Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 957
Membres
1 014 542

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par anonyme 2013-06-16T06:52:54+02:00

- Emma ! me gronde-t-elle gentiment. Une dernière chose. Tu devrais sans doute faire un peu plus attention à ton accoutrement..."

Elle vient de me détailler de haut en bas, comme la gouvernante l'a fait plus tôt. Pourtant, je suis habillée de façon on ne peut plus conventionnelle. Pour une étudiante qui déménage, j'entends. Jeans, Converse, sweat-shirt de ma fac... A croire que les étudiantes françaises déménagent en Chanel. Va savoir... J'ai l'impression que je ne suis pas au bout de mes surprises !

Afficher en entier
Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T20:00:38+02:00

_ Et Spontoni ? Comment se fait-il que…

— Ah ! Silvio est un vieil ami. Nous avons fait nos études ensemble. C’est quelqu’un de bien.

— Charles, tu sais, il m’a proposé de…

— Oui, Emma, cela faisait partie de mon plan. Je suis un loup en matière d’émotions, Emma. Je n’en dis que peu. Lorsque tu m’as poussé à clarifier mes sentiments à ton égard, je n’ai su que dire au début. Aussi, s’il fallait sauter le pas et te déclarer ouvertement ma flamme, il fallait que je sois sûr de toi…

— Et ?

— Tu ne m’as pas déçu. Tu ne m’as jamais déçu.

— Et les diamants bleus, Charles, tu t’es séparé des diamants ?

— J’ai toujours le plus beau des diamants bleus, Emma.

— Comment ? J’ai vu la serviette partir…

— Il est en face de moi, Emma, juste en face de moi.

Afficher en entier
Extrait ajouté par toutoun 2013-06-18T15:07:15+02:00

« Ça va sans doute vous sembler démodé, mais oui, je suis féministe. Je crois que je suis viscéralement féministe. »

J'ai donné tout ce que j'avais de confiance en moi dans cette petite phrase. Nos genoux se touchent maintenant. Je ne sais si c'est le vin ou le plaisir de discuter d'un sujet qui m'occupe entièrement mais je suis en feu. Ses yeux m'hypnotisent. J'appuie mon genou contre le sien. Je regarde ses lèvres, je crois qu'à cet instant précis, je pourrais l'embrasser. Mais il poursuit :

« Diriez-vous que c'est cet engagement féministe qui vous pousse à vous habiller comme un sac ? »

Afficher en entier
Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T19:59:41+02:00

« Réservation à quel nom, monsieur ?

— M. et Mme Renon, s’il vous plaît. »

M. et Mme ? Je sais, Guillaume, tu veux jouer les hommes pleins d’initiative, mais là tu vas un peu trop loin, mon coco !

Je ne veux pas faire un esclandre tout de suite, aussi, j’attends que l’on nous ait placés. Belle table romantique, à l’abri du bruit et du passage. Excellent choix. Nous nous installons. Menu dans les mains, mister Serveur qui s’en va… OK, je peux déballer mon sac.

« Dis-donc, Guillaume, tu ne crois pas que tu en fais un peu trop ?

— Rien n’est trop beau pour toi, Emma.

— Arrête de faire ton joli cœur comme ça, Guillaume. Ça ne te ressemble pas. Moi je t'apprécie tel que tu es. Simple, amical, complice. N’essaie pas de faire ta grenouille plus grosse que le bœuf.

— Je suis plus que ça, Emma. Je suis un bœuf. Je peux être ton bœuf. »

Mais il se rend compte des idioties qu’il est prêt à sortir ? Il est un « bœuf » ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T19:58:03+02:00

Je ferme les yeux tandis que ses baisers deviennent de plus en plus sensuels. Je le sens mordre mes lèvres avec avidité, sa langue cherche la mienne et la petite barbe de trois jours qu’il arbore le week-end me picote les joues, réveillant en moi des envies que je pensais avoir oubliées. Charles jette la lampe de poche au sol, pour que son visage puisse se coller au plus près du mien. J’ai très envie de lui, de son corps contre le mien, mais cette situation me met, en même temps, très mal à l’aise. Ressaisis-toi Emma, tu sais ce qu’il en est entre vous, ne te laisse pas avoir !, je me surprends à penser. Et pourtant, je sens mes jambes s’enrouler presque toutes seules autour de sa taille pendant qu’il me plaque contre le mur. Le désir qui monte en moi est si puissant que je gémis déjà, malgré moi. C’est presque malgré moi aussi que je le laisse enlever mon pull trop large pour embrasser mes seins, presque malgré moi mais avec quel plaisir ! Très vite, Charles me fait basculer par terre, où, dans le faisceau de la lampe-torche, il m’allonge sur la moquette épaisse et rouge du couloir. Mes yeux s’étant habitués à l’obscurité, je le distingue en train de déboutonner son pantalon, et son sexe imposant m’impressionne comme en plein jour. Il trouve rapidement le chemin pour s’enfoncer en moi, dans un geste qui m’arrache un gémissement. Sa bouche a retrouvé la mienne qu’il continue d’explorer par des baisers qui ensorcellent. Les va-et-vient de son corps sur le mien me remplissent d’un plaisir inouï, et je sens que l’orgasme peut me submerger d’une minute à l’autre. Mais d’un seul coup, la lumière se rallume, et le lustre au-dessus de mon visage m’éblouit brutalement. Prise de panique, je repousse Charles, je ramasse mon pull et je monte en courant les escaliers. Arrivée dans ma petite chambre, je m’écroule sur le lit où des sanglots me secouent jusqu’à ce que je m’endorme, encore tout habillée.

