Jacques mourra à son tour, une mort qui ressemblera beaucoup à un suicide.De cette atmosphère tragique qui règne aux Roches-Noires, Bernard aura - t il un chance de se délivrer?

Lamour, peut-être, l'y aidera...

Le " Sceau de Satan ", un " Delly " à part, dont la conclusion moralisante atténue la caractère général pessimiste.

Vers quel destin marche la frêle et jolie Mitsi, lorsqu'elle franchit, dans sa robe de toile grossière, le seuil de Château Rose, la somptueuse demeure des Debrennes de Tarlay? Orpheline et sans ressources, elle vient chercher protection auprès de son tuteur, M. Parceuil - l'homme de confiance des Tarlay.

Mitsi ignore tout, hélas, de l'accusation de bâtardise qui pèse sur elle... Et la voici bientôt vouée aux tâches les plus basses; doublement haïe par la toute-puissante douairière du domaine et par Florine, la fiancée de Christian.

Ce Christian volage, égoïste, mais si séduisant que Mitsi ne peut s'empêcher de le chérir en secret. Jusqu'au jour où le jeune homme tente d'abuser d'elle. Alors, au péril de sa vie, elle fuit. Tandis que Christian découvre qu'il aime pour la première fois…

Qui est cette fillette inconnue, trouvée sur la route, une nuit, par Nestor Brocquerel ? Seul un hindou séjournant à Cannes, le très jeune maharadjah Maun-Sing, parvient à la tirer de l'incons¬cience. Au réveil, elle ne se souvient de rien.

Recueillie par Florence Grellier, qui lui donne son nom, "l'Enfant mystérieuse" devient Manon Grellier.

Les années passent... Manon est une jeune fille d'une éblouis¬sante beauté quand le malheur l'accable de nouveau. Ceux qui la protégeaient sont morts. Nul n'a pu l'éclairer sur son identité réelle. Sans ressources, elle décide d'aller gagner sa vie à Paris.

Un homme, cependant, sait la vérité au sujet de Manon : le second mari de la comtesse de Courbarols. Mais il se tait... Manon a fait par hasard connaissance de cette riche famille. Marcelle de Courbarols, la fille aînée, est éperdument amoureuse du maha¬radjah qui séduit alors la haute société de la capitale.

Autour de Manon se trament des intrigues. En triomphera-t-elle alors qu'elle lutte contre son propre coeur ?

L'Exilée, c'est Myrtô Elyanni, orpheline riche de sa seule beauté, que recueille en Hongrie sa cousine la comtesse Zolyani.

Les détestables filles de celle-ci mènent la vie dure à la fière et belle étrangère.

La douceur de Myrtô gagne l'affection de Renat, jeune fils du prince Arpad qui a perdu sa femme et traîne un deuil orgueilleux et glacé. Pendant une dangereuse épidémie, Myrtô sauve l'enfant au péril de sa vie.

Triomphera-t-elle de même des drames que la jalousie et l'ambition ont noués autour d'elle ? Verra-t-elle le bonheur lui sourire dans son exil ?

.. Son interlocutrice s'assit près d'elle... Cette petite femme maigre et légèrement contrefaite, dont le visage jauni s'encadrait de bandeaux d'un blond terne, semblait n'avoir, au premier abord, aucune ressemblance avec la jolie créature qui l'appelait sa tante. Cependant, en les voyant quelque temps l'une près de l'autre, on réussissait à trouver quelques traits identiques dans la physionomie effacée et insignifiante de la vieille demoiselle et celle, infiniment délicate, mais trop grave de la jeune fille...

Wennaël songeait à l’amour d’Annonciade, à sa radieuse beauté. Une griserie l’envahissait. Mais elle se mêlait à un sentiment gênant et inconnu de lui qui ressemblait à du remords..." Par jeu, le superbe et fantasque marquis Wennaël de Pennelon s’amuse à troubler Annonciade. La naïve et pure Annonciade qui tient d’une ascendance grecque sa grâce inimitable... Parviendra-t-elle à enchaîner ce cœur volage ? Wennaël repart bientôt vers sa vie brillante et superficielle, laissant la jeune fille profondément meurtrie. Quelques mois plus tard, en Bretagne, un hasard les réunit à nouveau. Wennaël sort d’un drame, désespéré. Il a été grièvement blessé, atteint aux yeux... Aucune foi ne le soutient dans son épreuve. Annonciade croit avoir cessé d’aimer cet homme plus que jamais cynique dans sa souffrance... Le fuira-t-elle, un soir, alors qu’elle voit s’avancer, dans la clarté crépusculaire du ciel breton, la haute silhouette de Wennaël ?

