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— Tu sous-estimes les loups, Poppy, ce n’est pas une simple balle qui va arrêter un lycan furieux.

Je souris.

— Et toi, tu sous-estimes les chasseurs, Teller.

Je lui tendis mon arme, il s’en empara, méfiant, avant de l’observer de plus près.

— Un Glock 43 ?

Je ricanai.

— Un Glock 43 un peu spécial, le chargeur est rempli de balles en argent, toutes mes balles sont en argent, ou presque. Les loups ne sont pas les seules créatures à craindre ce métal.

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-Tu peux parler Rebecca, mais c'est dur d'être crédible quand on est pire qu'un joueur de rugby.

Les garçons dans le salon froncèrent les sourcils, ils ne comprenaient visiblement pas ma blague.

-Joueur de rugby ? répéta la blonde.

-Ben ouais, tout le monde t'est rentré dedans, lâchais-je.

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— Espèce de sale con, comment oses-tu te pointer ici après presque deux semaines d’absence ? criai-je, hors de moi.

Nick passa une main sur sa joue, fronçant les sourcils à son tour.

— Je ne pensais pas être accueilli par une gifle, gronda-t-il.

Je secouai la tête, incrédule.

— Tu te fiches de moi ? Tu pensais être accueilli comment alors ? Par un petit bisou de bienvenue ?

— Poppy ? Jetant un regard par-dessus mon épaule, je découvris un Sam à l’air fatigué. Par chance, il avait enfilé un pantalon. Cependant, à la vue du torse dénudé du Gamma encore légèrement humide, l’Alpha poussa un grognement menaçant.

— Rentre chez toi Nick, lui intimai-je, furieuse, je n’ai pas le temps de discuter avec toi tout de suite. Il fallait te pointer plus tôt. Je suis crevée, j’ai besoin de sommeil.

— Nick ? lança Sam, s’approchant de nous à grands pas. Je ne pensais pas te las.

J’entraînai le loup avec moi, mais Nick fit irruption dans l’appartement, il nous suivit.

— Rentre chez toi Teller, et laisse-nous tranquilles, j’ai une conversation de la plus haute importance à finir, la nôtre attendra ! affirmai-je, tirant toujours Sam avec moi.

Nous traversâmes le salon. Pour l’ouvrir, je donnai un coup de pied dans la porte de la chambre, qui claqua contre le mur. Je poussai mon ami vers le lit, il fut projeté sur le matelas. Je constatai que, par chance, il avait pris le temps de ranger mes dossiers. Un sourire idiot illuminait son visage. Il semblait de toute évidence amusé par la situation.

— Va te coucher Sammy, grommelai-je.

— Non ! cria Nick. Personne ne dormira avec toi Poppy, surtout pas Sam. Sam, rentre.

Je donnai mon attention au mâle dominant aux cheveux cuivrés, pointant mon index sur ses pectoraux imposants. Son tee-shirt légèrement moulant lui allait comme un gant, il mettait en valeur les muscles saillants de son torse massif. Je secouai faiblement la tête, chassant de mon esprit les images d’un Nick entièrement nu.

— Ça fait un moment qu’on dort ensemble Sammy et moi, Nick. Si tu ne voulais pas que ça arrive, tu aurais dû livrer un lit d’appoint avec le garde du corps !

Les traits du visage de l’Écossais étaient déformés par la rage qui semblait le gagner. Ses sourcils se froncèrent un peu plus, sa bouche si attirante se tordit dans un mélange de colère et de haine. OK, c’était peut-être pas une bonne idée de dire ça, il avait l’air hors de lui. Ses yeux gris se voilèrent, il se tourna vers son homologue, toujours à moitié couché sur le lit.

— Sam, ne me dis pas que tu as dormi avec ma femelle ? gronda-t-il.

— Roh ! m’écriai-je, agacée.

Je pouvais sentir la tension électrique dans l’air, celle qui menaçait de faire exploser la situation d’un moment à l’autre. Sam se raidit derrière moi puis se leva calmement du lit. Il ne souriait plus. Je me déplaçai légèrement sur le côté, me plaçant ainsi entre les deux lycans qui s’affrontaient du regard. Il semblait certain que Nick avait un net avantage, en tant qu’Alpha de Sam, il pouvait le soumettre sans problème. Ça ne sentait pas bon. Heureusement, j’avais un flingue sous le lit.

