Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 982
Membres
1 014 604

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par x-Key 2010-12-09T19:52:53+01:00

Partout dans le monde une femme ne doit pas quitter le lit de son mari même si le mari injurie, frappe et menace la femme. Elle a toujours tort. C'est ce qu'on appelle les droits de la femme.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-09T19:52:53+01:00

Ingérence humanitaire, c’est le droit qu’on donne à des Etats d’envoyer des soldats dans un autre Etat pour aller tuer des pauvres innocents chez eux, dans leur propre pays, dans leur propre village, dans leur propre case, sur leur propre natte.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-09T19:52:53+01:00

Allah crée chacun de nous avec sa chance, ses yeux, sa taille et ses peines.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-09T19:52:53+01:00

Allah fait ce qu’il veut ; il n’est pas obligé d’accéder à toutes les prières des pauvres humains. Les mânes font ce qu’ils veulent ; ils ne sont pas obligés d’accéder à toutes les chiaderies des prieurs.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-09T19:52:53+01:00

On ne discute pas avec un visionnaire.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-09T19:52:53+01:00

Un pet sorti des fesses ne se rattrape jamais.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-09T19:52:53+01:00

« Je décide le titre définitif et complet de mon blablabla est Allah n’est pas obligé d’être juste dans toutes ses choses ici-bas. Voilà. Je commence à conter mes salades.

Et d’abord…et un…M’appelle Birahima. Suis p’tit nègre. Pas parce que suis black et gosse. Non ! Mais suis p’tit nègre parce que je parle mal le français. C’é comme ça. Même si on est grand, même vieux, même arabe, chinois, blanc, russe, même américain ; si on parle mal le français, on dit on parle p’tit nègre quand même. Ca c’est la loi du français de tous les jours qui veut ça. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-09T19:52:53+01:00

"Suis p'tit nègre. Pas parce que suis black et gosse. Non! Mais suis p'tit nègre parce que je parle mal le français. [...] Même si on est grand, même vieux, même arabe, chinois, blanc, russe, même américain: si on parle mal le français, on dit on parle p'tit nègre."

Afficher en entier
Extrait ajouté par maeva_632 2023-11-27T09:13:52+01:00

Au point de vue d'origine et filiation ,Onika était la soeur jumelle de Samuel Doe. Elle se défendait, au moment du complot des natives contre les Afro-Américains . ( Se défendre pour une fille , c'est aller d'un point à un autre se prostituer. ) Elle s'appelait alors Onika Dokui. Dès la réussite du complot de son frère jumeau , ça la nomma sergent dans l'armée libérienne et elle-meme changea de nom et se fit appeler Baclay . Baclay parce que cela faisait nègre noir afro-américain et , on a beau dire , être afro-américain au Libéria donnait un certain prestige , c'était mieux que d'être d'origine native, d'être nègre noire africaine indigène. A son retour de Lomé, de la conférence des chefs d'État de la CDEAO, Samuel Doe nomma lieutenant le sergent Baclay et l'affecta à sa sécurité personnelle. À la mort Samuel Doé, quand Samuel Doe fût dépecé Baclay se nomma elle-même général et chef de la région de Sanniquellie. C'est à dire que le général était une femme futée qui ne laissait pas lapper sa sauce au fond d'un canari par des ouyas-ouyas d'hommes. Walahé !

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-09T19:52:53+01:00

J'ai tué beaucoup d'innocents au Liberia et en Sierra Leone où j'ai fait la guerre tribale, où j'ai été enfant-soldat, où je me suis bien drogué aux drogues dures."

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode