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Liste des extraits

Extrait ajouté par Anaya 2015-05-04T16:51:55+02:00

- J'ai échoué lamentablement en essayant de ne pas tomber amoureux de toi.

- J'ai échoué avant toi.

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Extrait ajouté par Poevai 2015-05-01T06:07:53+02:00

RIDGE : ÇA TE VA ?

MOI : ET TOI ?

RIDGE : C’EST MOI QUI AI POSÉ LA QUESTION LE PREMIER.

MOI : ÇA ME VA, MAIS SEULEMENT SI TU ES D’ACCORD.

RIDGE : AUTREMENT DIT, NOUS VOILÀ COLOCS.

MOI : DANS CE CAS, TU PEUX ME RENDRE UN SERVICE ?

RIDGE : LEQUEL ?

MOI : SI JAMAIS JE ME REMETS À SORTIR AVEC UN TYPE, NE FAIS PAS COMME TORI, NE COUCHE PAS AVEC LUI.

RIDGE : JE NE PEUX RIEN TE PROMETTRE.

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Extrait ajouté par FouineuseDuNet 2015-06-18T13:53:06+02:00

– C’est toi, dit-il à haute voix. Mon cœur… c’est toi qu’il veut.

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Extrait ajouté par Julie1983 2015-05-02T11:09:10+02:00

Son regard passe de ma bouche à mes yeux, comme s’il ne savait trop s’il voulait m’embrasser, me dévisager ou me parler.

– Sydney, murmure-t-il.

Le souffle coupé, je crispe une main sur ma poitrine. Mon cœur vient de se désintégrer au son de sa voix.

– Je ne… parle… pas bien, poursuit-il d’un ton mal assuré.

Oh, mon cœur ! Comment soutenir une telle émotion ? Je l’entends parler ! Chacun des mots qui m’entre dans l’oreille suffirait à me mettre à genoux, sans parler de son timbre, de sa parfaite élocution. Mais ce qui me frappe le plus, c’est qu’il choisisse ce moment pour parler pour la première fois depuis quinze ans.

Avant d’achever ce qu’il a à dire, il marque une pause qui me permet de reprendre un peu mon souffle. Sa voix sonne exactement comme que je l’avais imaginée après l’avoir entendu rire, avec un timbre un peu plus grave, peut-être, un peu déréglé. Dans un sens, elle me fait penser à une photo légèrement floue. Je comprends ses paroles, je vois ce qu’elles représentent, même si elles ne sont pas nettes…

Là, je tombe amoureuse de sa voix, de cette image confuse qu’il dépeint de ses mots.

De tout son être.

Il prend une inspiration avant de continuer.

– Je veux que tu… entendes ceci. Jamais… je ne… regretterai.

Battement, battement, pause.

Contraction, détente.

Inspiration, expiration.

Je viens d’officiellement perdre la guerre contre mon cœur. Je n’essaie même pas de formuler une réponse. Ma réaction se résume à des larmes. Il se penche, pose ses lèvres sur mon front, puis il me lâche le visage et recule lentement.

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Extrait ajouté par Poevai 2015-05-01T06:45:21+02:00

LUI : JE VOUDRAIS SAVOIR COMMENT TU CHANTES LES PAROLES DE MES CHANSONS ALORS QUE JE NE LES AI PAS ENCORE ÉCRITES.

Je me sens rougir jusqu’aux oreilles. Coincée. Il ne me quitte pas des yeux, l’air impénétrable. Comment j’ai pu croire qu’il ne me verrait pas, assise juste en face de lui ? Je n’avais pas pensé qu’il ferait attention à moi, ou qu’il devinerait que je chantais. Jusqu’à ce soir, je croyais qu’il ne m’avait pas remarquée. J’aspire une longue bouffée d’air, je me prends à regretter d’avoir seulement échangé un regard avec lui. J’ignore pourquoi je trouve ça gênant, mais c’est comme ça. À croire que je me suis immiscée dans sa vie privée. J’ai horreur de ça.

MOI : J’AIME BIEN LES CHANSONS ET COMME J’IGNORAIS LES PAROLES DES TIENNES, J’EN AI INVENTÉ POUR MOI.

[...]

LUI : TU VEUX BIEN ME LES ENVOYER ?

Dans tes rêves ! Jamais de la vie.

MOI : JAMAIS DE LA VIE.

LUI : S’IL TE PLAÎT ?

MOI : NON.

LUI : ALLEZ, S’IL TE PLAÎT !

MOI : HORS DE QUESTION.

[...]

RIDGE : D’ACCORD, ON VA FAIRE AUTRE CHOSE. TU CHOISIS UNE DE MES CHANSONS ET TU M’ENVOIES JUSTE CES PAROLES-LÀ. APRÈS, JE TE FICHE LA PAIX. SURTOUT SI ELLES SONT NULLES.

