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Extrait ajouté par Philo18 2019-06-17T21:27:53+02:00

Malgré la tyrannie, le mariage s'annonçait grandiose.

Quelque chose me chagrinait malgré cela. Mon futur mari souffrait souvent de migraines. J'étais inquiète pour sa santé. Aussi, côté bagatelle, je ne peux pas dire que je m'éclatais. Mais comme je n'avais pas une grande expérience - j'ai attendu la fac pour mon premier flirt - je pensais que c'était normal. Son travail l'épuisait, il était souvent fatigué, rentrait tard, agenda trop chargé. A tel point que je me suis demandé si pour faire un enfant il ne valait pas mieux que je prenne rendez-vous dès maintenant avec sa secrétaire. Le fait est que nous faisions rarement l'amour. J'ai même pensé qu'il était trop raffiné pour ça. Ce qui me décevait un peu, je l'admets. Mais quand on sait que la passion du sexe s’arrête assez vite dans un couple, je me suis fait une raison en me disant que j'avais deux ans d'avance. Il faut bien se rassurer. Là aussi, j'aurai dû être alertée. Mais non, j'ai cru que j'étais seule et unique. Rien d'autre que moi n'existait pour lui. Le rêve de princesse rend idiote.

La veille du mariage, j'étais chez ma mère. Normal pour une fille. Quoi et comment faire autrement ? Nous devions récupérer la robe, les chaussures et passer chez le fleuriste. Tout ce qui se fait pour une noce.

Intelligemment, ma mère m'a dit de téléphoner au tailleur avant d'y aller pour savoir si la robe était prête. Vu le travail qu'il y avait à faire dessus, j'écoutais maman directive. Non seulement la robe était terminée, et en plus ils allaient me l'expédier directement chez moi avec mes chaussures, mon chapeau et tous les accessoires prévus. Quelle aubaine. J'étais fatiguée de courir partout. J'ai donc sauté sur l'occasion quand maman sympa m'a proposé de se rendre elle-même chez le fleuriste. La belle aubaine.

Comme ça je pouvais rentrer chez moi réceptionner la robe. Merci maman chérie. Tu ne peux pas savoir à quel point tu m'as rendu service. Je suis donc rentrée chez moi. Enfin, chez mon futur mari plus exactement.

En franchissant la porte d'entrée j'ai entendu du bruit venant de l'étage, là où se trouvait notre chambre. Je ne sais pas si vous avez de l'imagination, mais moi j'en ai beaucoup. J'ai tout de suite pensé à un cambrioleur. Hé oui... je sais ! Sans un bruit, je me suis faufilée dans le salon et j'ai attrapé mon téléphone dans mon sac pour appeler mon Guillaume. J'ai appuyé sur bogosse futur mari, si ! Si ! je ne mens pas, et là.... j'ai entendu une sonnerie derrière moi. Je me suis retourné et j'ai trouvé le téléphone de bogosse futur mari qui l'a laissé sur la cheminée. Aie !!! Lui qui ne l'oublie jamais. Cela se compliquait ! Le cambrioleur avait certainement pris mon mari en otage. J'ai vraiment beaucoup d'imagination. Je sais.

Pas le temps d'appeler la cavalerie, je suis montée à pas de loup pour sauver courageusement mon mari. L'effet de surprise jouerait en ma faveur. Pour une surprise, quelle surprise !!!!! Je n'en revenais pas ! Mon mari que je n'épouserai pas, était bien là. Dans notre chambre. Mais pas avec un cambrioleur. Ou alors très pervers. Je voyais deux corps nus se débattre sur le lit. Je n'en avais plus après le cambrioleur, mais je voulais faire la peau à cette sal... qui se tapait mon mec. Je suis donc entrée brusquement dans la chambre et là !!! Horreur et Damnation !! Le Cauchemar !! l'Abjection !! La Vérité !!! L'explication à la migraine !!!! Mon dieu !

Mon mari avait un grand truc dans la bouche, et ce n'était pas du saucisson. J'eus le temps de m'apercevoir qu'il avait une grande bouche, vu la taille de l'instrument qui en est ressorti. Un haut-le-cœur m'a pris subitement et j'ai vomi. En plein milieu de la chambre. J'aurais préférée leur vomir dessus, mais non, pas de chance. J'ai couru aux toilettes pour finir de vomir. A genoux devant la cuvette, le vomi se mêlait au maquillage qui avait coulé avec les larmes. Je devais être belle. A ce moment là, je ne m'en souciais guère. Mon mari qui met des trucs dans sa bouche plus gros que ce que moi j'ai réussi à faire, a tapé à la porte des toilettes :

« Marion !!! Marion ! »

Ferme-la ! Me suis-je dit. Je sais que c'est mon prénom espèce de suceur de... de …. et je fondais à nouveau en larmes.

Je suis restée au moins une demi-heure dans les toilettes, sans bouger, juste là, avec l'autre débile qui me suppliait d'ouvrir :

« Ouvre-moi Marion, s'il te plaît, ouvre-moi ! ». J'imaginais alors ce que lui, avait ouvert cet après-midi et …. beurk !!! Je vomissais à nouveau. J'avais cette image de mon futur mari que je vais quitter, avec un sexe énorme dans la bouche. D'ailleurs, avec le recul, je me dis que c'est dommage que l'autre soit homosexuel. Mais bon !! Ce n'est pas le sujet.

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