Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 957
Membres
1 014 542

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Tate était agenouillée sur la pelouse avant, près du Bronco de son père, et je me suis arrêté net en entendant son rire ravi et irrépressible. Elle souriait comme si c’était le matin de Noël, les yeux bien fermés, alors que Madman lui léchait le cou.

Sa peau couleur d’ivoire luisait dans le soleil du matin, et ses lèvres roses et charnues étaient ouvertes sur une magnifique rangée de dents blanches.

Le chien était nettement heureux, lui aussi, et secouait la queue avec ivresse. J’ai eu l’impression de m’imposer.

Ils formaient la paire et ils s’aimaient, et mon estomac s’est rempli de papillons.

« Merde. »

J’ai grincé des dents.

Comment faisait-elle ? Comment arrivait-elle toujours à me rendre heureux de la voir heureuse ?

J’ai cligné des yeux pendant un bon moment.

Tate continuait à papoter avec le chien.

— Eh bien, je t’aime, moi aussi !

On aurait dit qu’elle parlait à un enfant, suave et tout, alors que Madman continuait de la pousser légèrement en lui léchant le visage.

Ce n’était pas normal qu’il l’aime autant. Qu’est-ce qu’elle lui avait fait au cours des deux dernières années ? Sans être vraiment en colère contre le chien, j’ai gueulé :

— Madman, viens-t’en.

Tate m’a regardé et s’est levée. Avec un air mauvais, elle a dit :

— Tu houspilles aussi le chien, maintenant ?

C’est alors que j’ai remarqué ce qu’elle portait : le t-shirt de Nine Inch Nails que je lui avais donné quand on avait 14 ans, et pour une raison idiote, j’ai bombé le torse.

J’avais oublié qu’elle l’avait.

Bon… pas vraiment. Je ne m’étais pas aperçu qu’elle l’avait encore, j’imagine.

Elle ne se rappelait probablement même pas que je le lui avais donné.

En m’agenouillant pour accrocher la laisse de Madman à son collier, je lui ai dit, en déformant légèrement les lèvres :

— Tu me parles encore, Tatum.

Je ne l’ai pas appelée « Tate ». Je savais qu’elle détestait se faire appeler « Tatum ».

Je me suis donné un air d’ennui et de supériorité.

« Je serais plus heureux, si elle n’était pas là », ai-je pensé.

Elle n’était rien.

Et pourtant, j’entendais la petite voix à l’arrière de ma tête.

« Elle est tout. »

Afficher en entier

En m’approchant de ma cible, j’ai souri en poussant un soupir condescendant.

— Tu seras bientôt en larmes, lui ai-je promis.

Elle m’a fixé, presque amusée.

— Tu m’as déjà fait pleurer d’innombrables fois.

Puis, elle m’a fait un doigt d’honneur.

— Sais-tu ce que c’est, ça ? a-t-elle demandé en s’en servant pour tapoter le coin de son œil. C’est moi, en train d’essuyer la dernière larme que tu m’auras arrachée.

Puis, elle a tourné les talons et est sortie.

J’étais bouche bée et je ne pouvais pas m’empêcher de fixer l’entrée vide.

« Bordel de merde ! »

Ma gorge a commencé à piquer, j’ai perdu le souffle et je me suis mis à rire.

« Merde, je suis en train de sourire, moi aussi. »

Je ne pouvais pas croire qu’elle venait de me parler comme ça. C’était tout un défi.

« Oh, bébé. C’est parti. »

Afficher en entier

" Hier dure toujours, Demain ne vient jamais .. "

Afficher en entier

Elle était tellement belle, j'en avais mal au ventre.

Elle était perdue dans ses pensées, sinon elle m'aurait vu aussi.

J'ai appuyé mes mains au-dessus de ma tête, sur les deux côtés du chambranle de la porte. C'était ma façon d'essayer d'avoir l'air désinvolte, comme si je m'en fichais. Mais en fait, j'avais besoin de m'appuyer pour empêcher mes jambes de céder.