Là, j’éclate de rire. Puis grince des dents. Il ne va plus me lâcher. Je suis bonne pour changer de numéro.

RIDGE : J’AI TES COORDONNÉES, SYDNEY. JE NE VAIS PAS LAISSER TOMBER TANT QUE TU NE M’AURAS PAS ENVOYÉ AU MOINS UNE CHANSON.

La vache. Il confirme.

RIDGE : ET JE SAIS AUSSI OÙ TU HABITES. JE SUIS PRÊT À VENIR TE SUPPLIER À GENOUX DEVANT TA PORTE.

Ouille !

MOI : BON. ARRÊTE AVEC TES MENACES GLAUQUES. UNE CHANSON. MAIS IL VA FALLOIR QUE TU LA REJOUES PENDANT QUE J’ÉCRIS LES PAROLES PARCE QUE JE NE LES AI JAMAIS MISES SUR PAPIER.

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Extrait ajouté par Gaumarr 2015-05-13T20:54:19+02:00

« MOI : POURQUOI TU NE RÉPÈTES PLUS SUR TON BALCON, COMME AVANT ?

 

Question qui me vaut immédiatement un regard, plutôt bref, à vrai dire. Il détourne vite les yeux, d’abord sur mon corps, mes jambes, puis sur son téléphone. 

RIDGE : À QUOI ÇA SERVIRAIT, MAINTENANT QUE TU N’HABITES PLUS EN FACE ? »

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Extrait ajouté par nini84 2015-05-15T15:40:36+02:00

MOI:" Ne me remercie pas, Sydney. Je ne le mérite pas. J'ai échoué lamentablement en essayant de ne pas tomber amoureux de toi."

La gorge sèche, j'appuie sur "envoi". Ce que je lui dis là me provoque un sentiment de culpabilité pire que quand je l'ai embrassé. Parfois, les mots peuvent avoir sur le cœur bien plus de poids qu'un baiser.

SYDNEY: "J'avais échoué avant toi"

lepetitmondedeceline.blogspot.fr

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Extrait ajouté par Poevai 2015-05-01T08:15:50+02:00

MOI : ATTENDS. [...] AU FAIT, TANT QU’ON EN EST AUX CONFIDENCES PURES ET DURES, JE PEUX TE POSER UNE QUESTION ?

[...]

RIDGE : LOL. QUELLE EST TA QUESTION ?

MOI : JE SUIS INQUIÈTE. ON EST ATTIRÉS L’UN PAR L’AUTRE ET ÇA NOUS POSE UN PROBLÈME. COMMENT ON VA LE SURMONTER ? J’AI ENVIE DE FAIRE DE LA MUSIQUE AVEC TOI, MAIS JE SAIS AUSSI QUE NOS QUELQUES MOMENTS QUI NE FERAIENT PAS PLAISIR À MAGGIE SE SONT DÉROULÉS QUAND QU’ON ÉCRIVAIT DES PAROLES. JE CROIS QUE JE DEVIENS TROP DÉSIRABLE QUAND JE CRÉE, ALORS JE VOUDRAIS SAVOIR CE QUE JE DEVRAIS FAIRE POUR DIMINUER MON POUVOIR DE SÉDUCTION. SI C’EST POSSIBLE.

RIDGE : ENTRETIENS-MOI CET ÉGOTISME. ÇA N’A AUCUN CHARME ET SI TU CONTINUES, JE NE POURRAI PLUS TE REGARDER DE TOUTE LA SEMAINE.

MOI : D’ACCORD. MAIS QU’EST-CE QUE JE FAIS DE TON CHARME À TOI ? PARLE-MOI DE TES DÉFAUTS, DÉGOÛTE-MOI UN PEU.

Il rit.

RIDGE : JE DORS TELLEMENT TARD LE DIMANCHE QUE JE NE ME LAVE PAS LES DENTS JUSQU’AU LUNDI.

MOI : C’EST UN DÉBUT. IL M’EN FAUT D’AUTRES.

RIDGE : ATTENDS. UNE FOIS, QUAND WARREN ET MOI AVIONS QUINZE ANS, JE SUIS TOMBÉ AMOUREUX D’UNE FILLE. WARREN NE LE SAVAIT PAS ET IL M’A DEMANDÉ SI JE POUVAIS LUI PROPOSER DE SORTIR AVEC LUI. C’EST CE QUE J’AI FAIT, ET ELLE A ACCEPTÉ, PARCE QU’IL SEMBLAIT QU’ELLE AIT ÉTÉ ELLE AUSSI AMOUREUSE DE LUI. MAIS J’AI DIT À WARREN QU’ELLE AVAIT REFUSÉ.

MOI : RIDGE, C’EST IMMONDE !