— Je ne suis pas ta femelle ! maugréai-je. — Sam, je t’ai posé une question, je crois, maugréa Nick, menaçant. — Et moi je crois que je t’ai demandé de partir, tentai-je pour attirer son pas dangereux vers son homme, je posai ma main à plat sur son torse.

— Arrête Red, c’est bon OK ? dis-je, inquiète pour la suite des événements ; je ne voulais pas lui tirer dessus.

— Reste en dehors de tout ça Poppy, m’ordonna-t-il. L’homme posa sa grande main sur mon épaule et me poussa sur le côté, voulant clairement me passer devant.

J’attrapai son tee-shirt, et basculai en arrière, l’entraînant avec moi dans ma chute. Mon dos s’écrasa sur le matelas, Nick tomba sur moi de tout son poids, je poussai une exclamation étouffée. — Sammy, rentre chez toi, je m’occupe de Nick, assurai-je péniblement. On se téléphone plus tard.

Au-dessus de moi, le Lieutenant du Sud plongea ses yeux gris dans les miens. Mes mains étaient si fermement serrées sur le col de son tee-shirt que mes ongles s’incrustaient dans la chair tendre de mes paumes. Les doigts du lycan trouvèrent ma taille, il pressa le tissu de mon pantalon de pyjama avec plus de force que nécessaire. Je croisai mes chevilles dans le bas de ses reins, pour l’empêcher de fuir, et surtout, pour garder son attention rivée sur moi. Je tentais de le distraire pour l’empêcher de péter les plombs, cela semblait fonctionner.

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Extrait ajouté par Beeboo 2019-04-17T09:45:31+02:00

Sans dire un mot, l’Alpha retira son bras de ma taille, je faillis le regretter, mais sa paume se posa sur mes reins, je me redressai instantanément à ce simple contact. Quelle agréable sensation.

C’est en pressant ses doigts dans le bas de mon dos que le lycan m’intima d’entrer dans l’immeuble désaffecté. Je m’exécutai sans rechigner, surtout pour échapper à l’atmosphère pesante qui s’était installée dans la rue.

— Hector paiera pour le mal qu’il a fait à Poppy, si qui que ce soit la touche, sache que je le tuerais. Je compte sur toi pour faire passer le message, Devon.

La voix grave et rauque du loup était aussi tranchante qu’une lame de rasoir. Il mettait en garde quiconque voudrait s’en prendre à moi, il le mettait en garde par la même occasion. Cette démonstration de force aurait pu être flatteuse, mais je n’étais pas de cet avis. J’étais une grande fille, je pouvais me débrouiller seule. Ici, j’avais la déplaisante impression d’être réduite à une petite fille fragile incapable de se défendre par ses propres moyens. De nos jours, les femmes savaient se défendre sans l’aide dite indispensable du prince charmant sur son cheval blanc. Je détestais être sous-estimée, je fronçai les sourcils en faisant un pas en avant

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Extrait ajouté par WODP 2019-03-31T23:25:26+02:00

— C'est qui ce type ? me questionna l'adolescent.

— Un ami, enfin, si on veut, soufflai-je, pensive.

— Je te connaissais pas comme ça Pop.

— Je ne suis pas comme ça, Rett, c'est juste que de temps en temps, une fille a besoin de sortir de sa zone de confort.

— Pour baiser ?

Je faillis m'étouffer en entendant sa question. Les gosses grandissaient trop vite.

— Aussi ouais.

— Tant qu'il est gentil.

— Je ne sais pas si gentil est le terme le plus approprié qui soit pour le décrire.

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Extrait ajouté par WODP 2019-03-31T21:01:30+02:00

— Tu sais, nous les loups, on a la capacité de savoir si la personne en face de nous nous ment ou pas. Je sais que tu me mens Poppy.

J'arquais un sourcil, et déglutis difficilement.

— Je ne vois pas de quoi tu parles Teller.

Un demi-sourire étira ses lèvres pleines, lui donnant un air encore plus sexy. Je ne pensais pas que c'était possible.

— Encore un mensonge.