Mon cœur tonnait dans ma poitrine, et j'aurais tellement voulu appuyer sur « pause » pour figer l'instant, et juste la regarder jusqu'à la fin des temps.

Ses cheveux étaient plus pâles et sa peau plus foncée, probablement parce qu'elle avait passé l'été au soleil, et son corps était beaucoup plus ferme. Plus mûr. La forme de l'arrière de ses cuisses m'a mis l'eau à la bouche. Son nez encore petit, sa peau encore immaculée et ses lèvres charnues, tout ça lui donnait l'allure de la poupée parfaite. Et je n'avais jamais joué avec des poupées, mais je voulais jouer avec celle-ci.

Juste à ce moment, je la désirais totalement. Toute. Sa colère et sa passion, sa haine et son désir, son corps et son âme.

Afficher en entier

c'etait la chose la plus pure, la plus vraie , ;la plus parfaite de mon monde, et pendant des années, j'y ai versé de la merde

Afficher en entier

Elle me regardait comme si je n’étais rien. Comme si je n’étais pas le point de mire de sa vie, tandis qu’elle était en plein centre de la mienne.

Afficher en entier

Nouvel extrait

"Bizarrement, je ne ressentais rien en la regardant. J'étais comme engourdi. Deux minutes plus tôt, j'avais envie de la tenir dans mes bras en m'excusant, et ça avait complètement disparu.

Ce n'est pas tout. Je ne me sentais même pas en colère, non plus.

Tate m'avait échappé. Je m'en fichais.

J'étais une merde. Ça ne me dérangeait pas non plus.

De temps en temps, elle me regardait. Je n'avais pas envie d'elle. Je ne la détestais pas.

Ça...ne...faisait...rien...du...tout."

Afficher en entier

Elle est à moi. Je sais qu’elle m’aime. Pourquoi est-ce que je ne peux pas tout simplement me retourner et le lui avouer ? Tout ce que j’ai à faire, c’est de dire « n’y vas pas », et le problème est réglé.

— Jared ? crie-t-elle, et je m’arrête, car l’air dans la pièce est presque trop dense pour que je respire. Tu es mon meilleur ami, a-t-elle ajouté.

Elle marque un temps d’arrêt, puis continue :

— Mais est-ce qu’il y a une raison pour laquelle tu ne veux pas que je sorte avec Will ce soir ?

Sa voix tremblante hésite comme si elle craignait de parler, et cet instant remplit la chambre comme une promesse rompue. C’est le moment où on sait qu’on peut avoir ce qu’on veut, si on est assez brave pour le dire. C’est dans cette fraction de seconde que tout peut changer, mais où on se dégonfle parce qu’on a trop peur du rejet.

— Bien sûr que non.

Je me retourne et lui souris.

— Vas-y. Amuse-toi. Je te verrai demain.

Ce soir-là, j’ai vu Will l’embrasser, et le lendemain, mon père m’a appelé pour me demander si je voulais lui rendre visite pour l’été.

J’ai dit oui.

Afficher en entier

— Je te rends nerveuse, ai-je dit à regret, en regardant le verre fracassé au plancher.

— Va-t’en, c’est tout.

J’ai entendu son murmure de douleur et j’ai tressailli.

En levant les yeux vers elle, j’ai vu la gêne et la frustration dans ses yeux. Elle ne voulait pas me voir ici. Je ne savais pas si c’était parce qu’elle me détestait et voulait que je parte, ou parce qu’elle ne savait pas trop ce qu’elle voulait.

Finalement, je voyais comment je l’avais embrouillée. Je jouais avec elle, même sans le vouloir. Quand je croyais la détester, je la repoussais. Maintenant que je la désirais, je l’attirais de nouveau vers moi.

C’était toujours moi, jamais elle.

Afficher en entier

“Now, I could go on about mommy didn’t love me and daddy hit me, but who doesn’t have a story, right?” I asked. “There are times when we can blame a situation on others, but we own our reactions to them. There comes a point where we are the ones responsible for our choices and excuses don’t carry weight anymore.”

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode