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Tous les livres de Alberto Garlini

Roberto est italo-américain et enseigne la littérature italienne à l'Université de Missoula, dans le Montana. Surpris par la guerre alors qu'il faisait des recherches en vue de sa thèse de doctorat, il s'est engagé dans la résistance et a vu mourir son meilleur ami Paolo. Il est venu à Venise pour rencontrer Hemingway, qui l'a connu aussi. Maria est depuis peu l'épouse du baron Persi, qu'elle n'aime pas. Jeune et extravagante, elle s'est enfuie, ce qui fait scandale dans une ville où tout se sait. Au hasard des campi et des calli de Venise, elle rencontre Roberto, qui vole à son secours. C'est le coup de foudre. Poursuivi par la police, qui prend Roberto pour un kidnappeur, le couple, aidé par Hemingway, arpente en une journée une Venise crépusculaire, un décor de théâtre dont le scénographe n'est autre que le grand écrivain américain.

Stefano Guerra naît à la politique en 1968. Étudiant d’extrême droite, il participe aux affrontements de Valle Giulia, le campus universitaire de Rome, et c’est alors qu’il commet l’irréparable : il tue par accident un jeune homme, Mauro, qu’il voulait seulement menacer. Ce crime marque le début d’une longue dérive, du militantisme à la clandestinité, de la politique à la violence, à travers les événements les plus controversés de l’histoire italienne et dans un monde interlope où se mêlent les hommes politiques, les criminels et les agents des services secrets. Au cours de cette cavale sans issue, Stefano tombe amoureux d’Antonella, sœur de Mauro et fille d’un célèbre intellectuel communiste, qui ignore tout de son geste et de ses idées. Auprès d’elle, il cherche désespérément une rédemption qu’il trouvera à l’autre bout du monde, en Argentine. Qui est Stefano Guerra ? Un tueur psychopathe, un terroriste sans pitié ? Ou bien un Pinocchio moderne en quête de père, un exalté qui fait son éducation sentimentale, un idéaliste pris dans la lutte des noirs et des rouges, néo-fascistes contre communistes ? Dans la formidable épopée que narre Les noirs et les rouges, Alberto Garlini nous guide avec virtuosité à travers une période cruciale du passé récent, mais il nous livre également une réflexion d’une cruelle actualité sur la violence politique.

C'est l'histoire d'une rencontre. Celle de deux hommes, Pier Paolo Pasolini, poète, intellectuel et cinéaste, et Francesco Ferrari, jeune footballeur de génie, tous deux disparus trop tôt. Ils se croisent pour la première fois lors d'un match de football qui oppose les équipes de tournage de 1900, le film de Bernardo Bertolucci, et celle de Salo ou les 120 journées de Sodome. Leur dernière rencontre a lieu sur une plage d'Ostie le 2 novembre 1975, lorsque le réalisateur est assassiné. Mais Pasolini n'a-t-il pas été plutôt " suicidé " à sa propre demande ? Ce mystère est le point de départ d'une magistrale œuvre chorale qui dresse le portrait d'un pays, l'Italie, et d'une époque, les années soixante-dix, au travers des événements qui les ont secouées : le terrorisme des années de plomb, les scandales politico-financiers, l'accident d'Ustica, le tremblement de terre en Irpinia, jusqu'à la victoire italienne lors de la coupe du monde en 1982. Une véritable leçon d'histoire imagée, servie par la virtuosité et la puissance de l'écriture d'Alberto Garlini.

Dans la campagne émilienne. Roberto, neuf ans, assiste à un rituel effrayant : on tue le cochon. Ce jour-là, il se fait un nouvel ami, Riccardo, et ils croisent par hasard un jeune écrivain, Pier, qui les protège contre les drogués du coin. Pasolini a été assassiné la veille, une époque se termine, place à une ère nouvelle : les années quatre-vingt se profilent déjà à l'horizon. Pour les deux garçons, vient alors le temps de l'adolescence. C'est aussi le temps des amours : Riccardo a Chiara, l'amour de sa vie, et Roberto retrouve Pier, qui l'aime puis l'abandonne. Ils traversent ces années en pleine ivresse, fonçant à tombeau ouvert sur les routes d'Europe, des fêtes d'Ibiza à la Rome des premiers grands festivals culturels, d'Odessa à Barcelone, jusqu'à l'inévitable catastrophe. Le temps de la fête et des roses suit leur parcours à tous les quatre, Pier, Roberto, Riccardo et Chiara, que cette période violente et sombre va réunir puis séparer, sacrifiant certains et sauvant miraculeusement les autres.

Lyrique et envoûtant, Le temps de la fête et des roses est une étape supplémentaire dans le voyage qu'accomplit Alberto Garlini dans l'histoire italienne récente. Cette fois, il nous plonge dans les années quatre-vingt, dont il dresse un portrait noir et festif, subtil et violent, mais toujours sans concession.

(Source : Gallimard)

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