Commentaires

J’ai bien aimé cette dystopie, mais je n’ai pas été transcendée. Un début un peu banal pour le genre. En 2105, le monde est divisé en deux castes, les Lastings qui reçoivent un sérum leur permettant de vivre 400 ans et les Vulnérables, les citoyens ordinaires, qui ne vivent que 90 ans. Forcément, il y a des résistants, appelés « affranchis » qui refusent les conditions du gouvernement de l’Etoile. Nous sommes dans un monde ou le passé n’existe plus que dans les archives gardées secrètes. Les gens ne connaissent pas leur passé, les livres du passé sont interdits dans cet univers post apocalypse climatique. Les thèmes abordés sont intéressants, mais, j’ai trouvé certains passages un peu longs. En bref, ce fut une lecture agréable, mais il m'a manqué quelque chose pour que ce soit une lecture marquante et qu’elle me donne envie d’en lire la suite.

Au premier regard la couverture m'a attiré, et le synopsis également.

La dystopie de départ est assez basique, puisque l'on se retrouve dans un monde qui a survécu à des catastrophes, mais qui a réussi à survivre. Évidemment il y a des classes sociales, globalement les pauvres nuls basiques et les supers géniaux immortels. Pour l'instant cela ne se démarque pas trop d'autres livres.

Néanmoins, de qui en fait une histoire intéressante, c'est le fait que tout le passé a été supprimé, est inaccessible au peuple. Personne ne sait ce qui est arrivé avant que le gouvernement actuellement en place soit au pouvoir. Seulement, une jeune fille se souvient d'éléments du passé, de la vie de son arrière arrière arrière grand mère. Cela va la conduire à se rendre compte qu'il y a un problème, que le gouvernement en place est pourri, et qu'il y a des complots.

On y retrouve également des évènements que nous même avons vécu dans l'année 2015, et qui va servir de trame pour l'histoire.

Ainsi l'histoire est très intéressante avec tout ce qui touche à la mémoire, au souvenir, au cerveau en lui même, et au concours organisé, mais je trouve qu'il n'y a pas beaucoup d'originalité dans les personnages.

En effet, le personnage principal, Sofìa, est la jeune fille qui ✨est différente des autres, qui n'est pas a sa place, et qui ne comprends pas ce qui lui arrive, mais finalement on se rend compte qu'elle est plus puissante qu'on ne le pense ✨

Les autres personnages ne sont pas énormément développés , sauf sa meilleure amie, et même son petit ami. Spoiler(cliquez pour révéler)D'ailleurs pourquoi aime-t-elle Vandal mais pas Swann alors qu'elle ressent aussi des sentiments bizarres envers lui ? Pourquoi elle ne s'interroge pas une seule fois sur les sentiments qu'elle a envers lui ?

En tout cas, j'attends le tome 2 avant de décider si c'est réellement une bonne dystopie ou si c'est juste une autre banale dystopie qui ne varie pas beaucoup et qui a les même procédés et les même événement que toutes les autres.

L'histoire est prenante avec un retour en 2015 avec des événements que nous avons connus. On met en avant qu'il ne faut pas oublier d'où on vient, ce qu'on a vécu pour avancer et évoluer. C'est un beau message. En parallèle, il y a la question du climat, de ce qu'on en fait actuellement et de la répercussion dans le futur.Le petit bémol selon moi c'est la fin qui est trop rapide et pas assez développée. On nous pose la fin mais sans nous parler des conséquences des révélations ni nous indiquer le sort des personnages. Je me suis attachée a So et ses amis et je n'avais pas envie de les laisser sans savoir ce qu'il va leur arriver. Hormis ça, j'ai passé un bon moment de lecture et je le recommande.

.Un roman qui nous fait réfléchir sur la mémoire, le temps, l'oublie avec en trame de fond l'écologie.

Super livre, on se met tout de suite dans le roman et les personnage sont super attachants,on ne s'ennuis jamais,j'ai tout fait pour le faire durer un maximum de temps.

je le conseil a tous le monde, attention toute fois il faut être mature pour le lire ce qui fait son charme.

J'ai hâte de m'acheter le second!!

En 2105, le monde est divisé en deux catégories : les Lastings qui reçoivent un sérum leur permettant de vivre 400 ans et les Vulnérables, les citoyens ordinaires. Mais un concours, le Slamb, permet tous les ans à deux Vulnérables de recevoir le précieux sérum. Sophìa veut y participer...

