Tous les livres de Alain Gardinier
Comment raconter les 50 ans de l'aventure du rock (terme générique englobant la soûl, le funk, la pop, le folk, le rap, le blues...) dans un livre...
... En choississant 365 jours parmi les plus importants, les plus marquants, les plus forts, les plus drôles également, qui composent cette bande-son des temps modernes. Madonna, Bashung, U2, Serge Gainsbourg, Nirvana, Metallica, les Beatles, les Rolling Stones, Eminem, Led Zeppelin, Noir Désir, les Who, Elvis Presley, Bob Marley, James Brown, Stevie Wonder, AC/DC: ils sont tous là, en compagnie de Gil Scott-Heron, Donny Hathaway, Tim Hardin et tant d'autres artistes mésestimés qui ont aussi écrit l'histoire du rock.
Truffés d'informations et de détails inconnus, appuyés par une iconographie exceptionnelle, 365 jours de l'histoire du rock est le livre qu'attendaient tous les amateurs de musique.
Il fut l'un des meilleurs surfeurs de tous les temps, le héros de l'Amérique dorée des années soixante. Tournant le dos au surf business et à la normalité, ayant décidé une fois pour toutes de ne jamais accepter le système et ses compromissions, Miklos Da Cat Dora va s'embarquer pour une vie en marge, faite de petites arnaques et de grands voyages autour de la planète.
Rattrapé par la justice lors d'un de ses longs séjours sur la Côte basque, celui que l'on surnomme le Kerouac en short connaîtra l'enfermement, sans jamais perdre son statut de légende, sans renier sa quête de la vague parfaite et de'l été sans fin.
Aujourd'hui plus que jamais, Miklos Miki Dora fascine toute une génération qui n'a jamais connu de véritable rebelle. «Les gens le comparent souvent à James Dean ou Brando, mais c'est l'inverse. Eux-mêmes essayaient d'être Dora» (Ricky Grigg) «Dora était un pourfendeur de conventions. (...)
Encore aujourd'hui, on peut voir les graffitis Dora Rules ! fleurir sur les murs et les jetées de Malibu». (Libération)
L'ayant côtoyé durant de nombreuses années, sur la Côte basque mais également dans son fief de Malibu, Alain Gardinier livre ici sa vision, ainsi que celle de ses amis les plus proches, de Miklos Sandor Dora III, alias Miki Dora, alias Da Cat .
DPRK, quatre lettres pour le pays le plus fermé au monde : la Corée du Nord ou Democratic's People Republic of Korea . Stéphane Jeong, agent de la DGSE, y est envoyé pour exfiltrer Robert Germain, un ingénieur français retenu en otage sur le site nucléaire de Yongbyon. La mission s'avère difficile, voire impossible : comment faire sortir un Européen quand chaque habitant est un délateur ou un espion ?
À la fin de l’été 1966, René Bégué rêve d'acheter la belle planche d’un surfeur australien, Morrie Marcobello, mais ce dernier vient tout juste de la vendre avant son retour vers Sydney. Alors, avec les six cents francs qu’il a réussi à amasser, René se rabat sur l’appareil photo du même Marcobello: un Exakta Varex, made in Allemagne de l'Est, et son téléobjectif de 300 mm. Une véritable passion naît et, au fil des saisons, le jeune biarrot immortalise sur pellicule son proche environnement: le quotidien de la plage de la Côte des basques. Surfeurs étrangers et leurs combis Volkswagen décorés, jeunes locaux et leurs 2 CV améliorées, sessions de free surf et compétitions acharnées, copains lézardant sur les marches ou sur le muret, copines aux looks de pin-up et pin-up se faisant passer pour des copines. Sans oublier les virées surf à Anglet et Hendaye, les parties de ski nautique sur l’Adour, les sorties pilotage sur le circuit de Nogaro ou encore le trip à Jersey pour les championnats d’Europe de surf: tout y est. Dans ce recueil de photos inédites flotte l’effervescence des années soixante, un vent tenace d’insouciance et de liberté. On y surprend René Begué devenir un authentique photographe : parfois ses clichés tiennent de la photographie de mode (à venir) et parfois son regard sur les autres laisse une empreinte humaniste. Témoignage unique sur un âge d'or, un mode de vie, voire une esthétique, Surf Origins est le reflet fidèle d'une génération.
Mourir en pleine rue à Bidart d'une balle de cesta punta n'est pas banal. Encore moins lorsque la victime est une ancienne gloire du chistera aimé de tous. L'inspectrice Etcheverry, va vite apprendre à ses dépens qu'au-delà du folklore, le monde de la pelote basque recèle mille dangers dont les ramifications se déploient jusqu'à Miami. Quand le corps sans vie de Martin Gozategui est retrouvé sur la place du village de Bidart, personne ne soupçonne un assassinat. C'est pourtant avec une pelote de cesta punta, propulsée par un chistera en osier, que son meurtrier l'a atteint à la tempe. Qui pouvait en vouloir à l'ancienne gloire de la pelote basque, semblant aimé de tous ? Et surtout, qui est capable d'un telle adresse ? C'est du côté du Jaï Alaï de Miami que Laurence Etcheverry, inspectrice de police fraîchement arrivée à Bayonne, va pouvoir trouver un début d'explication. En attendant, le meurtrier court toujours, au cœur de ce Pays basque qu'elle apprend à découvrir et à apprécier... même quand un tueur, qu'elle va devoir suivre à la trace, y fait des siennes, au point de l'atteindre personnellement.