Liane, une humble et pieuse orpheline, a été recueillie par son oncle, en Angleterre. Sa modestie contraste avec la beauté éclatante, la brillante intelligence et la vertu élevée de son altière cousine, Marian.

Laquelle des deux jeunes filles s'avérera-t-elle être réellement une femme supérieure? C'est à la suite d'une héritage inattendu et de longues épreuves, que nous découvrirons la réponse!

Après la mort de leur mère, Alix de Sézannec et ses jeunes frères rejoignent, dans un manoir breton, leur grand-père, le comte de Regbrenz, qui chassa jadis de chez lui Mme de Sézannec.

Dans ce château battu des flots et isolé sur la lande, les jeunes gens sont en butte à la haine de leur tante Georgina et de l'oncle Even, épave solitaire et inquiétante.

Alix se sent environnée de mystérieuses intrigues.

Il y avait maintenant huit jours que Mirka était prisonnière des tziganes.

Et c'était le lendemain qu'elle devait devenir la femme de Mukarus.

Chaque jour, malgré ce que lui avait dit le tzigane, elle avait espéré voir apparaître les sauveurs. Mais rien n'était venu troubler l'immuable solitude du coin de forêt où se trouvait la grotte mystérieuse qui lui servait de prison.

Tous les matins, Holka, la vieille tzigane, lui faisait faire au-dehors une promenade. Mais, pour sortir de la grotte, on lui bandait les yeux, et la même cérémonie avait lieu à la rentrée.

Pourtant, ce matin…

« Vous êtes catholique, fervent pratiquant de votre religion, monsieur de Malay. Lysis, ma sœur que vous voulez épouser, est païenne. Elle doit le rester. C’est à cette condition que je vous accorde sa main. De plus, votre mariage ne sera pas célébré à l’église. Une simple cérémonie civile légalisera la situation ».

Jean de Malay ne peut accepter ces conditions qui lui sont imposées par Irène Dormier ; celle-ci a élevé Lysis et son frère Hélos dans le plus profond paganisme. Elle rejette la pratique de toute religion, contestant qu’elle puisse être un soutien aux heures de faiblesse et une consolation dans les inévitables épreuves de l’existence.

Plutôt que de renier sa foi, Jean préfère rompre avec Lysis. C’est la séparation, mais la vie remettra plus tard en présence les deux jeunes gens dans des circonstances tout autres. Et Irène, à l’approche de la mort, sollicitera d’eux le pardon de ses erreurs et même… d’un crime.

Il serait difficile d'imaginer famille plus unie et plus heureuse que celle de maître Arzen, le no-taire de Losbéleuc, en Bretagne. Mais cette uni-on affectueuse et ce bonheur paisible risquent un beau jour d'être compromis. Est-ce par le retour des habitants de la demeure voisine, les Rodennec? N'est-ce-pas plutôt par l'arrivée d'une cousine orpheline, Moussia, accueillie comme une fille et comme une soeur après la mort de son père? Moussia pourtant se montre charmante, pleine d'attention et de dévouement. Mais son cousin Tugdual, dit Tug, observe, avec méfiance, le moindre de ses gestes... Car il pressent qu'un jour peut-être, à cause d'elle, un drame éclatera..

Serge Harbreuze, qui a acquis une immense fortune dans l'industrie, annonce, un jour, à ses proches qu'il a décidé de se marier avec la comtesse Odile de Walberg, une Autrichienne. Le jeune couple s'installe dans la vieille demeure des Harbreuze. Il ne sera pas heureux longtemps. Serge, fier de sa réussite, mais très orgueilleux, sup¬porte difficilement les sautes d'humeur de sa femme qui ne cesse de lui rappeler cons¬tamment la noblesse de ses origines. «Je serai toujours une Walberg, lui lance-t-elle, un jour, au cours d'une scène plus violente que les autres. Je n'appartiendrai jamais à votre bourgeoisie que j'exècre. Je, n'aurais jamais accepté cette mésalliance si mon père ne m'y avait contrainte». Le lendemain matin, Odile quitte le toit conjugal. Est-ce la séparation définitive?

