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Les choses ont parfois été difficile, mais pas autant qu'aujourd'hui. De voir tout ce pourquoi j'ai œuvré perverti, abandonné, oublié. Vous diriez que je suis en train de résumé l'histoire de l'humanité, Père. Est-ce que vous souriez désormais, en espérant que je prononce les mots que vous rêviez d'entendre ? Que je vous dise que vous aviez raison sur toute la ligne ? Je ne le ferai pas. Même maintenant, face à la cruelle vérité que vous m'aviez décrite, je refuse. Parce que je crois encore que les choses peuvent changer.
Afficher en entierMère,père je suis désolé. Je vous dessus tous les deux. Mère,j' ai promis de protéger notre peuple. Je pensais que si je je pouvais arrêter les templier,si je pouvais les empêcher d'influencer la révolution, alors ceux que je soutenais agiraient de manière juste. Ils l'ont fait je suppose...ce qui était juste pour eux. Et vous,père , j ai cru que je pourrais nous unifier, que l on pourrait oublier le passé et forger un avenir radieux. Je pensais qu avec le temps, vous pourriez voir le monde de la même manière que moi. Mais c’était qu un rêve. Ça aussi j aurais dû le savoir. N'étions nous pas faits pour vivre en paix,alors,Est-ce donc la réponse ? Sommes nous faits pour nous disputer ? Pour nous battre ? Il y a tant de voix différentes. Et chacune réclame quelque chose de différent des autres.
Afficher en entierMais mon ennemi est une notion. pas une nation. C'est mal de forcer les gens à obéir - que se soit à la couronne anglaise ou à la croix des Templiers. J'espère que les loyalistes s'en rendront compte un jour, car se sont aussi des victimes.
Afficher en entierEn effet Reginald, en effet. Tes actes vont à l'encontre de tout ce en quoi je crois. Sais-tu pourquoi ? Tu n'as pas agi en respectant nos idéaux, mais avec sournoiserie. Comment inspirer la foi quand nos cœurs ne sont emplis que de mensonge.
Afficher en entierCroyer vous que j'ai oublier vos actes ? Tous ses innocents massacrés sans une arrières penser. Et pour quoi ? Régler ses problèmes par la violences ne mène pas à la paix.
Afficher en entierConnor: " Les choses ont parfois été difficiles, mais pas autant qu'aujourd'hui. De voir tout ce pourquoi j'ai œuvré perverti, abandonné, oublié. Vous diriez que je suis en train de résumer l'histoire de l'humanité, Père. Est-ce que vous souriez, désormais, en espérant que je prononce les mots que rêviez d'entendre ? Que je vous dise que vous aviez raison sur toute la ligne ? Je ne le ferai pas. Même maintenant, face à la cruelle vérité que vous m'aviez décrite, je refuse. Parce que je crois encore que les choses peuvent changer. "
Afficher en entierJe dévalai les marches et ramassai une épée sur l'un des cadavres. Je la tendis à Lucio, lui offrant la poignée.
-Prend-la, Lucio, dis-je. Tu en auras besoin pour protéger ta mère lors de votre voyage de retour.
Il s'empara de l'épée, me regarda et je crus déceler un adoucissement dans ses yeux.
Puis il m'enfonça la lame dans le ventre.
Afficher en entierM'approchant de lui, j'engageai ma lame d'un geste discret. Ses épaules se soulevaient alors qu'il cherchait sa respiration.
-Pourquoi, Haytham ? demanda-t-il.
-Votre mort ouvre une porte. Rien de personnel, dis-je.
La lame pénétra ses chairs, le sang bouillonnant autour de l'acier. Ses muscles se tendaient et vibraient sous le coup de la douleur.
-Peut-être est-ce un peu personnel, après tout.
Afficher en entierNous œuvrons dans les ténèbres pour servir la lumière.
Afficher en entierPlus que toute autre chose, c'était la maladie qu'elles craignaient ; probablement parce que la maladie n'entend rien à la raison et aux choses des hommes : nul ne peut la soudoyer, nul ne peut prendre contre elle les armes, et elle ne respecte ni la richesse, ni le rang de celui qu'elle afflige. Elle est, de loin, la plus implacable des ennemies.
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