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Extrait ajouté par MaevaCerise 2018-08-21T17:53:56+02:00

D’après Ryan, j’étais asociale, un ours des cavernes qui aimait rester chez lui et hiberner dès que l’occasion se présentait. Il n’avait pas tout à fait tort, mais je n’étais pas asociale, j’étais une nana surbookée, c’est pour cette raison que j’aimais me reposer dès que j’avais un jour de congé. Déjà que j’en avais peu ! Était-ce si mal ? Non. Pas de mon point de vue en tout cas. Certes, je n’aimais pas sortir et j’évitais le plus possible les rencontres inutiles, mais ça ne faisait pas de moi une personne asociale, ça faisait plutôt de moi une fille méfiante. Et ça m’était utile, autant dans mon travail que dans ma vie personnelle. Ainsi, j’évitais les problèmes et les conflits. Je me battais tellement souvent, que quand je pouvais y échapper, je sautais sur l’occasion. Mon comportement n’était donc pas antisocial, il était préventif. C’était différent, non ?

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Extrait ajouté par Beeboo 2019-04-17T09:46:21+02:00

Il serra les dents, un muscle tressauta sur sa mâchoire carrée, il attrapa sa tasse de café sur la table basse. Celle-ci était à l’effigie des Baratheon{4}, « Nôtre est la fureur » était inscrit à l’arrière du mug, je bloquai sur la devise de la célèbre famille une seconde, avant de reporter mon attention sur le loup. Il prit une profonde inspiration et avala une gorgée de café fumant.

— C’était un solitaire, pas de famille, pas d’attache. Il traînait comme un fantôme dans les rues de Rogers, c’est ton grand-père qui en a informé Nick, et c’est pour ça qu’il s’est rendu au bar le soir de ta rencontre avec lui.

Je fronçai les sourcils, il ne m’en avait pas parlé. Il fallait dire que je ne l’avais pas fait non plus. Je n’avais posé aucune question au sujet de la visite de Nick ce soir-là au bar, j’avais préféré ne pas montrer mon intérêt pour lui, je ne voulais pas que mon grand-père sache que l’arrivée de ce bel Écossais m’avait rendue toute chose.

— Nick a décidé de le recueillir, les loups solitaires ne sont pas en sécurité, c’est mal vu, tu sais.

Je hochai la tête, son Alpha m’en avait déjà parlé.

— Il était réticent au début. Faire confiance à un Alpha et à une meute en général, c’est compliqué, surtout pour un lycan qui n’a pas d’attache et qui est aussi jeune que l’était Steven. Mais bon, Nick est extrêmement dominant, on ne peut que se trouver attiré par sa force incroyablement attractive.

Oui, je peux très facilement le comprendre…

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Extrait ajouté par Beeboo 2019-04-17T09:44:46+02:00

Le roux me coula un regard en coin, esquissant une moue grognonne. Il n’aimait visiblement pas les remerciements.

— Pourquoi Hector et toi êtes vous en conflit ? lui demandai-je pour changer de sujet.

Nick inspira profondément en se concentrant de nouveau sur le chemin qu’il suivait.

— Disons que nos méthodes sont différentes. Hector est un enfoiré antipathique qui prend son pied en faisant le mal autour de lui. Nous avons eu plusieurs altercations au cours des dernières années, nous ne nous sommes jamais appréciés.

— Au point de s’attaquer à un membre de ta meute ? insinuai-je en pensant à Steven.

Il secoua la tête.

— Je te l’ai déjà dit, je ne pense pas qu’il ait quelque chose à voir avec la mort de Steven. Il n’aurait pas été assez stupide pour s’en prendre à l’un de mes loups, au risque que je le retrouve et lui fasse la peau.

— Oui, mais imaginons une seconde que ce soit possible, insistai-je. Cela pourrait expliquer qu’il veuille s’en prendre à moi. Il sait que je travaille pour toi, enfin, que je t’aide à retrouver le responsable de la mort de ton loup. Ne voulant pas être démasqué, il pourrait chercher à me stopper dans mes recherches.

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Extrait ajouté par fadabook 2018-11-07T08:09:11+01:00

" -Si cela avait été la cas, j'aurais brisé les os de l'homme qui aurait osé te toucher, et je l'aurais réduit en miettes. Parceque que tu es mienne, et que je suis égoïste. Je n'aurais pas supporté de te voir heureuse dans les bras d'un autre. Par chance, tu es là aujourd'hui, et je n'ai pas l'intention de faire traîner les choses plus longtemps. Tu deviendras ma compagne Poppy, c'est qu'une question de temps "

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