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Extrait ajouté par Melodie-26 2020-07-18T19:05:17+02:00

« Tu as même essayé de te rapprocher de moi, mais j’ai tout fait foirer les trois fois… Mais tu as essayé… Je crois que tu as envie d’être aimée. D’aimer. De savoir ce que ça fait. Et maintenant, c’est possible avec moi. »

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Extrait ajouté par karinechouzier 2020-07-18T11:23:52+02:00

Quand elle se retrouva le visage proche du derrière proportionnellement gros du président, elle recula. Oh, bon Dieu, quelle horreur cela aurait été si sa tête était rentrée dans les fesses de l'homme qu'elle avait juré de protéger ! Au moins personne n'aurait pu l'accuser d'avoir la tête dans le cul, ou en tous cas dans le sien! Un gloussement lui échappa. Bon Dieu! Voilà qu'elle craquait complètement. Les majors de l'armée américaine ne gloussaient pas.

Puis elle entendit la voix de Monica.

- Tu ne répands pas de gaz hilarant, là derrière, n'est-ce pas mon chéri ?

Le président maugréa :

- Les profs et leurs blagues de gamins.

Candy n'y tint plus. Elle se couvrit la bouche de la main et rit aux éclats. Elle aurait des ennuis, mais ça valait la peine.

Un "major" bourru parvint à ses oreilles et elle inspira un grand coup.

- Oui, monsieur. Désolée, monsieur.

Le président maugréa encore et elle dut se mordre la lèvre. Ce couple est génial. Elle devait en apprendre un maximum de Monica. Peut-être qu'alors elle serait assez bien pour Josh.

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Extrait ajouté par karinechouzier 2020-07-11T12:01:46+02:00

Le sexe n'avait pas grande importance pour elle, de toute façon. Ses premières expériences avaient été éphémères et rapides. La plupart du temps, elle n'avait pas eu d'orgasme. Mais rien d'étonnant quand on couchait avec des hommes jeunes qui ne savaient pas vraiment où se trouvait le clitoris et encore moins comment amener une femme à la jouissance.

Elle était sûre que Josh n'aurait pas ce problème. Certainement pas. Alors, imaginant ses mains sur son corps, une vieille peur la terrassa. Bon sang, elle avait cru être capable de gérer ces foutues émotions. Cet homme superbe la rendait plus vulnérable, tant physiquement qu'émotionnellement. Si elle restait avec lui, il la détruirait jusqu'à ce qu'elle soit à ramasser à la petite cuillère, comme elle l'était quand elle s'était engagée.

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Extrait ajouté par mythik 2020-03-30T08:00:49+02:00

Le loup s'assit sur son arrière-train et tendit sa patte droite au colonel.

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Extrait ajouté par mythik 2019-12-01T18:13:39+01:00

Chapitre 1 :

Josh Tumbel, le directeur de l’Agence des ligues fédérales d’alphas, avait enfin trouvé son âme sœur. Elle était assise devant son bureau et était en train de lui parler. Ses lèvres pulpeuses remuaient et son regard langoureux était fixé sur lui. Et bon Dieu ! ce qu’il donnerait pour être avec elle dans sa chambre. Nue et le suppliant de la prendre. Cela semblait peu probable pour l’instant, cependant. Pas avec la mine renfrognée qu’elle avait.

Elle s’était présentée sous le nom de sergent, ou était-ce lieutenant ? Peut-être commandant ? Candace Obermier. Il l’appellerait Candy. Comme les bonbons. Il se demanda combien de coups de langue seraient nécessaires pour atteindre son cœur crémeux.

Elle plissa ses beaux yeux et avança ses lèvres délicieuses. Ah, putain ! Elle avait cessé de parler. Avec un peu de chance, elle n’avait rien dit d’important.

Elle arqua les sourcils.

— Directeur Tumbel, avez-vous entendu un seul mot de ce que j’ai dit ?

— Bien sûr, mentit-il. Chacun d’eux.

— Et vous n’avez pas de commentaires ? s’enquit-elle avec un petit reniflement.

Putain ! Il ne s’était certainement pas attendu à passer pour un imbécile aux yeux de son âme sœur. C’était une peur qui l’avait longtemps tourmenté. Il trouverait l’élue, avant de la faire fuir avec sa mentalité d’homme des cavernes. Sa mère lui avait bien fait la leçon. Il connaissait toutes les erreurs que commettaient les métamorphes et savait comment les éviter. Mais saurait-il en tirer parti ? Manifestement non.

— Je suis désolé, sergent…, commença-t-il.

— Major, corrigea-t-elle, pinçant ses superbes lèvres.

Eh bien, merde ! Il venait juste de lui donner un grade inférieur de quatre échelons. Il ne devait pas être dans ses petits papiers. Les militaires étaient si attachés à leur statut.

— Major, je vous présente mes excuses. J’avais la tête ailleurs… (à rêver de te lécher de la tête aux pieds) et votre dernière remarque m’a échappé.

— J’ai dit, répéta-t-elle avec un petit grognement, que je fermais votre service.

Voilà qui retint assurément son attention. Comment pouvait-elle bien fermer son service ? L’équipe ALFA était expressément chargée par le Conseil du renseignement national de conduire des missions dangereuses qui tueraient n’importe quel humain lambda. Se pouvait-il qu’elle ignore qu’ils étaient « spéciaux » ? Les apparences étaient trompeuses. Devrait-il le lui dire ? Non. Ce n’était pas de son ressort.

Calmement, patiemment, il entrelaça ses doigts et posa les mains sur son bureau.

— Major Obermier, souffla-t-il, mon équipe existe depuis de longues, de très longues années. Depuis plus longtemps que la plupart des autres organisations à Washington…

— J’en ai conscience, directeur Tumbel…

— Je vous en prie, appelez-moi Josh.

Il lui donna un aperçu de son sourire aux dents blanches et parfaites. Il avait porté des bagues et des maudits appareils toute son adolescence, alors elles avaient intérêt.

À en croire sa mine renfrognée, elle se moquait de son physique de rêve comme de sa dernière chemise. Ce qui était une bonne chose, dans un sens. Il ne voulait pas d’une âme sœur qui s’engouait de qualités matérielles et superficielles. Mais cela dit, comment allait-il la courtiser si elle n’aimait pas tout ce qui s’achetait facilement ? S’il ne devait compter que sur sa personnalité, il était mal barré.

— Directeur Tumbel, poursuivit-elle, une pointe d’impatience dans la voix, laissez-moi vous expliquer quelque chose. Ce nouveau président et son gouvernement ne parlent plus que de nettoyer le bourbier que Washington est devenu. Il s’agit d’effectuer de sérieuses compressions budgétaires. Pas juste un ou deux millions en changeant de fournisseurs de matériel de bureau, mais des centaines de millions. Mon boulot consiste à déterminer là où le bât blesse et à redresser la situation.

Là où le bât blesse ? Son agence était considérée comme un poids mort ? Avait-elle la moindre idée de qui ils étaient ?

— Major Obermier, savez-vous ce que nous faisons ici à ALFA ? demanda-t-il.

Elle ouvrit un dossier sur ses genoux.

— Oui. (Elle s’interrompit avant de poursuivre.) Vous avez détruit un échantillon viral unique au monde, le rayant de la surface de la Terre.

Il ouvrit la bouche pour s’expliquer, mais elle leva un doigt, l’arrêtant.

— Vous avez presque provoqué une guerre avec la mafia dans l’une des plus grandes destinations touristiques du monde qui aurait pu tuer des centaines voire des milliers de civils innocents, dit-elle.

Il aurait pu expliquer cela aussi, si son regard plein de mépris ne lui disait pas : « ferme-la ».

