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Toutes les séries de Anne-Marie Sicotte

3 livres
153 lecteurs

1845. Montréal s'étend au rythme des arrivées d'immigrants et des nombreuses naissances.

Léonie, sage-femme, accompagnée de sa fille Flavie, met ses talents et son savoir au service de toutes les mères, riches ou pauvres, mariées ou non. Esprit moderne, elle aspire à changer les mentalités : faire évoluer le statut des femmes, permettre à chacune d'entreprendre les études qu'elle souhaite.

Un nouveau monde se lève. Mais pour que les accoucheuses y obtiennent la reconnaissance qu'elles méritent, il leur faudra lutter avec fierté contre le poids de l'Église conservatrice et l'emprise corporatiste des médecins.

Source : Edition Pocket 2014

Tous les livres de Anne-Marie Sicotte

Par le biais de Gratien Gélinas en images, Anne-Marie Sicotte veut rappeler au public que ce p'tit Montréalais, pas trop beau de sa personne, mais doté d'un amour démesuré pour les arts de la scène, fut la plus grande vedette du Canada français tout entier pendant un quart de siècle.<p>

Pour célébrer le centième anniversaire de naissance de ce « p'tit comique à la stature de géant », Mme Sicotte a rassemblé les documents visuels les plus beaux et les plus significatifs, qui témoignent éloquemment d'une vie entière consacrée aux arts de la scène. Photographies et croquis d'artistes, extraits de sa correspondance et de son journal de création forment le portrait saisissant de celui qui fut le Roi des Amuseurs, mais aussi un homme au cour fragile. <p>Il mérite toute notre attention, non seulement à cause des ouvres qu'il nous a léguées, mais aussi parce que de Saint-Tite à Broadway, son existence fut une fabuleuse odyssée !

Figure majeure des arts de la scène au Québec, Gratien Gélinas a été un créateur fervent. Année après année, il s'est évertué à produire des spectacles aussi bien comiques que dramatiques. À une époque où l'expression « théâtre québécois » ne suscitait qu'incrédulité et railleries, il a posé les bases d'une dramaturgie nationale. Ses œuvres sont, depuis, régulièrement reprises par des troupes et étudiées dans les collèges et universités.Dans cette biographie de son grand-père, Anne-Marie Sicotte s'appuie sur une documentation abondante mais aussi sur ses souvenirs personnels pour débusquer l'homme, tantôt adorable, tantôt détestable, qui se cache derrière ses personnages. <p>Elle révèle ainsi au lecteur un être complexe, marqué à jamais par une enfance difficile qui est à la source autant de son engagement d'artiste que des doutes qui ont souvent freiné son élan créateur.

Dissimulées sous leurs Lourdes robes, les «bonnes soeurs» étaient partout, à la ville comme à la campagne, jusque dans les paroisses les plus reculées du Québec. Nombreuses, elles se dévouaient dans les écoles, les hôpitaux et les sacristies, auprès des pauvres, des malades, des vieillards, des enfants abandonnés... Mais leur vie quotidienne est longtemps restée auréolée de mystère. Qu'est-ce qui avait bien pu motiver ce choix de vie? À quoi occupaient-elles leur temps une fois les portes du couvent bien closes sur elles?

Réunissant plus de 200 photographies, Femmes de lumière entrebâille les portes d'un univers méconnu. Il suffit de parcourir quelque pages de ce magnifique album pour se laisser entraîner dans un pèlerinage visuel surprenant et intimiste. À partager le quotidien de ces femmes courageuses qui ont contribué à façonner la société québécoise contemporaine, on découvre une réalité beaucoup plus complexe et saisissante que le discours dominant des cinquante dernières années à voulu le faire croire.

Justine Lacoste-Beaubien, grande bourgeoise du début du XXe siècle, se laissa convaincre de devenir présidente du premier hôpital francophone pour enfants. Pour elle qui n'avait pas d'enfant, c'était une façons de s'en donner.

Les débuts furent modeste : le «Refuge de enfants malades» vit le jours le 30 novembre l907 dans une petite maison en rangée au coin des rues Saint-Denis et Roy. L'hôpital- nommé Sainte-Justine- déménagea, faute d'espace, en juillet 1908 à l'angle de l'avenue De Lorimier et de la rue Rachel.

Grâce au don d'un terrain de la famille Beaubien, un hôpital tout neuf fut construit, en 1914, rue Saint-Denis près de Bellechasse. Par la suite, d'autres annexes furent ajoutées pour satisfaire aux besoin pressants de la clientèle infantile.

Finalement, le 20 octobre 1957- cinquante ans après l'ouverture de son premier hôpital-, Justine Lacoste-Beaubien réalisait son rêve : l'ouverture officielle, sur le chemin de la Côte-Sainte-Catherine, d'un imposant hôpital de 800 lits pour soulager les enfants de Montréal et du Québec. Une réussite incontestable attribuable à la ténacité et à la générosité d'une femme qui avait dû se battre toute sa vie pour défendre une cause à laquelle elle s'était totalement vouée.

Fille d’un maître-potier de Saint-Denis, Vitaline est une jeune femme qui n’a pas froid aux yeux. Captivée par les affaires publiques, elle s’identifie au groupe des «tuques bleues», ainsi que sont surnommés les patriotes aux principes démocrates. Instituteur à Montréal, son frère Gilbert est aux premières loges des malversations et des échauffourées perpétrées par une coterie d’intolérants qui tient à assurer son pouvoir même par la force brute. La tragédie du 21 mai 1832 reste impunie et la terreur militaire étend sournoisement son emprise. La Chambre d’Assemblée du Bas-Canada, soutenue par l’ensemble des habitants, proteste contre le despotisme et l’arbitraire d’une Clique du Château corrompue jusqu’à la moelle.

Mariée à un marin maladroit et peu loquace, Vitaline ne peut s’empêcher d’être attirée par d’autres hommes croisant sa route. Ce qui l’entraînera sur un chemin risqué, celui d’une ancienne passion… Sur le même terrain du cœur et des sens, Gilbert a du fil à retorde avec la plaisante Caroline, qui vend ses charmes et défend chèrement sa liberté. Le frère et la sœur sont happés par le tourbillon qui emportera la Province of Quebec dans les affres d’une guerre civile, celle des Rébellions de 1837 et 1838.

De douloureux secrets de famille sont mis au jour mais, portés par le vent de liberté qui souffle sur le Bas-Canada, Gilbert et Vitaline poursuivent l'aventure de leur existence. Tous deux plongent dans l'ivresse amoureuse tout en s'investissant dans la lutte patriote, qui s'intensifie afin de bouter hors de la Province of Quebec une oligarchie de profiteurs. Mais ces derniers refusent de perdre les privilèges à la source de leur opulence et n'hésitent pas à faire jouer les rouages d'une impitoyable mécanique de répression, ce qui, en 1832, fait couler le sang d'innocents Canadiens.

À travers le Bas-Canada tout entier, la colère gronde en cette année 1827. Les tyrans font main basse sur les richesses de la Province of Quebec. Les sorcières de l'oppression dansent une sarabande autour des enfants du sol ! Mais ces derniers se cabrent. Pas question de laisser le champ libre à une caste d'hommes corrompus, dont l'avidité n'a d'égale que l'arrogance ! Pas question de servir de repas à une coterie de « mange-canayens ». Comme partout ailleurs, l'alarme résonne dans le prospère bourg de Saint-Denis, aux abords de la rivière Chambly. La résistance s'organise sous l'impulsion des députés élus à la Chambre d'Assemblée. Eux seuls ont la capacité d'affronter le comte Dalhousie, gouverneur despote qui dirige la colonie anglaise d'Amérique, et sa troupe de brigands. Dénonciations, assemblées et pétitions mobilisent toute la contrée, au grand dam des profiteurs ! Pendant ces années de tourmente, Vitaline Dudevoir et son frère Gilbert s'acheminent vers l'âge adulte. Fille d'un maître-potier, la première développe une passion pour cet art. Le second aspire à devenir un lettré, un de ceux qui combattent avec les mots ! Chacun à leur manière, tous deux s'insurgent devant le péril qui menace leur bonheur de vivre, celui d'être condamnés à l'exil en leur propre pays. À un régime si corrompu, tous deux répliquent par un esprit frondeur et un coeur insoumis… Une plongée passionnante dans l'histoire du Canada français.

En 1833, il fait bon vivre en Bas-Canada, colonie prospère d’Amérique. Gilbert, instituteur à Montréal, et sa sœur Vitaline, qui vient de lier son sort à celui d’un marin de Saint-Denis, aspirent à une existence à la hauteur de leurs ambitions. Tout en se laissant entraîner sur le chemin périlleux d’une ancienne passion, Vitaline déploie sa sensibilité d’artiste. Quant à son frère, il s’est entiché de la plaisante Caroline, qui vend ses charmes, défend chèrement son indépendance et lui donne du fil à retordre.

Cependant, l’orage gronde. Au risque de voir s’évanouir leur joie de vivre, le frère et la sœur s’unissent à leurs concitoyens de la Province of Quebec pour lutter contre le despotisme et l’arbitraire. La tragédie de la Rue du Sang reste impunie et le pouvoir militaire étend son emprise. Avec opiniâtreté, les députés patriotes à la Chambre d’Assemblée dénoncent les injustices. Fortifiés par la noblesse de leurs principes, les « tuques bleues » les soutiennent en affichant esprit frondeur et ferveur révolutionnaire.

