Eduardo Risso

Le dernier minutemen est activé, le bal peut commencer, on s'approche du dénouement, les deux camps se placent pour le bouquet final.

Ca reste toujours une extrêmement bonne série.

Ca part dans tous les sens, le trust, une partie des minutemen, l'autre, des pièces rapportés entre mexique usa, passé présent, rome et atlantic city.

Un des tomes les plus sanglants, un tueur mystérieux, une vengeance, les minutemen en action, tout se précipite vers le massacre final.

une suite à 100 Bullet plutôt gore à ne pas mettre entre toutes les mains, les rapports entre mafia y sont retracés très crûment. Mais si vous n'avez pas peur de la réalité cru, achetez le il n'y a pas besoin d'avoir lu 100 Bullet en entier.

Je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre et j'ai été un peu désarçonnée pendant les premières pages. et puis, j'ai trouvé l'histoire attachante, surtout parce qu'elle est vraie et je me suis retrouvée dans Paul Dini, le geek un peu à l'écart mais soutenu néanmoins. Du coup, j'ai eu beaucoup d'empathie avec le personnage, comprenant ses colères, ses réflexions. Typiquement, ça aurait pu être moi. L'auteur nous livre son vécu, l'apprentissage de son but dans la vie et la manière dont il parvient à se réjouir de ce qu'il a fait et de ce qu'il a... C'est une belle leçon de vie, avec des personnages fantasmés qui apparaissent.. c'est vraiment très bien fait !

Les dessins sont plutôt particuliers mais je trouve qu'ils s'accordent pleinement au témoignage d'autant qu'il n'y a qu'un dessinateur mais qu'il a changé ses traits et sa manière de dessiner pour coller au passage et aux moments de l'intrigue. c'est donc vraiment sympa à regarder même si ce n'est pas le style de dessin que j'affectionne.

Une bonne découverte donc, totalement inédite et très intéressante !

Plusieurs histoires dans ce tome mais le même tandem à la réalisation On retrouve Brian Azzarello et son ambiance polar noir et Eduardo Risso dont les traits s'accordent toujours parfaitement bien à l'histoire racontée. C'est d'ailleurs un recueil de leurs histoires sur Batman qui nous est proposée. Deux d'entre elles ne sont pas inédites et deux autres sont totalement inédites. dans chacune on peut sentir le trait particulier et l'ambiance singulière du tandem, des polar noir centrés sur les émotions et les réflexions de Batman. Les intrigues sont bien ficelées, intéressantes et entraînantes.

Un livre fort en émotion racontant l'agression du scénariste Paul Dini. Dans l'ensemble on découvre un comics agréable mais qui au final nous laisse une amertume pour la lecture. Je suis un peu déçu, l'histoire est banal il y a simplement batman et toutes la clique de super vilains dessinés dont le scénariste s'aide pour aller mieux..

Volume sympa mais pas le plus marquant a mes yeux. Les planches restent toujours magnifique avec une esthétique prenante.

j'ai tellement adoré cet suite ! j'ai adoré Thomas Wayne, son coté très sombre et extrême, sa course contre la montre pour changer l'histoire, la différence faites sur nos héros et leurs attitudes dans cette histoire. j'aimerais tellement une suite, mais je pense que tout a été dit dans ce deuxième opus.

Flashpoint Bayond est une suite à Flashpoint sas vraiment en être une. Je vais m’attarder sur l’explication du multivers de DC, mais il reste accessible plus ou moins à un novice, en revanche je déconseille à un débutant de commencé par celui-ci.

Là, Batman, c’est Thomas Wayne et non Bruce, oui le père lui-même.

Et une chose est sûr il n’a pas fait la même promesse que Bruce, il tue !

Thomas tue et sans aucun regret, scrupule et empathie, il à pas le temps, son esprit est ailleurs.

Pour les habituer, l’histoire est très bonne et donne de petites explications assez claires sur comment fonctionne le multivers et le temps. Je n’ai pas d’attachement particulier avec Thomas Wayne, je resterais la team « Bruce Wayne ». Mais Thomas sera trouvé ses fans avec sa façon particulière de résoudre les problèmes de manière très radicale. Une petite note pour se superman que je trouve intéressant sur sa conception de voir la terre et son point de vue après les révélations de son père Jor-El. Les dessins sont toujours de grande qualité, un vrai plaisir visuel. Et je tiens personnellement à mentionner le pingouin en tant que maitre de maison auprès de Thomas Wayne et qui apprend à un gamin a tiré, à crocheté, à exploser tout ça dans le plus grand des calmes et devant les yeux indifférents de Thomas Wayne.

TOUT COMPTE !