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Tous les livres de Alphonse Momas

PRÉFACE

Reine de Glady a été mise dans une très sévère institution londonienne, dirigée par Miss Sticker, la plus terrible et la plus austère des maîtresses de pension, pour y être corrigée de ses instincts vicieux.

Elle entre à treize ans dans cette maison d’éducation, où le fouet, les verges, le martinet, le knout, sont appliqués avec des raffinements spéciaux et avec la dernière rigueur. Cela ne l’empêche pas, au milieu des dures corrections, maintes fois servies à son gentil postérieur, de gangrener peu à peu ses compagnes, et même ses professeurs.

Ses aventures galantes se développent, elle affiche ses soifs de luxure, et elle parvient à émouvoir les sens de l’indomptable miss Sticker, une nuit où elle la surprend en faute. Une piquante révélation en résulte pour la jeune et charmante française. Miss Sticker n’est pas une femme, mais un homme, dont le sexe presque nul, longtemps indifférent, s’est éveillé soudain viril, trop tard pour faire retoucher l’état civil.

Miss Jeanne Sticker, en réalité Jean Sticker, est devenu l’amant de Reine de Glady, qu’elle a dépucelée, lorsqu’elle atteignait à peine ses quinze ans, et la jeune Française, rentrant de vacances, ne pense plus qu’à la joie de retrouver son cher et tendre ami. Les Concubines de la directrice, débutent par ce retour.

Les parties précédentes de l’ouvrage ont été vendues à un éditeur qui, effrayé des tracasseries de la police, en a retardé l’apparition.

Recueil documentaire psycho-pathologique sur les aberrations sexuelles chez la femme normale tombant à la bestialité la plus raffinée.

Régine Moutiers, jeune veuve de 28 ans, vit sagement avec ses domestiques dans sa villa des environs de Paris. Elle est violée par un satyre et se met dans les jours qui suivent à jouer sexuellement avec l'un de ses chiens...

Dans un pensionnat de jeunes filles anglais tenu par la sévère Miss Sticker, La Chute des Vierges est le théâtre de punitions et de récompenses distribuées par des maîtresses et des servantes. Si les classes suivaient leur programme, si les heures d’études demeuraient immuables, bien des licences s’octroyaient et les anciennes n’auraient plus reconnu les moeurs de la maison où elles firent leur éducation sous une discipline des plus rigides.

Alphonse Momas fut l’un des auteurs les plus prolixes de son temps. Fonctionnaire à la préfecture de la Seine au début des années 1890, il s’illustra dans la littérature érotique et prit une orientation résolument mystique vers la fin de sa vie. D’ailleurs, mythe ou réalité, il affirmait n’avoir jamais inventé la moindre scène polissonne mais les tenir toutes d’un ami prêtre qui lui aurait livré quelques secrets du confessionnal...

Un collège féminin dans lequel la fustigation est une règle. Des belles filles de dix-huit ans et plus entre lesquels le rapport lesbien est en principe. Un roman érotique et amusant.

« Reine avait quitté l’Institution Sticker, et après Reine, Lisbeth et Aline partirent à leur tour. Peu à peu les pensionnaires, présentes à l’arrivée de la jolie Française, se remplaçaient par les nouvelles venues, mais la graine de saphisme germait de plus en plus. Hilda n’était plus la favorite de Jean Sticker. Elle se fit encore prendre, en train d’être enfilée par un godemichet placé sous le ventre de Clary. Elle ne reçut pas la flagellation cette fois : toute sa division réunie, la directrice, lui ayant fait attacher jupes et chemises sur les épaules, la condamna à exécuter trois fois le tour de la salle de travail, en la poursuivant à grands coups de pieds dans le derrière. Au troisième, elle la flanqua à la porte et lui commanda de marcher dans cette tenue autour du bâtiment, pendant une demi-heure. Toute rouge de confusion, le visage en larmes, surveillée par une sous-maîtresse rigide, Hilda subit cette honte, rencontrée par les serviteurs des deux sexes, lui décochant force quolibets, et, sur la porte de sa chambre, dans le petit angle obscur et insoupçonné, s’apercevait l’étoile de luxure. Lassée de son favoritisme, finissant toujours mal, écœurée des actes obscènes qui se commettaient avec une audace sans cesse croissante, jalousée et enviée de celles qui aspirèrent à lui succéder et qui, n’ayant pas abouti, la dénigraient auprès des grandes et des moyennes ; elle revenait à des sentiments de sagesse. La nuit, elle dormait paisiblement sans plus se préoccuper des tentations charnelles : le sang posé des Anglaises reprenait le dessus dans son tempérament. Elle pensait n’avoir rien à redouter de personne, et si elle fermait sa porte à clef, elle le faisait parce qu’elle savait que, dans la nuit, des personnes étrangères à la maison circulaient à travers les bâtiments scolaires. Et voilà qu’un soir, devant sa porte, s’arrêta le duc Albert d’Ottinicher.

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