Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 790
Membres
1 013 825

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaires de livres faits par Aiopera

Extraits de livres par Aiopera

Commentaires de livres appréciés par Aiopera

Extraits de livres appréciés par Aiopera

Son Manx à présent en mode furtif, Natch ouvrit l’étui fixé à sa cuisse et en sortit son arme de secours, un Beretta M9 avec silencieux, qu’il tendit à Bergman.
— Tâche de bien viser, prévint-il dans un grand sourire, tandis que Bergman prenait le pistolet et bafouillait ses remerciements. On veut juste abattre les méchants ce soir. Pigé ?
Bergman acquiesça.
— T’as la trouille ?
Bergman hocha encore la tête, tout en bredouillant :
— Non… non, pas du tout. Bien sûr, j’ai les boyaux tellement retournés que si je me lève je me chie sur les deux jambes. Mais je suis sûr que c’est juste la bouffe que j’ai mangé.
Ils échangèrent encore un regard, puis tous deux éclatèrent de rire. Natchez lui donna une nouvelle claque sur l’épaule et suivit Cam qui sortait du véhicule.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
— Vous exhalez un incroyable parfum, commenta Vayl en s’approchant de moi au maximum sans me toucher.
Sa définition de la distance professionnelle, apparemment.
— Concentrez-vous sur le boulot, baby.
— Baby ? C’est mon nouveau surnom ?
— Bien sûr.
— Je le déteste, rétorqua Vayl, catégorique. Trouvez-m’en un autre.
Je levai les yeux sur lui ; son excitation était si intense qu’elle en devenait palpable… [...]
— J’avais un perroquet du nom de Murray dans le temps. Ça vous plaît ? suggérai-je.
Ses épaules s’affaissèrent :
— Vous êtes sérieuse ? Quand vous me regardez, je vous fais penser à un… perroquet ?
— Parfaitement, répliquai-je, d’autant plus ravie de ma trouvaille qu’elle l’agaçait. C’est parce que vos yeux prennent toutes sortes de nuances comme les plumes d’un perroquet. Et vos canines sont un peu taillées comme son bec. Murray chiait sur du papier journal. Et vous lisez les journaux pendant que… (Son regard m’interrompit net.) Ou peut-être que, étant vampire, c’est pas une fonction vitale chez vous. Mais puisque vous vous alimentez et que vous lisez les journaux, je me disais que…
— Jasmine !
— Au temps pour moi. Pour poursuivre cette conversation, va falloir qu’on attende de mieux se connaître.
Je ne compris pas toute sa réponse, mais j’eus l’impression d’entendre un truc du genre :
— D’ici à une centaine d’années.
— OK, intervint la voix de Cole dans nos oreillettes, si ça continue, je vais me mettre à gerber. En plus, les méchants rappliquent. Je répète… Les hommes de main du Magicien sont lâchés !
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
— Jasmine est devenue très chère à mon cœur, déclara-t-elle avec ce mélange de gentillesse et d’autorité dans la voix qui força Dave à se tourner vers elle. C’est un tel plaisir de rencontrer enfin son jumeau. Je m’appelle Cassandra.
Elle tendit la main et, avant que je puisse l’en empêcher, Dave la lui serra.
[...]
— Est-ce… que… je vous connais ? demanda enfin Cassandra, le souffle coupé.
Dave secoua la tête, sa main libre palpant sa nuque, comme pour s’assurer qu’on ne venait pas de lui coller un coup de matraque.
— Vous aimeriez ? répliqua-t-il avant de refermer aussi sec son clapet.
Il n’en revenait pas d’avoir laissé ces paroles lui échapper.
Derrière lui, son équipe semblait l’approuver. Grâce l’Amazone et Jet échangeaient des regards ébahis. Cam articula en silence : « Est-ce qu’il est en train de draguer… une fille ? » à l’adresse de Natch, qui répondit en hochant la tête d’un air stupéfait.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
— Allez-y, Jasmine, reprit mon chef, dites-nous ce qui s’est passé quand Raoul vous est apparu.
Je m’éclaircis la voix, puis parcourus l’auditoire du regard.
— Eh bien, il s’est pointé pendant que je prenais un bain moussant.
Raoul s’était introduit dans ma petite salle de bains blanche. [...] tandis qu’il m’annonçait de sa voix teintée d’accent espagnol : « Navré, Jasmine, mais il n’existe pas d’autre moyen de procéder. Je dois vous conduire en enfer. »
Avez vous apprécié cet extrait ? +1


Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode