Raule
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Note moyenne : 7.55/10Nombre d'évaluations : 29
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Un album intriguant on attend la suite avec beaucoup d'impatience.
Le décor est planté : le Japon médiéval, une jeune fille qui manie le katana à la perfection à la recherche de sa soeur, hantée par ses parents et son passé...
A découvrir.
Afficher en entierIsabellae, tome 1 : l'homme-nuit, de Raule au scénario et de Gabor aux dessins et couleurs.
Traduit de l'espagnol vers le français par Patrick Fodéré.
Une bande dessinée qui saura se faire apprécier dans toute sa globalité.
Plantons le décor : Nous somme au japons, vers 1112, avec une jeune femme guerrière à la recherche da sa soeur. Elle est accompagnée par son père, un esprit.
Le scénario est bien réalisé, mais ne suit pas forcément l'idée de "l'homme nuit"Spoiler(cliquez pour révéler)espèce d'ange de dieu, mais plutôt le chemin de la recherche de la soeur.
L'écriture se lis bien et ne bourre pas le crâne.
Les suspense alimente notre esprit de beaucoup de question, qui est le père de Isabellae? Où est sa soeur? que vas t'il se passer dans la suite?
L'originalité est bien jouer grâce aux thèmes qui sont la famille, la guerre, les esprits, les anges et l'argent. Le tout mélangés en fait une histoire sanguinaire.
Le temps de lire quelques page et on en deviens addict, pour du rab.
Le genre de cette bande dessinée ne nous permet pas d'avoir de pédagogie.
Par contre la créativité est de mise, avec beaucoup de surnaturels et de cadres.
Les personnages sont présent de part leurs caractères et leur carisme.
Et enfin nous ne trouverons là non plus pas d'humour dans cette série.
Côté dessin, vous en aurez plein les yeux avec de jolies couleurs des fois bleu pastel et des fois sanguinaire.
La couverture elle aussi est sanguinaire , avec caligraphie et reliefs pour ajouter un côté plus réaliste au sang.
Les couleurs sont multiple et variées, et respecte bien les évènements.
Pas de petits bonus dans ce tome 1.
Scénario 7 / 10
Dessin 8 / 10
Environnement : + 1 pour la PEFC
Bonus : 0 dommage pas de petit truc en plus pour le lecteur.
Une bande dessinée, au éditions Le lombard, pour public plus musculin que féminin, jeune adulte et adulte.
Avec 48 pages pour un prix de 13€99.
A lire...
Afficher en entierMagique et fantastique, deux mots qui cadrent bien avec cette bande-dessinée très mystique. Isabellae est à la recherche de sa soeur depuis sept ans, elle n'a plus rien à perdre puisqu'elle a déjà tout perdu: son père, qui est néanmoins à ses côtés à chaque instant et qui communique avec elle, sa mère qui a été tuée par les villageois car ils la considéraient comme une sorcière et sa soeur qui s'est enfui car elle la pense coupable de la mort de leur mère. Isabellae est une guerrière accomplie puisque son père lui a tout appris, elle ne renoncera devant rien pour parvenir au terme de sa mission, elle n'a besoin de personne et encore moins besoin d'aide. Mais, elle va rencontrer un guerrier et un jeune garçon qui vont lui apporter l'aide qu'elle refuse. J'ai vraiment beaucoup aimé cette histoire, le Japon en 1192 avec son histoire, ses légendes, de la magie et ses rites.
Afficher en entierLa bande dessinée se lit assez facilement.
Les dessins sont assez sombres et les traits des personnages sont assez durs. J’aurais peut-être aimé que certains d’entre eux soient dessinés avec un peu plus de sympathie ou des traits moins fermés.
Concernant les décors c’est la même chose, l’univers est assez sombre et les couleurs utilisées sont essentiellement du marron, noir, gris et bleu foncé.
La bande dessinée semble intéressante. Par contre c’est vraiment un début d’histoire. En effet elle est considérée comme un premier tome mais je pense que c’est plutôt un prologue ou une explication de l’histoire à venir. C’est d’ailleurs un peu frustrant qu’elle se termine de cette façon.
On entre doucement dans l’univers de l’auteur et surtout d’une autre époque.
J’avoue ne pas avoir complètement compris le but de l’histoire. Est-ce que par la suite, le lecteur va être confronté à la vie du jeune roi ou à la quête du trio et pourquoi pas à défendre le vieil homme.
Personnellement, je trouve que les idées s’enchaînent un peu trop rapidement pour un début d’histoire. Sincèrement j’hésite un peu entre un prologue et une sorte de résumé de l’histoire à venir.
Ce premier tome ne nous aide donc pas beaucoup à découvrir ce qui va se passer dans les prochains albums.
La fin est assez mystérieuse et nous donne envie d’en savoir plus et de lire la suite.
En résumé c’est une bande dessinée qui commence assez bien selon moi mais j’espère que ce sera un peu plus clair dans les prochains tomes http://fais-moi-peur.blogspot.fr/2016/03/affaire-n146-arthus-trivium-1-les-anges.html
Afficher en entierJe n'ai pas franchement été emballé par cette histoire. Certes, j'arrive au tome 5 mais tout de même, à part le passé de Jazz qui est intéressant, le reste est assez lent, il ne se passe pas grand-chose, on attend... Et c'est un peu longuet.