— Et pour finir, l’un de vos agents a été capturé après près d’un an sous couverture, termina-t-elle.

Il n’avait pas grand-chose à répondre à ça, sauf que l’enquête avait bien abouti au final au démantèlement du plus grand réseau de trafic d’êtres humains d’Europe.

— Oh ! attendez, ajouta-t-elle, ce n’est pas tout. Vous avez fait appel à un agent non qualifié pour vous aider dans une mission secrète internationale.

Quoi ? Cela allait trop loin.

— J’ignore de quoi vous parlez.

Mais cela dit, il le savait peut-être.

Elle arqua encore les sourcils.

— Un agent du FBI sans expérience du terrain a été envoyé à l’étranger pour une opération sous couverture. Combien d’infractions relevez-vous, Tumbel ? D’abord, tout le monde sait que seule la CIA s’occupe d’affaires internationales. Ensuite, envoyer une femme non formée…

Son âme sœur lui tapait plus qu’un peu sur les nerfs.

— L’agent Tomlin est hautement qualifiée…, l’interrompit-il.

— Dans la résolution de mots croisés.

Obermier éleva la voix, puis son corps. Elle se pencha par-dessus le bureau.

— Elle est déchiffreuse, pour l’amour du ciel. Elle passe ses journées à jouer avec les mots.

Il se leva et s’avança vers elle au-dessus du bureau.

— Et elle y excelle. Nous serions en guerre contre la Russie, en ce moment même, si elle n’avait pas été là.

Il huma son haleine suave à quelques centimètres à peine de lui. Elle devait avoir sucé un bonbon. Putain ! il avait trop hâte d’être à la place du bonbon. Son pantalon devenait étriqué à l’entrejambe. On pouvait faire confiance à l’animal en lui pour voir leurs chamailleries comme des préliminaires.

Il pourrait bondir de l’autre côté du bureau aussi sec et la prendre par terre si seulement elle l’y invitait d’un signe. Putain de merde, la voilà ! La senteur d’ambroisie de son émoi. Il sentit ses genoux se dérober sous lui. Dieu merci il s’appuyait contre le bureau sinon il se serait écroulé. Il inspira profondément, humant cette odeur à pleins poumons.

Ses émotions excitées par l’esprit de rébellion s’apaisèrent en même temps que les battements furieux de son cœur. Elle le désirait autant que lui. Il avait commencé à se demander si son loup ne s’était pas trompé et qu’elle n’était pas son âme sœur. Aucun doute à présent.

Elle jeta un coup d’œil à sa montre sur son bras délicat. Comment avait-il pu ne jamais remarquer à quel point les poignets pouvaient être sexy ?

— Je suis désolée de vous avoir ennuyé aussi tard, directeur Tumbel, dit-elle

— Je me rends à l’hommage rendu à ALFA dans une demi-heure. (C’est ironique, pensa-t-il.) Une cérémonie pour honorer mon agence et sa contribution à la sécurité des États-Unis au cours des dernières années. N’est-ce pas étrange ? Dédier une plaque à une organisation que vous souhaitez fermer.

Elle releva un coin de la bouche.

— La cérémonie a été commanditée par le précédent président, pas par celui actuellement en place. (Elle se redressa et croisa les bras.) Tous vos hommes seront-ils présents ce soir ?

— Oui.

Enfin, tout le monde serait de nouveau réuni. Chacun de ses hommes avait trouvé son âme sœur récemment et était en congés. À présent ils s’apprêtaient tous à prendre de très longues vacances si cette femme parvenait à ses fins.

— Bien. (Obermier saisit son attaché-case.) Dites-leur ce soir à la réception de ne pas venir lundi matin. Leurs effets personnels seront mis dans un carton qu’on déposera devant la porte avant midi. (Elle se précipita vers la porte du bureau.) Bonne soirée, directeur Tumbel.

Et elle disparut de sa vie, juste comme ça. Comment la situation avait-elle pu lui échapper si vite ?

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