Afficher en entier
Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T19:56:52+02:00

– Emma ? C’est toi ? Que fais-tu là en pleine nuit ? »

La voix chaude de Charles agit comme un électrochoc, et je me redresse d’un seul coup. Mais malheureusement, ma voix me trahit, très peu claire, pleine de tremblements.

– Ah tiens, Charles. Comment vas-tu ? Non rien, je rentrai gentiment à la maison. Et toi ?»

J’essaie de rester digne, mais il n’est pas dupe de mon manège.

– Tu as bu ? Tu as pris de la drogue ? Que se passe-t-il ? » sont les derniers mots que j’entends, et dans lesquels je perçois une pointe d’inquiétude mais beaucoup de fureur avant de m’abandonner dans les deux grands bras forts de Charles qui me porte jusqu’à... la douche.

Aaah, mais c’est pas possible, il est en train de m’enlever ma culotte. Je rêve, pitié que je me réveille, il FAUT que je me réveille !

Afficher en entier
Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T19:56:02+02:00

C’est aujourd’hui que je le fais. Je sors sans culotte. Et sans soutien-gorge, tiens. C’est le jour idéal. Il fait froid mais le soleil perce un peu à travers les nuages. Un petit pull moulant, une jupe juste au-dessus du genou, des bas noirs."..." Je suis sexy, sûre de moi, maître du monde. Malheureusement, mon quartier n’évolue pas avec mes mœurs. Il est toujours peuplé de rares petites vieilles aux cheveux violets et de chiens fraîchement toilettés. Les trentenaires sont rarement dehors à cette heure-ci. Note pour moi-même : ni les chiens ni les vieilles dames ne semblent s’offusquer de ma tenue, pas plus que la boulangère.

Afficher en entier
Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T19:55:38+02:00

« Tu me donnes ton numéro ?

– Pourquoi ? »

Pourquoi ai-je besoin d’être si agressive ? Tous les hommes ne sont pas Charles Delmonte !

– Pour reprendre un café ? Aller se promener ? Se faire un ciné ? Boire un verre ? Plusieurs ? S’embrasser fougueusement sous la pluie ? Se disputer ? Faire l’amour ? Se marier ? Envoyer les enfants en colo ? Organiser des repas de famille…

– C’est bon, je te le donne ! »

Afficher en entier
Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T19:54:11+02:00

Il porte une sorte de robe de chambre, ou plutôt un manteau. En tout cas c'est rouge et très richement orné d'arabesques dorées, je dirais que c'est mongol. À sa main, un sabre. Énorme. Il le dégaine tout à coup en m'insultant dans une langue inconnue. Du russe ? J'ai presque peur. Non, en fait, j'ai vraiment peur. Je ne comprends rien. Je suis juste vêtue d'une chemise et mon amant est fou. Il s'approche et m'effleure de la pointe de son sabre. Je crois qu'il me donne des ordres. Mon manque de réponse ne semble pas le satisfaire. Il lève son sabre et l'abat sur moi. Ô mon dieu ! Il m'a frappée ! J'ouvre les yeux. Je n'ai rien. Mais ma chemise est ouverte. Je suis à nouveau nue. En collier, plutôt. Mais il semble s'être radouci. Il a posé son arme et vient de prendre mon visage entre ses mains. Il murmure quelque chose dans cette langue qui m'est inconnue. Et soudain, il me prend par les cheveux et me plaque sur le lit. Il me bande les yeux avec ce qui me semble être un foulard en soie. Je lui crie d'arrêter. Sérieusement.

« Relax Emma, c'est un jeu. Je suis sûre que vous allez aimer. » Et il reprend sa litanie incompréhensible.

Afficher en entier
Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T19:53:45+02:00

Du bruit dans la cage d'escalier. C'est lui. Il sort de chez lui avec quelque chose dans la main. Je suis plaquée contre ma porte, je l'épie, je retiens mon souffle. Il est là, immense devant l'ascenseur. Oh mon dieu ! Il m'a vue ! Il me regarde ! Il s'approche de la porte. Je ne peux plus bouger, plus respirer. Et puis il disparaît. Je suis folle, c'est sûr, ce type m'a envoutée. Un verre d'eau, il faut que je reprenne mes esprits… et que je retourne à mon poste de surveillance. Il n'a pas disparu, il est en train de s'engouffrer dans l'ascenseur. Seul, cette fois

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode