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- Eh oui, il est très doué. Et vous savez quoi ? A la tronçonneuse, il est encore meilleur...

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Le Boucher avait donc bien la lame aussi preste et précise qu’on le racontait. Il pratiquait l’art du couteau à la manière des anciens tueurs siciliens, et c’était d’ailleurs un vieux soldato du sud de Brooklyn qui l’avait formé. Amputer et briser des os était devenu pour lui un jeu d’enfant. Il y voyait une sorte de marque de fabrique, prouvant aux yeux de tous qu’il n’avait pas d’états d’âme

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— À quoi devons-nous cet honneur ? Nous avons entendu parler du Boucher, bien entendu. Pourquoi êtes-vous ici, à Baltimore ? Que pouvons-nous faire pour vous ? — On ne fait que passer, répondit Michael Sullivan. On a un petit boulot à faire pour M. Maggione, à Washington. M. Maggione, ce nom vous dit quelque chose, messieurs 

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Mon nouveau bureau, situé au quatrième étage, était un studio reconverti comprenant une grande pièce, une petite salle de bains et une kitchenette. Près des fenêtres en arc de cercle qui dispensait généreusement la lumière naturelle, j'avais installé deux confortables fauteuils et un divan pour mes séances de thérapie.

J'étais fébrile. J'avais posé ma plaque, et j'étais prêt à recevoir mes premiers patients.

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Sullivan, fou de rage, sentait encore son cœur, et pas que son cœur, d'ailleurs, palpiter. Il aurait voulu la rattraper, la madone, et l'étrangler au beau milieu du centre commercial. La massacrer. Mais il adorait le petit jeu qu'il avait inventé. Stop ou encore.

Une demi-heure plus tard, il tentait sa chance au Tysons Corner Mall devant une boutique de lingerie Victoria's Secret. Il parvint jusqu'à "pour une heure" avec une blonde de rêve qui portait un short ultra-court et un T-shirt proclamant Jersey Girl, mais la chance ne lui sourit pas davantage. Sullivan, surexcité, n'en pouvait plus d'attendre. Il fallait à tout prix qu'il gagne, qu'il couche, qu'il s'offre une giclée d'adrénaline.

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Il y avait trois pommes, dont chacune avait été mordue une fois et une seule par une petite bouche d'enfant, posées sur les pattes de trois peluches, des dinosaures de couleurs différentes. Notre petit Damon s'était introduit dans la chambre de sa sœur pour laisser libre cours à son imagination.

En sortant de la chambre, j'eus droit à un autre petit sourire. Suivi d'un clin d’œil. Et maria me chuchota quelques mots que je n'oublierai jamais : "Je t'aime, Alex. Je t'aime comme personne ne t'aimera jamais."

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À ce jour, la mafia italienne était encore peu active dans la capitale, et cela sans doute en raison d’accords secrets passés avec le FBI et la CIA. Mais les cinq Familles avaient récemment décidé, lors d’une réunion à New York, de s’attaquer à Washington, à Baltimore ainsi qu’à une partie de la Virginie. La nouvelle, on s’en doute, n’avait guère réjoui les caïds locaux, et notamment les Asiatiques qui contrôlaient le marché de la cocaïne et de l’héroïne

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Avant de partir travailler, je devais moi aussi embrasser et prendre tout le monde dans mes bras et distribuer des je t’aime. Ça peut paraître cucul, mais ça fait du bien, et tant pis pour ceux qui s’imaginent qu’une famille débordée et sous tension n’a pas droit à la joie et à l’amour. Nous ne manquions ni de l’une, ni de l’autre

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— Vous savez, Nana, Alex n’écoute pas beaucoup ce qu’on lui dit, en ce moment. Il ne pense qu’à ses enquêtes criminelles. Je lui ai déjà dit que Damon pouvait manger tout seul. Enfin, la plupart du temps. Quand ça ne part pas au plafond ou sur les murs

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Le regard de Marianne s’était métamorphosé. Il y lisait maintenant la peur et la haine, ce qui le réjouissait. C’était une longue histoire, l’histoire d’un gosse qui avait grandi à Brooklyn, une histoire de père et fils qu’il préférait garder pour lui. — Brave fille. Bizarrement, je t’aime bien. Ce que je veux dire, c’est que j’ai de l’affection pour toi. Oui, de l’affection. Au revoir, Marianne, Marianne

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