Marie-Reine du Helly — Reinette — est orpheline. Elle a été recueillie par son tuteur, M. Douvre, qui laisse à une épouse autoritaire le soin de son éducation. Mme Douvre, craignant que cette jeune fille sans fortune ne plaise à l'un de ses fils, voudrait la marier au plus vite. Elle la force à se fiancer à un savant bien plus âgé qu'elle, Valéry Logart, décidé à épouser une femme qu'il pourrait façonner à sa guise, suivant des théories très arrêtées. Quelques jours avant le mariage, Marie-Reine qui est très pieuse, sentant que son fiancé combattra sa foi, rompt avec éclat. Valéry en épouse une autre et ce mariage est un échec. Devenu veuf, il retrouvera Marie-Reine. Le savant se rend compte de ce qu'il a perdu par son intransigeance, il juge enfin à leur valeur le charme et les profondes qualités morales de Reinette et il finira par l'épouser. Marie-Reine est une des plus émouvantes héroïnes de Delly. Le roman, plein de péripéties inattendues, est de ceux qu'on lit sans pouvoir les quitter

« Aimer, c'est souffrir. Je ne veux pas souffrir, donc je n'aimerai pas. » Telle est la détermination que prennent, chacun de leur côté, Sylvie d'Arbouze et Nigel Ogerlof.

Mais qui osera faire la loi au destin ?

Les voilà en présence. Elle est jolie, malheureuse parce qu'elle est orpheline et dans une situation humiliante. Nigel, doué d'un remarquable talent de violoniste, entend par hasard les sons d'un piano. Il reconnaît Chant d'exil, pièce de sa composition. C'est Sylvie qui joue. Il en fait son accompagnatrice, puis sa femme.

Ce mariage, une fin ? Non, un prologue, car l'accord des époux ne va plus loin que la mise en commun de leurs talents artistiques. Et ainsi débute le drame qui se jouera entre ces deux âmes.

Jusqu'où ces fous, qui se croient sages, pousseront-ils la folie ? S'acharneront-il à poursuivre un mirage trompeur ?

Ils se griseront d'abord de succès et de plaisirs, puis connaîtront l'amère saveur de la lassitude. Pour traiter avec grâce ce problème délicat, il fallait un maître averti de la psychologie humaine.

Ce maître, c'est Delly.

Tugdual Meurzen est un jeune peintre mais déjà on apprécie son talent, son parfait «métier»... Un mot qui le laisse insatisfait, irrité.

Ses toiles, il le sent, manquent de liberté, d'âme. En vérité, Tugdual étouffe entre une mère abusive et une soeur à l'esprit sec.

Pourtant, dans cette lumineuse Provence où tous trois font un bref séjour, Tugdual se reprend à espérer. Il a fait la connaissance de Sormagnes, le sculpteur, et de sa petite-fille, Dionysia, au pur et grave visage éclairé par un regard d'aigue-marine.

Sensible au drame qu'elle devine, elle accepte de poser pour un portrait. Et dès les premières esquisses, un nouvel artiste se révèle… deux coeurs se découvrent.

Mme Meurzen va tout tenter pour reprendre son fils. Lui rappeler un ancien, un fatal serment...

4éme de couverture des Editions du Dauphin, 1956:

Idyllique, et pourtant sinistre ... c'est une atmosphère toute de contraste que découvre le jeune Gilbert de Clercy, à peine arriver chez son grand-père, dans le château familiale au cœur du jura ... Il y a l'intendant Bartholo et son fils Giuseppe, deux intrigants dans l'emprise sur le vieil homme grandit de jour en jour et cache de sombres desseins ... Il y a surtout, cachée au cœur des bois la maison abandonnée, où plane un angoissant mystère ...

Gilbert, ardent et courageux, parviendra-t-il à en percer le secret?

Après la mort misérable de ses parents, la jolie Solange Dorvenne, institutrice de fraîche date, vient prendre son premier emploi à Sillery, petit village de la banlieue parisienne. Intelligente, farouche et droite, elle brûle d'enthousiasme non seulement pour son métier, mais aussi pour les idées libertaires des partis ouvriers, où elle croit retrouver la révolte de tout un peuple aspirant à une vie meilleure. Mais où est le bonheur. Dans l'incertitude d'une existence sans croyance ni idéal, dans l'abandon des hautes valeurs traditionnelles, ou dans l'Amour?

Cette histoire est tout à fait romantique et “à l’ancienne” : l’héroïne est jeune, jolie, naïve et opprimée, et totalement aveugle des sentiments naissants (puis ardents) du héros ou de la jalousie des autres femmes. En bref, une petite histoire totalement désuète et très divertissante, un peu dans la même veine qu’un Barbara Cartland, mais en mieux !

Gaïta Valprez, jeune et fantasque orpheline, vit en sauvageonne près d'une vieille parente, dans un manoir d'Auvergne que baignent les eaux de la Luzette.

Lorsque son tuteur, le poète Gildas Le Guernez, décide de l'envoyer en pension, la jeune fille connaît des heures d'amère révolte. Pourtant elle s'attache peu à peu à ce tuteur froid et sévère que semble ravager une indicible tristesse.

