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Extrait ajouté par Lady_maud 2015-03-08T18:08:13+01:00

J’avançais pour récupérer une pièce quand je me retrouvai soudain bloquée dans ma progression par une paire de luxueux mocassins Oxford noirs. Je m’immobilisai le temps que le propriétaire desdits mocassins se déplace. Comme il n’en faisait rien, je levai la tête. Le costume trois pièces que je découvris alors me fit un indéniable effet, mais ce ne fut rien comparé au corps à la fois svelte et puissant dont il était le fairevaloir. Pourtant, si impressionnante que fût cette virilité, ce ne fut que lorsque mon regard atteignit le visage du propriétaire de ce corps que je crus recevoir un coup au plexus. L’homme s’accroupit devant moi. Cette superbe masculinité à hauteur des yeux me prit tellement de court que je le dévisageai. Sidérée. Un phénomène étrange se produisit soudain. Alors qu’il m’étudiait à son tour, son regard se modifia… distillant une énergie qui me coupa littéralement le souffle. Le magnétisme qui exsudait de toute sa personne s’intensifia, créant comme un champ de force presque palpable autour de lui.

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Extrait ajouté par camilleduchene 2014-10-05T04:19:28+02:00

Quand j’entrai dans le luxueux bureau, mon regard fut aussitôt attiré par le canapé. Le déjeuner nous attendait sur le bar – deux assiettes surmontées de cloches métalliques.

— Je peux te débarrasser de ton sac ? demanda-t-il.

Je me retournai. Il avait retiré sa veste et l’avait pliée sur son bras. Il se tenait là, en pantalon et gilet, sa chemise d’un blanc immaculé, ses épais cheveux bruns encadrant son visage, le regard d’un bleu incroyable. En un mot comme en mille, je le trouvai éblouissant. Je n’arrivais pas à croire que j’avais fait l’amour à un homme aussi parfait.

Cela dit, cet acte n’avait pas signifié la même chose pour lui que pour moi.

— Eva ?

— Tu es très beau, Gideon.

Les mots m’avaient échappé. Il arqua les sourcils, puis un éclair de tendresse tempéra le feu de son regard.

— Heureux que ce que tu vois te plaise.

Je lui tendis mon sac et m’éloignai, soucieuse de ménager autant d’espace que possible entre nous. Il accrocha sa veste et mon sac au portemanteau, puis se dirigea vers le bar.

Je croisai résolument les bras.

— Que les choses soient claires, Gideon. Je ne veux plus te voir.

Gideon se passa la main dans les cheveux.

— Tu ne penses pas ce que tu dis.

J’étais soudain épuisée de me bagarrer contre moi-même à cause de lui.

— Si, je le pense vraiment. Toi et moi… c’était une erreur.

— Non, répliqua-t-il. C’est la façon dont je me suis comporté ensuite qui était une erreur.

Je le dévisageai, surprise par la vigueur de sa riposte.

— Je ne parle pas de ce qui s’est passé samedi, Gideon. Je parle du fait que j’ai accepté cet accord délirant que tu m’as proposé. Je savais dès le début que ça ne pouvait pas marcher. J’aurais dû écouter mon instinct.

— Est-ce que tu as envie d’être avec moi, Eva ?

— Non. C’est justem…

— Pas comme on en a discuté au bar. Autrement. Plus que cela.

Mon cœur s’emballa.

— Qu’est-ce que tu veux dire ?

— Je veux être avec toi, lâcha-t-il en s’approchant de moi.

(chapitre 8)

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Extrait ajouté par Zahrasbook 2018-07-08T14:07:11+02:00

— Tu veux que je te dise que je t’aime, Eva ? C’est ça que tu veux ?

Mon ventre se contracta comme s’il m’avait donné un coup de poing. C’était la première fois que je ressentais une douleur pareille ; je n’imaginais même pas que ça puisse exister. Les yeux brûlants, je me faufilai sous son bras avant de me ridiculiser en fondant en larmes.

— Rentre chez toi, Gideon, articulai-je, le dos tourné. S’il te plaît.

— Je suis chez moi.

Il m’encercla de ses bras par-derrière.

— Je suis avec toi, souffla-t-il en enfouissant le visage dans mes cheveux mouillés.

Je luttai pour me dégager, mais j’étais à bout de forces. Physiquement. Émotionnellement. Les larmes jaillirent et je fus incapable de les retenir.

— Va-t’en, Gideon. Je t’en supplie.

— Je t’aime, Eva. C’est évident.

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Extrait ajouté par Eleana2731 2018-03-01T23:02:36+01:00

— Debout, la marmotte, chantonna Cary en tirant sur ma couette.

