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Extrait ajouté par FiftyShadesDarker 2020-11-17T19:19:56+01:00

- J'ai pensé qu'on pouvait semer et cultiver ensemble.

- Ensemble, répète soudain Milly.

Je souris à Jamie :

- Oui. Je crois que c'est possible.

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Extrait ajouté par FiftyShadesDarker 2020-11-17T19:19:16+01:00

Mon émotion prédominante était le désarroi. Je redoutais que le retour de Xan ne vienne remuer les anciennes émotions alors que je venais tout juste de retrouver le bonheur.

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Extrait ajouté par FiftyShadesDarker 2020-11-17T19:18:26+01:00

- Des regrets ?

- D'avoir fait un bébé toute seule. Ca ne va pas être facile, d'un point de vue affectif, ça va même être difficile, parfois... et solitaire... et angoissant.

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Extrait ajouté par Hanayu 2014-01-16T17:13:27+01:00

- Salut patronne ! S'écria Jamie avec indolence.

- Je ne suis pas ta patronne, rectifiai-je. Je ne suis même pas, du moins officiellement, ton associée, bien que nous travaillons beaucoup ensemble. Je suis ta...ton...

-Horticultrice hautaine, suggéra-t-il tandis que je verrouillais ma portière. Je t'ai trouvée coincée la première fois que je t'ai rencontrée, mais finalement, je me suis fait à toi et maintenant je te trouve assez sympa.

- Merci. Mais comme je te l'ai dit, je ne suis pas ta patronne et toi...je ne sais pas ce que tu es au juste.

- Je suis le mec qui te retourne...la terre.

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Extrait ajouté par Hanayu 2014-01-16T17:13:14+01:00

J'admirais toutes les plantes en fleurs dans les jardins de la rue – azalées, clématites, tulipes et giroflées. Si Citronella était une plante, laquelle serait-elle ? Le lierre. Une plante insidieuse, dont il est impossible de se débarrasser, et qui détruisait tout en douce. Jenny serait une plante sensitive – elle valait la peine d'être cultivée mais ses feuilles se rétractaient dès qu'on avançait la main. Cassie serait une dionée, plante carnivore séduisante, mais dangereuse. Xan serait...un tournesol – offrant un spectacle magnifique mais de trop courte durée.

Et que serais-je moi?me demandai-je en sonnant à la porte de Nicole. Un Dicentra spectabilis, conclus-je amèrement. Un cœur saignant.

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Extrait ajouté par Hanayu 2014-01-16T17:13:01+01:00

Je me demandais une fois de plus comment les mêmes ingrédients avaient pu nous produire, Cassie et moi. Nous ne sommes pas tant comme chien et chat – les chiens et les chats ont des points communs. Nous, c'est plutôt chien et chou.

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Extrait ajouté par Hanayu 2014-01-16T17:12:35+01:00

Je songeais amèrement à Xan, en me rappelant une fois de plus le conseil que m'avait donné ma mère la première fois que j'avais eu le cœur brisé. J'avais vingt ans et j'étais assise sur mon lit, en larmes :

- Jason était très...sympathique. Et oui, il était très beau, et très bien habillé – je suppose qu'il avait aussi une belle voiture. (Je songeai, avec un pincement au cœur, à sa Lotus Élise. ) Mais il n'était pas bien pour toi, ma chérie.

- Comment peut-tu dire ça ? Gémis-je. Tu ne l'as rencontré qu'une seule fois.

- Mais cela m'a suffi pour constater qu'il était ce que j'appellerais – pour reprendre un terme de jardinage – une plante annuelle. Elles sont tape à l’œil et , avait-elle ajouté font beaucoup d'effet avant de disparaître pour toujours Ce qu'il te faut, Anna, c'est une plante vivace. (Je m'imaginai brusquement mariée à un Forsythia) Une plante vivace ne te décevra jamais. Elle reviendra année après année, fiable, digne de confiance – et sûre. Comme ton père. Il est toujours là pour moi. Quoi qu'il arrive...

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Extrait ajouté par bellajessica 2013-04-28T22:57:18+02:00

Les hommes avec lesquels je sortais étaient tous séduisants, intelligents et charmants ; ils auraient été de bons partis, si ce n’est que chacun d’entre eux semblait affligé d’une tare quelconque. Duncan, par exemple, réussissait brillamment en tant que courtier, il était intelligent et sympathique, mais son enthousiasme pour les clubs de strip-tease me révulsait ; puis il y eut Gavin, qui se remettait difficilement de son divorce. Ensuite, j’étais sortie avec Henry, un rédacteur publicitaire, qui contournait les embouteillages en roulant sur le trottoir. À la deuxième contravention, je le laissai tomber. Puis je rencontrai Tony, un éditeur, lors d’un mariage dans le Wiltshire. Tony était intelligent et amusant. Mais quand, au bout de six mois, il m’apprit qu’il ne souhaitait pas de relation à long terme, je rompis. Je ne pouvais pas me permettre de perdre mon temps.

— Tu as encore tout ton temps, ma chérie, m’assurait alors ma mère pour me consoler.

Nous étions assises sur un banc, sous le poirier. C’était son anniversaire, le 10 mai. Elle passa son bras autour de mes épaules, m’enveloppant d’un nuage du Shalimar que je lui avais offert le matin même.

— Tu n’as que trente-deux ans, Anna.

Mon regard se porta sur les petits nuages bleus de myosotis qui flottaient au-dessus des plates-bandes.

— Trente-deux ans, c’est encore jeune, reprit-elle. Les femmes ont leurs enfants bien plus tard de nos jours... Dieu merci.

Je lui posai soudain une question que j’avais toujours eu envie de lui poser :

— Si tu pouvais recommencer, maman, aurais-tu attendu plus longtemps avant de fonder une famille ?

Elle avait eu Mark à vingt et un ans à peine.

— Enfin, avait-elle dit en rosissant légèrement, je... ne crois pas qu’avoir un enfant soit une erreur.

Ce qui n’était pas ce que j’avais voulu dire.

— Mais, en effet, j’ai commencé très tôt, avait-elle poursuivi, alors je n’ai jamais vraiment travaillé, contrairement à toi. Mais toi, Anna, tu as la chance de faire partie d’une génération qui peut avoir une carrière intéressante et une vie indépendante avant de connaître le bonheur de la vie de famille. Et ne t’en fais pas, tu le connaîtras, répéta-t-elle en me caressant les cheveux, parce que tu as encore beaucoup de temps devant toi.

Ce qu’elle-même n’avait pas, en fin de compte, puisqu’elle était morte moins d’un mois plus tard.

Tout en prenant la sortie d’autoroute, je me souvins — comme souvent, lorsque je suis au volant et que mon esprit vagabonde — de cette période épouvantable. J’étais tellement anéantie que j’arrivais à peine à respirer. C’était comme si on avait appuyé sur le bouton « pause » de ma vie. Qu’allais-je faire sans ma mère ? J’avais l’impression d’avoir été précipitée au fond d’un gouffre.

Et si, moi aussi, je n’avais plus que vingt-trois ans à vivre ? m’étais-je alors demandé, les yeux ouverts dans le noir, nuit après nuit. Si je n’avais plus que dix ans, ou cinq, ou un ?

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