RIDGE : JE SAIS. À TOI DE ME DÉGOÛTER.

MOI : QUAND J’AVAIS HUIT ANS, ON S’EST RENDUS À CONEY ISLAND. J’AVAIS ENVIE D’UNE GLACE ET MES PARENTS NE VOULAIENT PAS M’EN ACHETER PARCE QUE JE PORTAIS UN T-SHIRT TOUT NEUF. ON EST PASSÉS DEVANT UNE POUBELLE ET LÀ, J’AI VU UN CORNET DE GLACE À MOITIÉ FONDUE. J’AI ATTENDU QUE MES PARENTS TOURNENT LE DOS ET JE L’AI MANGÉE.

RIDGE : OUI, C’EST RÉPUGNANT. MAIS TU N’AVAIS QUE HUIT ANS, ALORS ÇA NE COMPTE PAS VRAIMENT. IL ME FAUT QUELQUE CHOSE DE PLUS RÉCENT. AU LYCÉE ? À L’UNIVERSITÉ ?

MOI : OH ! À UNE ÉPOQUE, AU LYCÉE, J’AI PASSÉ LA NUIT CHEZ UNE FILLE QUE JE NE CONNAISSAIS PAS TRÈS BIEN. ON A COUCHÉ ENSEMBLE. ÇA NE M’A PAS PLU, C’ÉTAIT HORRIBLE, MAIS J’AVAIS DIX-SEPT ANS, J’ÉTAIS CURIEUSE.

RIDGE : NON. ÇA NE MARCHE PAS, SYDNEY ! FAIS UN PETIT EFFORT.

MOI : J’AIME L’HALEINE DES CHIOTS.

RIDGE : C’EST MIEUX. JE N’ENTENDS PAS MES PETS, ALORS PARFOIS J’OUBLIE QUE LES AUTRES LES ENTENDENT.

MOI : LA VACHE ! OUI, C’EST LE GENRE DE CHOSE QUI TE MONTRE SOUS UN ANGLE DIFFÉRENT. ÇA DEVRAIT ME CALMER UN BON MOMENT.

RIDGE : TOI, RACONTE-MOI ENCORE UNE, POUR ME DÉGOÛTER AUTANT.

MOI : IL Y A QUELQUES JOURS, EN QUITTANT LE BUS DU CAMPUS, J’AI REMARQUÉ QUE LA VOITURE DE TORI N’ÉTAIT PAS LÀ. ALORS J’AI UTILISÉ MA CLÉ POUR ENTRER CHEZ ELLE, PARCE QUE J’AVAIS BESOIN DE CERTAINES CHOSES QUE J’AVAIS OUBLIÉES. AVANT DE PARTIR, J’AI OUVERT TOUTES LES BOUTEILLES D’ALCOOL ET J’AI CRACHÉ DEDANS.

RIDGE : C’EST VRAI ?

Je fais oui de la tête, parce que j’ai trop honte de taper le mot oui. Il rit.

RIDGE : BON, LÀ JE CROIS QU’ON EST À ÉGALITÉ. ON SE RETROUVE CE SOIR À VINGT HEURES ET ON VERRA SI ON PEUT ENTAMER UNE NOUVELLE CHANSON. SI ON A BESOIN D’INTERROMPRE LA MUSIQUE DE TEMPS EN TEMPS POUR RENFORCER NOTRE DÉGOÛT MUTUEL, N’HÉSITE PAS À LE DIRE.

MOI : D’ACCORD.

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Extrait ajouté par kats-at 2014-04-19T13:27:26+02:00

« Salut, coeur. M'entends tu ? Toi et moi sommes officiellement en guerre. »

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Extrait ajouté par SabrinaP 2015-06-29T13:57:52+02:00

Je glisse un bras sous son épaule puis pose la tête sur sa poitrine et ferme les yeux.

J’aime tellement l’entendre !

J’aime tout en elle. J’aime qu’elle ne me juge jamais. J’aime que malgré tout ce que j’ai pu infliger à son cœur, elle n’ait rien fait d’autre qu’appuyer mes décisions, quand bien même ça risquait de la détruire. J’aime sa loyauté. J’aime sa générosité. Par-dessus tout, j’aime être celui qui pourra toujours aimer tout ce qui la concerne. Je la sens qui me dit :

– Je t’aime.

Je ferme les yeux et l’écoute tandis qu’elle continue de le répéter encore et encore. Je place mon oreille directement au-dessus de son cœur. Son odeur, son contact, sa voix, son amour.

Jamais je n’avais ressenti tant de choses à la fois.

Jamais je n’avais éprouvé le besoin d’en ressentir davantage.

Je lève la tête et la regarde dans les yeux.

Elle fait partie de moi, désormais.

Je fais partie d’elle.

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