Quel drame a bouleversé sa vie ? Gaïta, qui s'est mise à aimer Gildas, sera-t-elle assez forte pour lui apporter la paix et le bonheur.

Qui a tué, le jour même de son mariage, Carloman, l'époux de cette charmante Aurore de Brüsfeld mariée contre son gré, à dix-huit ans, par un père trop autoritaire ? A quelle activité mystérieuse s'emploie son beau-frère Melchior, si souvent absent du château familial où s'est réfugiée la jeune veuve ? Quelles intrigues ourdit dans son domaine de contes de fées la trop belle Sigrid de Prauzelles ? Brisera-t-elle le second mariage d'Aurore avec Wilfrid dont elle est sincèrement éprise ? Les fervents de Delly trouveront à toutes ces questions des réponses inattendues en lisant la plus captivante des histoires d'amour.

Deux sœurs, orphelines et pauvres, entrent comme professeurs de jeunes enfants dans un château situé aux environs de Nice. Le manoir et ses habitants leur apparaissent bientôt dans toute leur mystérieuse singularité. Un terrible secret menace leur vie… Tel est l’argument de cette œuvre qui pose, dans une atmosphère d’étrangeté, une passionnante énigme.

Sur une plage bretonne, Jocelyne et Goulven, les enfants du commandant Orguin, trouvent un jeune garçon inanimé, démuni de toute pièce d’identité. Adopté par les Orguin, l’inconnu recevra le nom de Gonzague. Les années passent. Après la mort de leurs parents, Jocelyne et Goulven, ainsi que Gonzague, doivent gagner leur vie.

Jocelyne accepte un emploi d’institutrice en Angleterre, à Rudsay-Manor, où elle devra veiller à l’éducation d’une fillette, Amy Marcill.

Or, un jour, Jocelyne en examinant les portraits d’une galerie où Amy l’a entraînée, remarque que l’un d’eux présente une similitude de traits avec… Gonzague. « Qui est-ce ? demande-t-elle. « C’est mon oncle, répond Amy, le Père de Francès, que vous connaissez. Il eut aussi un fils, mort il y a des années.

Or, la date du décès coïncide avec celle de la découverte du jeune inconnu sur la plage.

Quand, plus tard, on ouvre le cercueil où doit reposer la dépouille de lord Brawley Marcill, comte de Rudsay, les témoins, horrifiés, constatent qu’il est vide…

(( Il ne faut jamais regretter la souffrance, c’est avec elle que nous achetons le bonheur )). Ce sont les paroles que prononce Didier Larmy, à l’adresse de Ninon, devenue sa femme.

Car, ce ne sont pas les épreuves qui, en effet, ont manqué à l’un comme à l’autre, avant leur union longtemps différée.

Des deuils rapprochés se sont abattus chez les Bordès, laissant la jeune Ninon aux prises avec les dures exigences de la vie, obligée d’habiter Paris avec son frère et sa belle-sœur dont tout la sépare. Mais le principal obstacle à son bonheur fut un drame de conscience qui plongea Didier devant une douloureuse alternative : ou dénoncer, son frère Gratien coupable d’un crime, ou se taire. Il choisit de ne pas parler, sachant qu’il se condamnait lui-même aux yeux de celle qu’il aimait.

Mais l’amour triomphe toujours des épreuves…

"On peut être très bon et rendre une femme malheureuse..."

Ainsi songe Ginevra, quelques mois après avoir épousé le marquis Silvio Orcella. Elle ne peut rien lui reprocher cependant: dès la première rencontre, elle a su qu'il demeurait tout entier attaché au souvenir de sa femme, Hélène, arrachée à son amour après un an d'un bonheur fou... Et que s'il consentait à se remarier, c'était pour assurer le nom des Orcella.

Ginevra, elle-même, issue d'une famille noble mais pauvre, avait cru faire un mariage de raison.

Avait cru... Au fil des jours partagés dans le raffinement exquis de leur villa d'Ombrie, elle s'est mise à aimer Silvio.

D'une passion ardente, totale. Qu'elle étouffe... face à l'estime profonde mais si lointaine que lui témoigne son mari.

Silvio, déchiré sous son apparente froideur, hanté par son serment à Hélène: "A la vie, à la mort, tu seras mon seul amour..."

A la villa Orcella, un enfant va naître...

La belle Suédoise Mme Storven qui s’est remariée avec le duc de Pengdale, lord George Brasleigh, pousse sa fille Hulda, née d’un premier lit, à épouser Charles Brasleigh issu, lui aussi, d’un premier mariage du duc, bien que la jeune fille soit passionnément éprise de lord Harold Treswyll, cousin de Charles. Elle réussit dans son entreprise pendant le séjour que ce dernier fait en Orient. Hulda règne alors en maîtresse à Elsdone Castle.

Eric Dorgan, le frère de sir Hector Dorgan, tuteur de lord Harold, a contracté une dette de reconnaissance envers un Français, Jacques Versigny, qui, sur son lit de mort, demande qu’on prenne soin de ses enfants, Yildiz et Hubert.

Charles Brasleigh étant décédé dans de mystérieuses circonstances, Hulda pense alors pouvoir conquérir Harold, mais ce dernier épouse la belle Yildiz. Celle-ci sera-t-elle heureuse avec cet homme qui se ré¬vèle autoritaire, orgueilleux et n’a jamais pu abandonner les coutumes de l’Orient ?

Les autres femmes qu’il a connues avant elle ont souffert d’être délaissées. Qu’en sera-t-il pour Yildiz que Hulda poursuit d’une haine impitoyable ?

Il y a deux fraternités au monde : celle que l’on pratique dans la sincérité de son cœur, au prix du sacrifice même et celle qui sert d’enseigne pour tromper autrui.

Cyprien et son cousin Prosper Louviers pratiquent respectivement l’une et l’autre. Ce dernier, qui hait le riche et le bourgeois, ne connaît plus les limites de son ambition dès le jour où un héritage imprévu lui échoit. Au cours d’une grève, Cyprien est mortellement blessé, ces grèves que désapprouve aujourd’hui Prosper qu’il déclenchait hier.

Devenu veuf, celui-ci, amoureux de Micheline, la veuve de Cyprien, voit ses avances repoussées. Ulcéré par ce refus, Prosper, pour se venger d’avoir été éconduit, enlève la fille de Micheline : Suzanne.

Acte odieux dont, des années plus tard, le ravisseur devra rendre compte aux dernières minutes de sa vie. Drame bouleversant qui va plonger une mère dans le désespoir, mais sera pour Alexis, le fils de Louviers, le levain d’une fraternité du cœur jusqu’alors méconnue.

A l'unisson du paysage angevin qui l'environne, la maison de Me Fervières est un lieu d'harmonie. Bruno, après les tourments de l'adolescence, a trouvé sa vocation : dans des récits mystiques, il concilie sa foi ardente et son imagination de poète.

Cette paix, soudain, est troublée par la venue dans une proche demeure de Parisiens frivoles et indiscrets. Et Bruno rencontre Floriane.

Son charme est exquis, son intelligence très fine, mais pour elle Dieu n'existe pas...

Alors Bruno n'aura de cesse de la convaincre, de lui offrir sa foi en partage. Floriane semble touchée...

Le jeune homme cependant ne s'abuse-t-il pas sur ses propres sentiments ? Et si, pour sauver cette âme, peut-être fermée à Dieu, Bruno allait lui-même se perdre ?

Avec La Fin d'une Walkyrie c'est un véritable roman russe, admirablement « senti » et documenté, qu'a écrit la célèbre romancière. Dans un salon de Saint-Pétersbourg, deux cousins, les comtes Boris et Cyrille Vlavesky sont présentés à une belle Allemande, Brunhilde von Halweg. Pour l'un et l'autre, mais surtout pour le tendre et faible Cyrille, c'est le jour noir de leur existence, où le Destin frappe ses quatre coups beethovéniens.

Promeneur fasciné par cette belle et sauvage forêt du Jura, Henry de Gesvres s’est égaré... Soudain, une demeure isolée et la chaude lumière de ses fenêtres dans la nuit...

Deux jeunes femmes accueillent Henry pour une brève halte.

Nadiège de Rambuges, charmeuse, insinuante, aussi énigmatique que cette chatte blanche attachée à ses pas...

Et sa nièce Yolaine - un regard bleu d’une exquise douceur. Un regard inoubliable pour Henry qui peu après, à Paris, retrouvera ses hôtesses d’un soir.

Entre Yolaine et lui grandit un amour silencieux, profond. Menacé... Par le père d’Henry qui veut pour son fils un riche mariage.

Par Nadiège, prête à tout pour devenir duchesse de Gesvres. La femme-chatte va se faire tigresse...

Résumé de l'éditeur : Emmanuelle était seule maintenant dans la chapelle où flottait encore un léger parfum d’encens, presque annihilé par celui des roses et des lys qui garnissaient l’autel. La Sœur Marie-Colette, après avoir tout rangé dans le petit chœur où s’était donné tout à l’heure la Bénédiction du Saint Sacrement, venait de disparaître en refermant sur elle la porte de la sacristie. Derrière la grille et le voile noir du chœur des religieuses, la lente psalmodie avait cessé, les pieuses recluses s’étaient retirées.