Afficher en entierIl est vraiment beau, cet opus. Rien que la première page nous plonge dans une ambiance excellente ! Beaucoup d'action, des répliques souvent truculentes, mystérieuses... Ce que je pourrais lui reprocher, c'est que l'on suit trois grandes lignes (Nostradamus, son passé, son présent et deux groupes de ses émissaires) qui se développent chacune de façon intéressante, certes, mais trop brièvement. On découvre donc un duo de choc, une combattante assez incroyable, Nostradamus... Le temps de nous montrer tous ces gens, deux ou trois pistes s'ouvrent mais qui ne sont pas totalement développées et au final, je suis ressorti de ce livre émerveillé mais également frustré de n'en savoir que si peu...
Afficher en entierEn parcourant le rayon bande-dessinée de la bibliothèque, je suis tombée sur celui-là. Il m’a direct attiré par sa couverture. Je n’ai même pas cherché à savoir le résumé, je me suis lancée dans sa lecture. Ce fut alors une belle découverte.
Nous suivons l’histoire de Isabellae, une guerrière qui cherche sa soeur depuis plusieurs années. En effet, leurs parents sont morts et depuis ce jour, elles ont été séparées l’une de l’autre. Isabellae n’a de cesse de vouloir la retrouver quitte à devoir tuer.
Dès les premières pages j’ai été intriguée, puis ensuite agréablement surprise. C’est un univers que je ne lis pas souvent en bande-dessinée. Je me suis accrochée aux personnages d’Isabellae et j’avais envie de continuer l’aventure à chaque page avec elle, pour l’aider à retrouver sa soeur.
La fin est intéressante et frustrante en même temps. Cela nous donne encore plus envie de lire la suite, pour enlever ce sentiment de frustration.
Isabellae est une jeune fille avec un fort tempérament. Elle n’hésite pas à tuer si elle doit le faire. En effet, étant plus jeune, son père lui a de nombreuse fois apprise comment se battre, comment être fourbe. C’est un personnage très solitaire, qui aimerait combler cette solitude en retrouvant sa soeur.
Le style de dessin est simple et compliqué en même temps. Il y a des scènes parfois sanglante et pourtant cela ne me faisait pas vraiment peur (pourtant je suis très sensible à ce genre d’image). Le but premier de l’histoire n’est pas d’effrayer avec des scènes sanglante, ces scènes sont là pour l’histoire, pas pour apeurer le lecteur et j’ai beaucoup aimé que cela se répercute dans le style de dessin.
En conclusion, c’est une histoire sympathique qui se laisse lire sans problème. Je serai bien curieuse de découvrir la suite de l’histoire d’Isabellae.
>> https://lapommequirougit.wordpress.com/2018/04/05/lhomme-nuit-isabellae-1/
Afficher en entierhttp://jldragon.over-blog.com/2018/09/l-art-de-mourir-de-raule-et-de-philippe-berthet.html
Délices ?
J’ai bien aimé le scénario de Raule et les personnages.
Celui de Philippe Martin est bien campé, un peu caricatural, mais très prometteur.
Sans fioritures, l’histoire détonne bien.
Un pur polar noir qui flirte avec le thriller.
Les planches sont signés Berthet.
Ce dernier effectue des dessins avec côté très symétriques, sans fausses notes.
Je me trompe peut-être, mais j’ai eu l’impression de me retrouver parfois devant des illustrations de William Vance, le créateur de XIII.
Frustrations ?
Le scénario est vraiment sympa, mais manque un peu de profondeurs et dérive carrément dans la simplicité.
Tout va très vite, trop vite.
Le côté symétrique des dessins leur enlève de la personnalité.
C’est parfois un peu trop lisse.
Il y a côté figé qui ne nous permet pas de vivre l’action pleinement.
La BD n’est pas mauvaise, elle est sympa même, mais sans plus.
Note globale : 12/20
Afficher en entierJazz Maynard est un personnage comme je les aime, à la fois artiste, défenseur de sa famille, un gentleman voyou, beau gosse un brin mystérieux et nostalgique. Le graphisme est tout simplement sublime, et en plus, ça se passe en grande partie à Barcelone, ville que j'ai adorée et que j'espère bien visiter à nouveau un jour.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Raule
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Aucun évènement prévu
Biographie
Né à Barcelone en 1971, Raule gagne à 18 ans le concours de comics de Bellvitge, la ville où il a grandi. Il commence alors le dessin à l'école Joso, mais c'est là qu'il se rend compte que le crayon n'est pas pour lui... Il préfèrera écrire. En s'associant avec Miguel Chavez, il lance le fanzine «Tribulaciones» et ils gagnent le « Prix du meilleur scénario dessiné » du concours de BD d'El Prat Llobregat. Ils créent également «Lady Down» pour la revue «De Tebeos» et «Violencia Sonica», mini-série de 4 épisodes compilés en un tome en 1997. Il collabore ensuite avec Roger Ibáñez, avec qui il forme aussi un duo gagnant puisqu'ils travaillent ensemble dans «Otaku», la revue manga des éditions Norma, puis publient «Hole'n'Virgin», «Amores muertos» et «Cabos sueltos» aux éditions Amaníaco, avant de sortir chez Dargaud la série « Jazz Maynard ». Raule écrit ensuite « La Conjetura de Poincaré » avec le vétéran Josep Mª Saurí. Depuis ses études de dessin, il n'aura donc cessé de manier la plume, développant au fil des albums une écriture unique, fruit d'une plume plongée dans le bitume des banlieues barcelonnaises et dans la pellicule des films de genre. Aujourd'hui, il entame un nouveau duo avec Gabor, dans l'aventure d' « Isabellae », publiée aux Éditions du Lombard.
(Source : Le Lombard)
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