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-Je suis désolée, Nathaniel. Désolée d'être si chiante parfois.

Il me pressa la main et, quand je lui jetai un coup d'oeil, je vis qu'il me souriait. Ce simple sourire valait beaucoup plus pour moi que tous les contacts non sexuels du monde.

-C'est bon, dit-il.

-Je note que tu ne contredis pas le fait que je sois chiante.

Il éclata de rire.

-Tu déteste que je mente.

Je le dévisageai un instant, bouche bée, puis reportai mon attention sur les autres voitures.

-Je n'arrive pas a croire que tu aies dit ça.

Il riait si fort que nos mains tressautaient sur sa cuisse.

-Moi non plus, avoua t-il.

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(Micah:)Il laissa retomber ses mains, et un petit frémissement de colère passa dans ses yeux.

- Je n'aime pas te voir blessée.

- Moi non plus, je n'aime pas me voir blessée.

Cela le fit presque sourire.

- Tu essaies de plaisanter. Je suppose que c'est bon signe.

- J'essaie seulement? Je trouvais que c'était drôle.

-Non, ça ne l'était pas, répliqua Nathaniel. (Il me pressa le bras au passage.) Je vais mettre le café en route.

- Tu ne nous attends pas? Demandai-je.

Il se retourna, sur le seuil de la cuisine.

- Je sais que tu finiras par entrer, dit-il avec un grand sourire, parce que tu ne pourrais plus te regarder dans la glace autrement. Mais le temps que tu te convainques de le faire, le café sera déjà prêt.

Je fronçai les sourcils et sentis une étincelle de colère poindre en moi. Damian me prit la main. Je le laissai faire.

- Ne me crie pas dessus. je vais moudre du café en grain rien que pour toi, et utiliser la cafetière à piston française que Jean-Claude t'a offerte.

Je me rembrunis davantage.

- Je sais que tu détestes l'avouer, mais tu adores cette cafetière.

-Elle ne fait pas suffisamment de café à la fois, répliquai-je.

Et même venant de moi, l'argument me sembla mesquin.

- Très bien, je dirai à Jean-Claude que tu préfèrerais un piston plus gros, déclara Nathaniel le plus sérieusement du monde. (Et je sus qu'il allait ajouter quelque chose grâce à l'ombre d'un sourire et d'une minuscule lueur dans les yeux.) Un pistion king size.

Et il entra dans la cuisine avant que je puisse refermer la bouche et décider si je devais l'engueuler ou éclater de rire.

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Il arrive un moment où vous aimez quelqu'un, un point c'est tout. Pas parce qu'il est gentil, méchant ou quoi que ce soit d'autre. Vous l'aimez, point. Ça ne signifie pas que vous passerez le reste de votre vie avec lui. Ça ne signifie pas que vous ne vous ferez jamais mal mutuellement. Ça signifie juste que vous l'aimez. Parfois malgré ce qu'il est, et parfois à cause de ce qu'il est. Et vous savez qu'il vous aime en retour, parfois à cause de ce que vous êtes, et parfois malgré ce que vous êtes.

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Je suis l'Exécutrice. Assassinez quelqu'un dans ma ville, et c'est moi qu'on vous enverra. Une seule fois.

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Chapitre 45 (Anita et Jean-Claude)

— Non. Je devais savoir si tu m’aimais plus que ton sens de la justice.

Je déglutis péniblement. Je ne pleurerais pas, bordel, il était hors de question que je pleure.

— « Je ne pourrais, chère, t’aimer autant si je n’aimais bien plus l’honneur. »

Jean-Claude me prit les mains, et je faillis me dégager, mais je me forçai à rester immobile et à le laisser me toucher. J’étais tellement furieuse, tellement fâchée contre lui, tellement…

— « Ne me traite point, mon cœur, d’inhumain, quand de ce couvent que me sont ton chaste sein et ton esprit serein…»

Je levai les yeux vers lui et récitai le vers suivant :

— « Je fuis pour la guerre et les armes. »

— « Oui, je vais poursuivre une autre maîtresse », enchaîna-t-il.

— « Le premier ennemi à battre, dis-je en le laissant m’attirer contre lui.

» Et j’aurai plus d’ardeur à embrasser…

» Épée, cheval et bouclier. »

Et je chuchotai le dernier mot en continuant, la tête levée, à scruter ses yeux et son visage.

— « Mais cette infidélité est d’un genre que tu vas adorer aussi », souffla-t-il dans mes cheveux.