Le premier tome d'une dystopie sur le thème de la mémoire que j'ai bien aimé.

Les personnages de Sophìa et Briss étaient attachants et montrent une belle amitié.

J'ai trouvé quelques passages un peu long notamment ceux sur l'île. J'ai surtout apprécié les épreuves du Slamb et les thèmes traités. Mais aussi le passage dans la forêt qui apportait de l'action à ce roman qui en manque un petit peu selon moi.

Il était aussi intéressant de voir les personnages découvrir notre passé et certains évènements qui se sont réellement produits à travers les souvenirs de Sophìa.

En bref, un roman agréable, même s'il m'a manqué des choses pour que ce soit une lecture qui me marque

Ce livre m'a beaucoup impressionné. Dès l'instant où j'ai commencé à le lire je n'ai fais que ça! De plus les personnages sont très attachants, et l'histoire est bien construite. Je n'ai pas l'habitude de lire des livres dans ce genre là, je veux dire futuriste, et cela m'a beaucoup plu et je pense que je vais en lire d'autre dans ce style et c'est grâce à ce livre. D'ailleurs je suis à la recherche du livre suivant (2105 Les messagers de l'oubli)

Je crois qu’il me faut, tout d’abord, vous avouer que le dystopique fait partie de mon top 3 de genres littéraires. Si ce n’est mon thème de prédilection.

Or, on se trouve ici dans un futur (proche) dystopique, dans lequel une partie de l’Histoire a été effacée par les dirigeants en place. Une population divisée, un régime dictatorial, une société post évènements climatiques dévastateurs et de révoltes.

Une mémoire collective amputée d’une part de son passé, des dirigeants manipulant la réalité, et une caste supérieure disposant d’un sérum d’éternité.

Ce que j’ai aimé ❤️:

L’importance du passé : ses conséquences et son influence décrites avec une précision et un réalisme bluffant.

Les personnages : tous ont leur personnalité, leur histoire. Authentiques. Ils ne sont pas seulement acteurs du récit. Non, ils l’écrivent. L’histoire (et même « l’Histoire) » dépend d’eux.

Sofia – So’ – protagoniste principale n’est pas de nature une combattante. Au contraire, bien que curieuse et obsédée par le passé de son aïeule, Mina, en 2015, est ne doute pas des règles établies et de son avenir. Ce sont les épreuves, les rencontres et la découverte de la vérité qui feront naitre en elle des convictions qui la pousseront à choisir sa cause.

De même, les Affranchis, n’endossent pas à l’origine le rôle de révolutionnaires. Ils aspirent seulement à vivre en marge de la société.

La proximité de ce futur dystopique, et l’ancrage d’une passé qui constitue notre présent, ont provoqué en moi une immersion totale.

Mon « bémol » ? 🤭

Mon seul regret serait de ne pas en connaitre davantage sur le passé et les aventures parallèles de deux de nos personnages principaux : Swann et Vandal.

(Je prie profondément en faveur de romans spin-off les concernant)

Preuve irrémédiable de ma passion pour cette dystopie de Anouk FILIPPINI : j’ai déjà relu la saga, chose rarissime avec ma mémoire quasi photographique.

C'est une livre qui se lit assez facilement. Cependant, j'ai fini par me lasser de l'écriture et j'ai eu un peu de mal à apprécier la fin.

Dans l'ensemble j'ai bien aimé et je lirais la suite par curiosité.

Une déception, j'attendais beaucoup de ce roman. Je lirais toutefois le second tome, pour connaître la fin, mais ni l'histoire, ni l'ambiance ni les personnages ne m'ont convaincue.

Excepté Swann, je les trouve tous assez fades. Et il ne se passe presque rien pendant les trois quart du livre, ce qui m'a plongé dans l'ennui.

Bien que la couverture me paraissait presque agressive, ce roman, dystopie sur la manipulation et la mémoire, m'a beaucoup plu. J'ai beaucoup aimé le fait que des choses de notre temps ce soir découverte et expliqués à Sofìa et ses compagnons.

Spoiler(cliquez pour révéler) Leurs théories, réactions, et cetera au sujet de Charlie Hebdo et de l'attentat de 2015 m'ont particulièrement marqué. Cet événement qui a marqué mon enfance, m'a ouvert les yeux sur la société et notre monde... Le voir dans une dystopie m'a ému.