— Dégage !

— Tu as cinq minutes pour filer sous la douche ou la douche viendra à toi.

Je soulevai une paupière. Il était torse nu et portait un pantalon baggy très bas sur les hanches. J’avais vu pire au réveil.

— Pourquoi veux-tu que je me lève ?

— Parce que quand tu es allongée, tu n’es pas debout.

— C’est très profond, ça, Cary Taylor.

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Extrait ajouté par Adel89 2016-08-01T14:09:41+02:00

Il entra dans la douche d'un bond - tout habillé -, me remit debout d'un geste brusque et m'embrassa. Durement. Sa bouche dévora la mienne tandis qu'il m'agrippait les bras pour m'empêcher de bouger.

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Extrait ajouté par SlythKhaleesi 2016-05-03T21:06:54+02:00

" - Comment arrives-tu à me voir alors que tu fixes ton écran ?

Il leva la tête et son regard captura le mien.

- Je te vois tout le temps, mon ange. Depuis que tu m'as trouvé, je ne vois plus que toi. "

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Extrait ajouté par Ginabella59 2016-04-19T07:18:50+02:00

— Mon Dieu, Eva, souffla-t-il en rajustant son pantalon. J’ai changé d’avis. Je crois que tu ne devrais pas porter cette robe en public.

— Il est trop tard pour changer d’avis.

— Je la croyais plus… couvrante.

— Que veux-tu que je te dise ? C’est toi qui l’as achetée, lui rappelai-je avec un grand sourire.

— J’ai des remords, subitement. Combien de temps te faudrait-il pour te changer ?

— Je ne sais pas, répondis-je en m’humectant les lèvres. Pourquoi ne vérifies-tu pas par toi-même.

Son regard s’assombrit.

— Si je m’y risque, nous ne sortirons pas d’ici.

— Je ne m’en plaindrai pas.

— Tu pourrais peut-être enfiler quelque chose par-dessus ? Une veste ? Une parka ? Un trench-coat, je ne sais pas…

J’attrapai ma pochette en riant.

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Extrait ajouté par lily-fantasy 2016-02-22T23:04:02+01:00

Quand l’ascenseur arriva enfin et que les portes coulissèrent, je laissai échapper un soupir de soulagement et m’empressai de pénétrer dans la cabine en même temps que Mark.

— Un instant, Eva, m’arrêta Cross en m’attrapant par le coude. Elle vous rejoint tout de suite, ajoutât-il à l’intention de Mark tandis que les portes de l’ascenseur se refermaient sur le visage ahuri de mon patron.

Cross demeura silencieux le temps que l’ascenseur amorce sa descente.

— Tu couches avec quelqu’un ? demanda-t-il en pressant de nouveau le bouton d’appel.

La question avait été posée avec une telle désinvolture que je mis un moment à comprendre et que je ne réalisai même pas qu’il m’avait tutoyée.

Je pris une brève inspiration.

— En quoi cela vous regarde-t-il ?

Il me fixa et je retrouvai dans son regard ce que j’y avais vu lors de notre première rencontre – puissance hors norme et contrôle d’acier. Je reculai involontairement. Comme la première fois. Cette fois, cependant, je ne tombai pas à la renverse – j’étais en progrès.

— Cela me regarde parce que j’ai envie de coucher avec toi, Eva. J’ai besoin de savoir quels obstacles se dressent entre toi et moi, si tant est qu’il y en ait.

La soudaine palpitation entre mes cuisses m’obligea à prendre appui contre le mur pour garder l’équilibre. Il tendit la main vers moi, mais je l’arrêtai d’un geste.

— Peut-être ne suis-je pas intéressée, monsieur Cross.

Une ombre de sourire passa sur ses lèvres. Seigneur, il pouvait être irrésistible…

J’étais dans un tel état de nerfs que la sonnerie annonçant l’arrivée de l’ascenseur me fit sursauter. De ma vie, je n’avais été à ce point excitée, aussi brutalement attirée par un autre être humain, et je ne m’étais jamais sentie aussi grossièrement insultée.

Je pénétrai dans la cabine et me retournai pour lui faire face.

Il sourit.

— À bientôt, Eva.

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Extrait ajouté par MelieGrey 2016-02-01T17:38:47+01:00

- Excusez moi, dis-je en m'arrêtant sur le seuil, je cherche Gideon Cross, l'homme qui n'a pas une once de romantisme à son répertoire.

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Extrait ajouté par MelieGrey 2016-02-01T15:57:53+01:00

- Les règles sont faites pour être brisées.

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