Yuki Shimizu

Après la scène terrible du tome 8 où Asari est revenu en état de page blanche. Évidemment, la mangaka va nous faire attendre en commençant ce tome avec le flashback et nous raconter leur rencontre et pourquoi depuis le début de la série, il semble avoir un faussé entre eux.

Comme je me l’imaginais, toute leur histoire est torturée, difficile et belle en même temps. J’ai stressé un petit peu car je craignais que l’auteure fasse n’importe quoi avec ce couple. Elle ne nous épargne rien et nous tient en haleine du début jusqu’à la fin.

Verdict, c’est, je pense mon tome et mon couple préféré de toute la série jusqu’à présent. Ils sont terriblement touchant. Asari est souvent vache avec Shoi qui est plus posé mais les deux se complète à merveille et mon bien ému pour leur histoire.

La série se rapproche de la fin et curieuse de savoir ce qu’elle nous réserve pour son personnage ultime qui n’est autre que Waki, le maître des marionnettistes.

Un tome centré sur le passé de Waki. On y apprend un peu de ce qu’il était avant de devenir le créateurs des Kamis. On fait enfin la connaissance d’un personnage dont on entendait souvent parler mais qu’on ne voyait pas jusqu’à présent.

J’ai trouvé ce tome intéressant, assez tranquille, mais riche en révélation. On découvre beaucoup plus sur le marionnettiste et les premiers Kamis qui ont été créés. Le seul truc qui ne m’a pas intéressé c’est la fin avec la romance de Waki qui est parti en bizarrerie totale et qui n’était pas du tout mon délire.

Un tome malgré tout sympa et qui donne envie de découvrir le dernier tome de cette série et savoir comme la mangaka compte conclure son histoire.

Dernier tome qui continu sur la genèse des Kamis et du clan Mitô. L’intrigue aborde des thématiques et des scènes assez dures. Plusieurs personnages, nouveaux et anciens vont rentrer en jeu. On n’est pas épargnés par des moments de drames, qui sont pour la plupart attendus. Bref, un dernier tome tout en émotion. Mais qui en tout cas était une bonne conclusion à cette série.

Je ne dirais pas que j’ai tout aimé de ce manga qui a été inégal. Malgré une certaine originalité sur le les légendes mises en place pour son histoire, il y a eu pas mal de clichés que je n’ai pas réussi à adhérer, comme certains personnages que je n’ai pas aimés pour cela.

Reste une série Boy’s love sympathique malgré son âge, joliment dessinée et qui peut encore trouver son public.

Un tome qui se concentre surtout sur Naoya et son passé, et assurément le couple qu'il forme avec Aoé a ma préférence dans cette série. Ça se lit.

Encore un tome appréciable centré sur le couple Naoya et Aoé où suite à la découverte d'un parent à Naoya, il s'éloigne de son bienfaiteur... pour mieux le retrouver après, mais ils leur faudra souffrir un peu avant cela

Un tome qui continue dans la lancée des précédents, sans être exceptionnel cela se lit.

On continue à suivre le couple Reiji/Naoya, mais également une histoire va tourner autour de Seiichi qui va rencontrer le mystérieux Tomoki pour nous offrir un récit simple mais poignant.

Un tome que j'ai moins apprécié que les précédents, le couple Rin/Ian aurait pu se montrer touchant s'il avait appris à communiquer, et si le Katsuki/Jin était un peu mieux, le développement de leur relation m'a semblé un peu trop facile.

Un tome centré sur Kiichi et le couple qu'il forme avec Haruomi, avec un chapitre au présent avant que le suivant nous narre leur rencontre (et dont on aura la fin dans le tome suivant). Enfin une histoire courte qui n'a rien à voir avec le reste conclut le tome.

Ce couple n'a pas ma préférence mais on découvre une toute autre facette de Kiichi

Ce tome conclut l'histoire entre Kiichi, Haruomi et le jumeau de ce dernier. Si ce couple n'avait pas ma sympathie, avec ces chapitres j'ai changé d'avis, c'est une belle histoire avec des moments tragiques et j'ai apprécié.

Un tome avec des histoires sur plusieurs couples pour une lecture plutôt variée, avec également une nouvelle sans lien avec le reste du tome à la qualité mitigée avec une relation pas des plus saines.