Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Souffrance
La pièce est pleine vide de toi
Tout le monde est là assis pantois
Chuchote à voix basse, se tutoie
Certains pleurent même sous ton toit
Souffrance… comme tu me chatoies
Les bruits se taisent de désarroi
Les cœurs tremblent de trop d’effroi
Signent la mort de l’enfant roi
Le point de départ d’un chemin de croix
Souffrance… comme tu me broies
La jeunesse n’est pas encore passée
Que tu as déjà trépassé
Malgré l’effort, le dos cassé
Malgré les hontes bues, amassées
Souffrance… comme tu le sais
L’ange de la mort est présent
Parmi nous dans cette maison
Il est si dur de garder raison
Surtout en pareille saison
Souffrance… finissons-en
L’espace se réduit, si petit
Je n’ai pas faim, manque d’appétit
Je tire mes cheveux, frisotis
Mon âme se tait pleure sans répit
Souffrance… comme t’abêtis
Derniers adieux, regard hagard
Dernier soupir pris au hasard
Derniers moments près du phare
Vécus gravés en mémoire
Souffrance… comme tu es fard
Et maintenant hymne au silence
Que l’on maquille par endurance
Bonjour tristesse, merci patience
Bonjour solitude de l’absence
Souffrance… quelle insolence
Tous droits réservés.
Afficher en entier