Emmanuelle demeurait seule, le front entre ses mains, oubliant tout dans la ferveur de sa prière. Un rayon de soleil, passant à travers une vitre, se jouait sur son chapeau très simple, sur son corsage de batiste blanche, sur ses doigts fins contre lesquels s’appuyait son front encadré de bandeaux noirs lisses et satinés.

Elle releva enfin la tête. Ses yeux bruns – d’un brun doré et chaud – se posèrent longuement sur le tabernacle. Un rayonnement étrange parut s’y réfléchir et se communiquer à toute cette jeune physionomie. La petite bouche délicate s’entrouvrit, murmura quelques mots, tandis que le teint blanc se posait sous l’influence d’une émotion puissante.

Pendant quelques instants, Emmanuelle demeura ainsi. Une promesse ardente, passionnée, brûlait, au fond de ses prunelles... Le son d’une cloche agitée à l’extérieur par la Sœur tourière vint subitement la rappeler sur la terre. Elle se leva lentement, fit une profonde génuflexion et sortit de la chapelle.

– J’oubliais l’heure, ma Sœur ! dit-elle à la tourière qui lui adressait un petit salut amical.

– On n’est jamais mieux que près du bon Dieu, mademoiselle.

Un peu du rayonnement qui avait éclairé tout à l’heure le regard d’Emmanuelle y apparut de nouveau.

– Oh ! oui ! Mais il ne faut pas, même pour le bonheur que nous goûtons près de Lui, oublier nos devoirs de la terre. Ma cousine va se demander ce que je deviens.

– Oh ! Mlle Thècle doit bien se douter que vous avez laissé passer le temps en causant avec Notre-Seigneur ! dit la tourière en souriant. Bonsoir, mademoiselle Emmanuelle !

– Bonsoir, Sœur Françoise.

Emmanuelle, ayant franchi la vieille porte, s’engagea à droite dans la petite rue aux...........

Magali et son petit frère Freddy, se retrouvent orphelins à la suite du décès de leur mère malade pendant un voyage en train. Ils sont adoptés par une gouvernante au service de la duchesse de Völhberg et vont ainsi côtoyer les enfants de la famille ducale.

.Hoël de Penandour, jeune noble breton, vit avec sa sœur Yolande dans le manoir ancestral de Lesvélec. Un jour, il pénètre dans la propriété voisine, la villa des Serpents, et le piège se referme sur lui…

Dans cette villa habite Daria Volonef, une danseuse slave encore jeune, au charme ensorcelant, à la voix caressante, toujours vêtue d’étoffes chatoyantes. Elle a trois petits-enfants, Kyra, Eve et Youri, un musicien à la grâce féline.

Daria est un monstre. Elle sème le malheur sur ses pas. Parente éloignée des Penandour, elle s’est acharnée sur la famille, y portant la ruine et la désolation. On la fuit, on l’évite, on la craint.

Or, Hoël de Penandour et l’adorable Eve s’éprennent l’un de l’autre. Quelles manœuvres infernales Daria Volonef va-t-elle inventer pour les séparer ?

L’amour, parfois, est plus fort que la haine…

Etrange demeure, en vérité, que cette propriété de la côte normande ! Un vieilalrd égoïste, Albéric d'Erquoi, y vit seul, en attendant la mort. Et, sous une forme innattendue, dramatique, la mort survient : un matin , on trouve M. d'Erquoy assassiné.

Les proches de la victime s'interrogent. Qui est coupable ? Et où le vieil original a-t-il bien pu cacher sa fortune ? Son testament indique qu'elle appartiendra à qui la trouvera...

Tout un monde s'agite autour de cette énigme. Des personnages haineux et pervers, d'autres, purs et angéliques. La violence et l'amour se partagent les coeurs.

Au milieu de ce déferlement de passions, une tendre idylle s'ébauche. La sage Raymonde s'est profondément éprise du séduisant comte Ogier de Montanes, qui partage son sentiment. Mais ils ne sont pas du même milieu social.

Lorsque le criminiel sera démasqué et le mystérieux trésor enfin découvert, les deux jeunes gens parviendront-ils à faire triompher leur grand amour.

Un soir de neige, une petite fille est recueillie par le baron de Vaumeyran au seuil de sa demeure ; on l'appelle Hermine.

Lorsqu'après ses années de pension, Hermine, à 18 ans, revient aux Roches-Rouges, elle trouve au château une étrange et inquiétante atmosphère. Quel mystère pèse sur cette demeure ? Quels sont les cris tragiques, entendus un soir, qui ont glacé d'effroi la jeune fille?

