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Extrait ajouté par Melissa18 2015-12-18T09:32:53+01:00

Un homme peut survivre quarante jours sans nourriture, trois jours sans eau, huit minutes sans air, mais ne peut tenir qu'une seconde sans espoir...

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Extrait ajouté par x-Key 2013-05-26T16:34:44+02:00

Certains moments définissent une vie entière. Des moments au cours desquels tout ce que l’on est, tout ce que l’on pourrait devenir, repose sur une seule décision. La vie et la mort, l’espoir et le désespoir, la victoire et la défaite, vacillent dans un équilibre précaire dépendant de ce choix. Ces moments ne découlent pas du hasard ; la chance ne vient pas fausser la donne. Au cours de ces quelques secondes, une personne gagne le droit de vivre ou non.

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Extrait ajouté par x-Key 2013-05-26T16:34:30+02:00

Souvent, ce sont les gens les plus improbables qui ont trouvé en eux l’étincelle pour accomplir quelque chose de grand.

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Extrait ajouté par TulipeNoire 2013-01-20T14:20:56+01:00

- "BENNY" !

Il fit volte-face et vit Nix courir sur le toit des voitures de la file d'à côté. Ses vêtements étaient déchirés et elle avait du sang sur le visage.

Benny sauta pour la rejoindre au moment où elle le rattrapait.

L'espace d'un instant, tout s'arrêta.

Il la prit dans ses bras. Ils s'étreignirent si fort qu'ils en eurent le souffle coupé.

Benny se retourna vers l'endroit où était tombé son frère.

Au moins cinquante zombies s'agglutinaient là-bas, et il sentit son coeur se briser.

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Extrait ajouté par melaivy 2019-02-04T18:25:23+01:00

Souviens-toi toujours que, si on entend quelque chose, ça signifie sans doute que ce quelque chose nous entend aussi. Et que, si on n’entend rien, ça ne veut pas dire pour autant que rien ne nous entend ; auquel cas on risque de le découvrir trop tard.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2015-07-09T20:19:23+02:00

Tom et Benny partirent à l’aube en direction de la porte sud-est. Comme toujours, le gardien fit signer à Tom la déclaration de renonciation qui dégageait la ville et l’équipe de gardiennage de toute responsabilité au cas où il leur arriverait quelque chose de fâcheux une fois dans la Putréfaction. Un marchand vendit à Tom une douzaine de bouteilles de cadavérine dont ils aspergèrent leurs vêtements, et un bocal de gelée mentholée avec laquelle ils se badigeonnèrent la lèvre supérieure pour endormir leur odorat. — Ça va arrêter les zombs, ce truc ? — Rien ne les arrête, dit Tom. Mais ça les ralentit. La plupart d’entre eux hésitent avant de mordre. Ça en repousse même certains. Ça te procure un avantage en te donnant un peu de temps, mais n’imagine pas que tu vas pouvoir te promener sans risques au milieu d’une foule de morts-vivants. — C’est encourageant, marmonna Benny.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2015-07-09T20:19:12+02:00

Faut pas m’en vouloir d’écouter Charlie ; après tout, c’est le seul à penser qu’on a le droit de savoir. Tom le dévisagea longuement. Différentes émotions passèrent sur son visage, vague après vague. Enfin, il jeta ce qui lui restait de café dans les buissons qui bordaient le porche et se leva. — Je vais te dire, Benny… Demain, on va commencer tôt et aller dans la Putréfaction. On s’y enfoncera comme le fait Charlie. Je veux que tu voies de tes yeux ce qu’il fait et ce que je fais, et, après, tu pourras te faire ta propre opinion. — Ma propre opinion sur quoi ? — Sur un tas de choses, gamin. Sur ces mots, Tom rentra se coucher.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2015-07-09T20:18:59+02:00

Ce soir-là, Tom et Benny s’assirent sur les marches du perron et regardèrent le soleil se coucher derrière les montagnes. Benny déprimait. Il contemplait l’astre comme s’il s’était agi d’une fenêtre sur l’avenir et qu’il ne voyait au travers qu’une promiscuité forcée entre Tom et lui, et tous les problèmes qu’elle engendrerait. De plus, il ne comprenait pas son frère. Il s’était enfui au lieu de protéger leur mère et, pourtant, il gagnait sa vie en tuant des zombs. Tom n’abordait jamais le sujet à la maison. Il ne se vantait jamais d’être le meilleur, ne traînait pas avec les autres chasseurs de primes, ne faisait jamais quoi que ce soit pour montrer à quel point il était un dur à cuire.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2015-07-09T20:18:51+02:00

Il ne restait que dix jours avant le mois de septembre, et Benny n’avait toujours pas trouvé de travail. Il n’était pas assez bon tireur pour monter la garde à la Barricade, ni assez vieux pour rejoindre la surveillance de la ville, ni assez patient pour devenir fermier. Enfin, il n’était pas assez fort pour un emploi de cogneur ou de dépeceur. De toute façon, l’idée de broyer le crâne des zombies à coups de masse ou de les couper en morceaux avant de les mettre dans les chariots de la carrière ne l’enthousiasmait pas vraiment, en dépit de la forte haine qu’il éprouvait pour ces monstres. D’accord, il s’agissait de les tuer, mais ç’avait l’air d’être du travail ; d’ailleurs, les annonces qualifiaient ces emplois d’exigeants sur le plan physique, ce qui était loin d’intéresser Benny. Était-ce censé attirer les chercheurs d’emploi ? Donc, après une semaine de débats intérieurs au cours de laquelle Chong lui fit inlassablement la morale, lui conseillant de se détacher des idées préconçues et de s’autoriser à faire partie du processus cocréatif de l’univers (ou quelque chose de ce genre), Benny alla demander à Tom de le prendre comme apprenti.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2015-07-09T20:18:39+02:00

Sa mère et elle vivaient seules dans une maison minuscule près du mur ouest, dans le quartier le plus pauvre de la ville. Jusqu’à l’hiver dernier, Nix avait toujours été une enfant maigrichonne et dégingandée. Pour eux, c’était plus « un copain » qu’une fille. Comme Chong, Nix était un rat de bibliothèque ; elle avait toujours plusieurs livres dans sa besace. Mais, contrairement à lui, elle avait l’ambition d’écrire. Elle passait son temps à griffonner des poèmes et des nouvelles dans son journal. Ç’avait toujours été elle, la véritable geek de la bande… Mais, au cours des dix derniers mois, elle avait changé. À présent, elle n’avait plus rien d’une tige, et Benny trouvait bizarre d’être en sa compagnie. Notamment quand il faisait très chaud et qu’elle portait un tee-shirt moulant et un short. Il avait sans cesse envie de la regarder – surtout au niveau du tee-shirt – mais cela le mettait vraiment mal à l’aise. Nix avait toujours été comme Morgie et Chong. Désormais, c’était une fille, et il n’y avait plus moyen de fermer les yeux là-dessus.

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