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Extrait ajouté par Morgane6603 2018-10-09T20:43:11+02:00

-- La plupart des misogynes qui pensent ainsi ont ou ont eu de gros problèmes affectifs dans leur enfance, notamment à cause de leur mère. Serait-ce ton cas ? raillai-je en penchant la tête sur le côté pour mieux l'observer.

L'intéressé gronda méchamment en faisant un pas en avant alors que l'inconnu aux cheveux courts pouffa de rire.

-- Salope, grogna-t-il.

-- Je crois que tu manques sévèrement d'affection, observai-je, moqueuse, ce qui ne fit qu'accentuer sa colère.

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Extrait ajouté par MaevaCerise 2018-10-04T11:03:48+02:00

"— Si cela avait été le cas, j’aurais brisé les os de l’homme qui aurait osé te toucher, et je l’aurais réduit en miettes. Parce que tu es mienne, et que je suis égoïste. Je n’aurais pas supporté de te voir heureuse dans les bras d’un autre. Par chance, tu es là aujourd’hui, et je n’ai pas l’intention de faire traîner les choses plus longtemps. Tu deviendras ma compagne Poppy, ce n’est qu’une question de temps."

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J’avais souvent envie de mourir. Comme tout le monde, en somme. Ça m’arrivait très souvent ; quand un idiot piquait ma place de parking, quand je plongeais dans mon bain et que le téléphone se mettait à sonner, quand une mamie prenait tout son temps à la caisse du supermarché, ou, comme c’était le cas aujourd’hui, quand j’avais eu une longue journée de travail et que mon portable me réveillait au beau milieu de la nuit. Ouais, j’avais très souvent envie de mourir, surtout pour ne plus avoir à entendre la stupide sonnerie de mon idiot de smartphone. Quelle idée j’avais eue de mettre du metal pour mes appels ?

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— Je t’achèterai l’immeuble si tu me le demandes, je t’offrirai la lune si tu la désires.

Face à cette affirmation qui aurait pu paraître bateau, je souris, son air bourru me fit rire. Les hommes qui promettaient la lune aux femmes n’étaient jamais honnêtes, mais Nick le disait avec tellement de naturel, que ça ne pouvait que l’être.

— Je ne te demanderais jamais la lune, en revanche, j’aime les cochons.

— Les cochons ? répéta-t-il, perdu.

— Ouais, j’adore les cochons, je trouve ça terriblement mignon. Si jamais on se dispute et que je suis en colère, offre-moi un cochon et je te pardonnerai. Je haussai les épaules, il grommela en réfléchissant à cette information.

— Evans, je crois que t’es vraiment un cas.

J’arquai un sourcil.

— Je t’avais dit que je n’étais pas comme toutes les filles, tu aurais dû me prendre au sérieux.

— Je te croyais, mais des cochons ?

— Eh bien quoi ? Les animaux mignons ne se résument pas aux chatons et aux chiots, t’as déjà vu un cochon ?

— Oui.

— Eh ben voilà, un cochon c’est mignon. J’aime les cochons, si tu veux me rendre heureuse, tu sais quoi faire.

— Je tâcherai de m’en rappeler.

Spoiler(cliquez pour révéler)(Durant toute la série, il n'a malheureusement jamais utilisé cette "méthode porcine" pour se faire pardonner)

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— Le ménage peut attendre, je crois, me coupa le lycanthrope. Un instant, je réfléchis à sa proposition, mon regard étudia plus en détail les dégâts dans mon appartement. Celui-ci était en piteux état, Bob l’avait fouillé, notre bagarre avait renversé des objets, mes cadres photo étaient en miettes, je n’osais même pas imaginer l’état de ma chambre. La maison de Nick était grande, il devait probablement y avoir plusieurs chambres confortables et bien rangées. Qu’est-ce que je risquais ?

— OK, répondis-je finalement, mais je veux assister à l’interrogatoire.

Le highlander croisa ses bras massifs sur son large torse et releva le menton. Il s’apprêtait à refuser.

— Hors de question, les femmes n’assistent pas aux interrogatoires.

Je pouffai puis secouai la tête de gauche à droite, navrée.

— Bien, ça, c’est le comportement typique du parfait macho, mais si tu veux que je vienne dormir dans ton antre de loups-garous, tu n’as pas le choix.

— C’est du chantage ça, grommela-t-il.

Je haussai les épaules.

— Ouaip, c’est la dure loi de la vie, Teller. On appelle ça la chaîne alimentaire.

— Oh, je vois, toi Poppy Dean Evans, un mètre dix les bras levés, tu es au sommet de la chaîne alimentaire c’est ça ?

— Un mètre soixante-cinq, on n’a pas tous la chance de faire un mètre quatre-vingt-dix monsieur, et pour ta gouverne, t’as tout compris. Il grogna, et poussa un profond soupir las.

— Très bien, j’accepte ton petit chantage, mais tu ne feras qu’observer, rien de plus.

— OK, ça me va, capitulai-je en levant les mains en l’air pour souligner mon abdication. Satisfaits, nous nous tournâmes vers le loup sauvage et observâmes un moment la masse sombre qu’il représentait. Je n’avais aucune idée de la façon dont Nick allait s’y prendre pour le faire sortir d’ici, ce n’était pas gagné.

— Comment on l’emmène à l’extérieur ?

Nick fit claquer sa langue sur son palais, agacé.

Il réfléchissait, gardant les yeux rivés sur l’animal. Celui-ci ne semblait pas décidé à bouger, soufflant comme un bœuf, recroquevillé sur lui-même.

— J’ai une idée, lança soudainement l’Alpha en se penchant vers moi.

Je plissai les paupières, méfiante, et arquai un sourcil interrogatif.

— Je t’écoute.

— Ça ne va pas te plaire.

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Extrait ajouté par WODP 2019-04-01T21:46:53+02:00

— Tu aurais dû me téléphoner, j'avais des choses importantes à te dire en plus.

— J'aurais dû le faire, mais c'était trop dur.

Je fronçai les sourcils, et bougeai légèrement sous son corps massif.

— Dur ?

— Te téléphoner n'aurait pas été suffisant, entendre ta voix m'aurait rendu fou.

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Extrait ajouté par WODP 2019-03-31T23:13:08+02:00

— Ton deuxième prénom c'est Dean ? C'est pas un prénom de garçon ça ? demanda t-il en changeant de sujet.

— Mes parents voulaient avoir un garçon, répondis-je, comment tu le sais ?

— J'ai eu tout le loisir de regarder ta carte d'identité pendant que tu dormais.

Mon froncement de sourcil s'accentua.

— Il me semble que fouiller dans les affaires des autres est illégal, il te faut un mandat pour ça.

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Extrait ajouté par WODP 2019-03-31T22:59:37+02:00

— Tu prends toujours tout à la légère de cette manière ? demanda t-il.

Je souris.

— Je suis plutôt optimiste comme fille.

Il m'observa attentivement, pensif.

— J'aime ce côté insouciant chez toi, j'ai toujours trouvé ça très attirant.

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Je n’avais jamais aimé la chaleur, surprenant quand on habitait dans le sud des États-Unis. Je n’étais pas contre un peu de soleil de temps en temps, mais ma peau, elle, n’était pas du même avis. Blanche comme un cachet d’aspirine, mon épiderme cramait lamentablement au contact de l’étoile principale de notre système solaire. J’enviais les filles dont la peau bronzait facilement, parce que moi, ce n’était pas mon cas. Dès qu’il faisait un peu plus de 25 °C, je ressemblais à un morceau de rosette.

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