Si Hermine réussit à élucider ce mystère, la connaissance d'un secret dramatique ne l'empêchera-t-elle pas de s'unir à celui qu'elle aime ?

Gilberte Feugères est malade. Le coeur...Elle peut mourir du jour au lendemain...Elle fait le bilan de sa vie: mariée, puis divorcée, puis remariée...trois enfants...Excommuniee...

Et le remords commence à s'insinuer. Arrivera-t-elle à retrouver la foi avant la mort qui la guette?

Une joie diabolique étincela dans les prunelles de Gérardine.

- Eh bien, soit, vous avez raison ! s'écria-t-elle d'un ton triomphant. Oui, je vous hais tous, et vous surtout, Renaud. Vous savez pourquoi ? Gérardine n'oublie rien... Oui, je me suis délectée en voyant les humiliations s'abattre sur vous, si orgueilleux. J'ai eu d'heureux moments, Renaud, et j'ai trouvé la vengeance très douce... Tenez, en ce moment, je pourrais mettre fin à votre épreuve, vous faire connaître la cause véritable de la mort de Victoria et vous réhabiliter aux yeux de tous.

M. d'Armilly interrompit avec un calme glacial :

- Ce serait fort inutile, pour la bonne raison que je connais aussi bien que vous la vérité sur cette mystérieuse affaire.

Cette fois, Gérardine sembla perdre sa présence d'esprit. Elle demeura un moment sans parole, regardant avec des yeux un peu dilatés l'impassible visage de Renaud.

- Vous connaissez ?... vous savez ? balbutia-t-elle.

- Oui, je sais, depuis fort longtemps même...

Elle est courageuse, Marie-Marthe, la jeune infirmière, et pourtant dès son arrivée au château de Mieulles, isolé sur un escarpement des monts de Corrèze, elle est saisie d'une sourde angoisse. Elle est sensible et bonne, et pourtant elle ne ressent que peu d'affection pour sa petite malade, Fernande de Grisolles. L'enfant est sournoise, égoïste, gatée par sa mère...

Tour à tour suave et d'une sèche dureté, Mme de Grisolles règne sur le château -en l'absence de son mari, soigné dans une lointaine maison de santé...

Et Marie-Marthe apprend avec stupeur que les deux servantes de Mieulles -maltraitées, à peine nourries- sont les filles du premier mariage de M. de Grisolles: Sylvine la résignée, Thècle la rebelle...

Dans ce château-labyrinthe, aux escaliers dérobés, au donjon interdit, Marie-Marthe va surprendre d'autres secrets sordides.

Quand Mme de Grisolles en prend conscience, une lutte feutrée s'engage. Puis dans le huis clos des vieux murs, les haines s'exacerbent..

Voici la dernière oeuvre de la célèbre romancière. D'un ton assez différent de celui de ses autres ouvrages, il nous raconte la tragique histoire de la famille Malereyne, au lendemain de la guerre de 1870. Sur cette famille pèse une sorte de malédiction, qui a voué au crime plusieurs de ses membres. Le dernier de ces meurtres sera commis par Franceline, qui tuera sa soeur jumelle Allys pour se substituer à elle auprès de son mari. Lorsque celui-ci découvrira le crime, après avoir épousé la meurtrière, il se résignera à ne pas briser son nouveau foyer, mais ce souvenir atroce continuera de peser sur les deux époux.

Source : Pocket

Norbert, fils d'un riche banquier, fait la découverte de ses ancêtres dans le village de Clergeac. Il y découvre Bénédicte, Une petite cousine, son oncle, sa marraine et cousin. Il sera mis face à son destin. Acceptera-t-il de se laissé guidé par la paix Divine qui envahie son âme ? Quel choix sera le sien ? Le renoncement c'est certain. Mais à quoi devra-t-il renoncé, pour trouvé la paix et le bonheur.

Du jour au lendemain, la douce et sensible Anita s'est vue contrainte d'habiter dans l'honorable maison Handen. Et, pour elle, le malheur a commencé...

Les Handen, parents éloignés d'Anita, ont le coeur sec. Pétris d'orgueil, ils font subir les pires humiliations à la jeune orpheline, qu'ils méprisent : si son père était un Handen, sa mère était une pauvre Espagnole qui chantait pour gagner sa vie.

Pour ajouter à ses souffrances, Anita tombe amoureuse d'Ary, le fils aîné des Handen, un merveilleux artiste, élégant et hautain, qui ne daigne pas s'apercevoir qu'elle existe.

Nulle perspective de bonheur, pour Anita, dans ce milieu hostile. Acceptera-t-elle d'épouser Ulrich, le sympathique fils de pasteur, qui en est sincèrement épris ?