J’achevai le poème la joue pressée contre sa poitrine, écoutant son cœur battre grâce à mon sang qui circulait dans ses veines :

— « Je ne pourrais, chère, t’aimer autant si je n’aimais bien plus l’honneur. »

— À Lucasta, sur le chemin de la guerre, murmura Jean-Claude en me serrant très fort.

Lentement, je passai mes bras autour de lui.

— Richard Lovelace. J’ai toujours aimé ce qu’il écrivait, quand j’étais à la fac. (Mes bras se refermèrent autour de sa taille et nous restâmes immobiles l’un contre l’autre.) Je ne crois pas que je me serais souvenue de tout le poème si vous ne m’aviez pas aidée.

— Ensemble, nous sommes davantage que séparément, Anita. C’est le principe de l’amour.

Alors, mes larmes commencèrent à couler, rapides, brûlantes et suffocantes.

— Pas Anita.

Je n’eus pas besoin de voir son visage pour savoir qu’il souriait : je l’entendis dans sa voix.

— Ma petite, ma petite, ma petite.

Il arrive un moment où vous aimez quelqu’un, un point c’est tout. Pas parce qu’il est gentil, méchant ou quoi que ce soit d’autre. Vous l’aimez, point. Ça ne signifie pas que vous passerez le reste de votre vie avec lui. Ça ne signifie pas que vous ne vous ferez jamais mal mutuellement. Ça signifie juste que vous l’aimez. Parfois malgré ce qu’il est, et parfois à cause de ce qu’il est. Et vous savez qu’il vous aime en retour, parfois à cause de ce que vous êtes, et parfois malgré ce que vous êtes.

(L'un de mes passages préférés dans ce tome *.*)

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Jusque-là, je croyais avoir tourné la page. Idiote. Je n'avais pas tourné la page, j'avais juste planqué le bouquin.

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Anita: Nos marathons vidéos du week-end me manquent. Nos sorties au restaurant et nos balades en forêt me manquent. Tu me manques, toi tout entier, et pas juste ton corps. Et toi, Richard? C'est moi tout entière qui te manque ou juste mon corps?

Richard: Tu me manques, toi tout entière, pas juste pour le sexe. Ton odeur sur mon oreiller et sur ma peau me manquent.

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-Je me demande à quel moment tu vas tout gâcher.

Micah s'écarta suffisamment pour me dévisager. Il ne chercha pas à dissimuler sa perplexité.

-Qu'est-ce que j'ai fait?

Je secouai la tête.

-C'est bien le problème : tu n'as rien fait du tout. En tout cas, rien de mal.

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''Sois heureuse, et cesse de te poser des questions. Facile à dire, si difficile à faire.

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chapitre 45 :

- Vous ne deviendriez jamais comme Belle-Morte.Vous ne serez jamais aussi maléfique dit(Anita)

-Comment peux-tu en être certaine ?dit Jean-Claude

-Je vous tuerai avant d'en arriver là .

-tu me tuerais pour me sauver de moi-même ...

-Non je vous tuerais pour sauver tous les gens que vous détruiriez .

-Même si tu devais mourir avec moi ?

- oui

-même si nous devions entraîner notre Richard dans la tombe ?

-oui

-Même si ça coûtait sa vie à Damien ?

-oui

-Même si Nathaniel périssait avec nous?

-oui a une condition

-Laquelle ?

-Que je sois certaine de ne pas en réchapper

Jean-Claude me dévisagea longuement.Son regard sembla me soupeser jusqu’à l'âme, et je pris conscience que , d'une certaine façon, c'était exactement ce qu.il avait fait des années plus tôt.

-Un jour vous m'avez dit que j'était votre conscience, mais ce n,est pas tout n'est-ce pas?

-que veux-tu dire ma petite ?

-Je suis votre garde-fou. Votre juge, votre jury et votre exécutrice si les choses tournent mal.

-Pas les choses, ma petite: moi. Si je tourne mal.

-espèce de salaud !...

-Tu m'as dit que ton amour pour moi ne t’empêcherais pas de faire ton devoir.

-Non , ça ne m,en empêchera pas . Si vous tournez mal je ferai le nécessaire...

-Dernièrement ,j'ai commencé à craindre que tu sois folle de moi au point de me pardonner les crimes que je pourrais commettre un jour .

-Non , pas de danger

- il fallait que je sache ma petite ...Je devais savoir si tu m'aimais plus que ton sens de la justice .

-«Je ne pourrais , chère , t'aimer autant si je n'aimais bien plus l'honneur » Richard Lovelace dit anita

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