Elle rêve, elle patiente. Les épreuves, parfois, changent les coeurs...

Et si Anita avait raison d'espérer ?

Une inexprimable émotion se lisait sur la physionomie du roi. Son regard enveloppa la jeune fille si pâle, visiblement affaiblie par beaucoup de privations matérielles et de souffrances morales, mais conservant toujours sa délicate beauté, sa grâce patricienne, et surtout le charme incomparable, l’admirable rayonnement de son regard.

"– Pourquoi ne me disiez-vous pas ?... murmura-t-il. Le premier devoir d’un souverain est de venir en aide à ses sujets dans l’embarras... Je vais parler de vous à ma mère, elle viendra vous voir et vous vous confierez à elle. Vous verrez combien elle est bonne ! Certainement, elle trouvera bien vite un moyen d’arranger tout cela.

Il est superbement, virilement beau. Ses traits n’ont pas la perfection classique, mais ils ont bien mieux que cela : un charme d’expression, de vie, que je n’ai jamais rencontré encore. Je ne crois pas qu’il soit possible d’imaginer un homme plus séduisant. Il a tout pour lui. C’est le vrai prince charmant.

Mais je n’ai pas l’esprit romanesque. Si peu expérimentée que je sois, je me doute que les petites bourgeoises comme moi doivent se défier des princes charmants — surtout quand ils sont de véritables princes.

D'existence y était paisible et heureuse, illuminée par la tendresse de la grand'mère et du père au noble cœur, aux sentiments si délicats. Tous deux avaient inculqué à la toute petite fille, qu'ils aimaient passionnément, les premiers éléments d'une forte piété et du plus pur patriotisme; en cette jeune âme, déjà vibrante et réfléchie, ils avaient développé l'énergie morale, comme s'ils prévoyaient que leur chère enfant était destinée à connaître tôt la souffrance.

Que se passe-t-il quand un homme jeune, riche, beau, intelligent mais blessé par la vie, rencontre une jeune fille douce, innocente et... diablement belle ? Il se défend de l'aimer bien sûr !

D'autant que la ravissante jeune fille est la cousine dont il devient le tuteur...

Mais la petite Roselyne grandit, et les sentiments d'Odon de Montluzac à son égard ne sont plus aussi "fraternels" qu'il le voudrait...

Sa voix s'éleva, nette et calme :

- Le vendredi 10 juin, entre minuit et une heure du matin, monsieur Honoré de Carlande était assassiné là...

Il étendait la main vers le lit recouvert de sa courtepointe de soie brochée.

- ... Au matin, on trouva les portes closes comme à l'ordinaire. Dans cette panoplie, un stylet appartenant à la victime conservait des traces de sang. Les médecins déclarèrent, après examen de la blessure, qu'il avait été l'arme employée pour tuer monsieur de Carlande. Les soupçons, aussitôt, se portèrent sur sa femme. Puisque personne d'autre qu'elle ne pouvait pénétrer dans ces pièces fermées, la solution du problème semblait simple, trop simple peut-être...

Il faut préparer ton avenir , avait toujours été l’argument sans réplique pour les enfants de Lucien des Landies. Tout jeunes, ils avaient eu l’intuition des lourds soucis matériels cachés sous une apparence aisée, des craintes sans cesse renouvelées, suscitées par les menées d’un gouvernement sectaire. Noella, l’aînée, dont le cœur renfermait toutes les délicatesses et toutes les énergies, avait largement contribué à faire pénétrer de bonne heure dans l’esprit de ses frères et de sa sœur cette persuation de la nécessité d’un travail assidu, afin d’aider le plus tôt possible au soulagement matériel et moral des chers parents.

Pasca, la jolie Pasca, l'orpheline italienne qui vit pauvrement aurpès de son aïeul dans un village de Toscane, ne croit plus à l'amour.... Elle l'avoue à Gilles de Cesbres, un écrivain français conquis par sa fraicheur et qui voudrait l'épouser.

"Depuis que ma mère fut abandonnée, peu arpès ma naissance, j'ai pris la résolution de me défier de tous les hommes !" affirme la jeune fille.

Gilles est si séduisant qu'il parvient à convaincre Pasca de sa sincérité. Mais il a suscité bien des passions... Une délaissée, Matty, follement jajouse de Pasca lui déclare :

"Vous serez peut-être heureuse avec lui ! Quand le premier mariage n'a pas réussi, le second a plus de chance ..."

Déjà marié, Gilles ? Si cela est exact, profondément blessée Pasca ne pourra jamais pardonner.

C'est alors qu'elle découvre l'existence de Thyra...

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