Une coterie de profiteurs impose son pouvoir par la force brute, jusqu’à commettre l’irréparable en 1837. Dès lors, les «tuques bleues» se métamorphosent en insurgés. Sous l’apparence d’une rébellion, une véritable guerre de reconquête fait rage…

Le règne de la canaille parachève une épopée romanesque ancrée dans le Québec au temps des Rébellions, Les tuques bleues, suite à un premier tome intitulé Le charivari de la liberté. Réputée pour sa saga Les Accoucheuses, Anne-Marie Sicotte entrelace avec brio l’intime au politique, le privé à la grande histoire et un peuple à son destin.

Été 1976, dans la province de Québec. Véronique, presque 16 ans, quitte difficilement le temps de l’innocence et s’adapte avec peine au divorce de ses parents. Son père se consacre à sa nouvelle famille, tandis que sa mère profite d’une liberté chèrement acquise : partir en chasse et collectionner les amants, c’est dans l’air du temps ! Oscillant entre douleur, solitude et fragilité, Véronique s’invente des histoires pour oublier les silences de sa mère et l’apparente indifférence de son père. Introvertie et sauvage, elle se voudrait invisible…

Afin d’émerger de son cocon et retrouver le plaisir d’être, la jeune fille devra apprivoiser son passé et s’astreindre à une salutaire exploration des amours fragiles.

Un récit à la fois concis et étoffé narre l'odyssée d'une nation patriote rendue souveraine par la création d'un Parlement en 1791, mais placée sous tutelle lors de la mise en vigueur du Canada-Uni, en 1841.

Plusieurs épisodes cruciaux, y compris les affrontements armés de Saint-Denis, de Saint-Charles et de Saint-Eustache, sont dévoilés dans leurs détails tragiques. Des illustrations d'artistes, tous contemporains de l'époque, composent l'essentiel du florilège visuel, lequel est enrichi de cartes géographiques, de manuscrits et d'autres documents d'archives.

Au terme de la traversée, justice est finalement rendue à un peuple qui a été dépouillé de sa liberté d'expression, qui a dû endurer sans mot dire la censure et les mises à l'index.

Les photographies de cet ouvrage racontent une période fascinante de notre histoire, celle de la création des villes modernes. Ce passage tumultueux entre l'ancienne société agricole et notre monde contemporain a entraîné des changements profonds dans l'existence de nos ancêtres.

Laissez-vous entraîner dans un dédale de rues, celles de plusieurs quartiers de Montréal, de Québec et de Sherbrooke, trois villes parmi les premières cités industrielles de la province. Ces quartiers ouvriers qui constituaient de véritables villages au coeur de la ville sont à la source des grandes valeurs de solidarité, de partage et d'entraide qui forment la trame de l'identité québécoise et probablement sa plus grande richesse.

Ce livre illustre à la fois les conditions de vie générales des ouvriers de l'époque et leurs lieux de travail où ils passaient une grande partie de leur existence. Les images sont évocatrices de l'atmosphère de ces années difficiles.

L'aspect rude et parfois délabré des usines et des maisons où vivait cette population laborieuse témoigne d'une époque où la lutte pour la survie occupait le devant de la scène.

Jusqu’à l’avènement de la Révolution tranquille, le Québec a été fortement marqué par la religion catholique, son cérémonial, sa morale et toute une imagerie qui l’ont longtemps maintenu sous l’influence de l’autorité ecclésiastique. De la naissance à la mort, les différentes étapes de l’existence des Québécois étaient ponctuées de nombreux rites religieux.

Cet ouvrage illustre à l’aide de nombreuses photographies les divers aspects de la vie régis par la doctrine et les coutumes d’une religion omniprésente. Ces images évoqueront, pour plusieurs, un passé heureusement révolu.

Pour d’autres, c’est la nostalgie qui prévaudra. Les plus jeunes découvriront un Québec qu’ils n’ont pas connu et qu’ils auront même de la difficulté à imaginer. Les individus, mais aussi les institutions, ont été très encadrés par la religion. C’est toute la vie d’un peuple qui en a été imprégnée. Les photos rendent avec éloquence l’atmosphère particulière qui régnait durant cette époque.

Cet aspect de notre histoire fait partie de notre âme collective, pour le meilleur et pour le pire. Plongez dans ce livre avec des yeux attendris ou avec le scalpel des mauvais souvenirs, comme il vous plaira. Faites-le sans cérémonie, au nom de l’intérêt historique, au nom de vos souvenirs d’enfance et, s’il le faut, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.

Justine Lacoste-Beaubien fut une maîtresse femme. Fondatrice du premier hôpital francophone pour enfants en 1907, elle mena une lutte couronnée par la construction de l'imposant hôpital que tous connaissent au Québec. Une œuvre colossale.

Elle a été première ministre de la solidarité féminine, et la Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste, qu’elle a fondée, fut le siège de son gouvernement.

Pendant un demi-siècle, Marie Gérin-Lajoie a déployé une infatigable ardeur à combattre les préjugés véhiculés au sujet des femmes, considérées alors par beaucoup comme des êtres influençables aux nerfs fragiles et aux facultés intellectuelles limitées. Cette biographie met en relief la destinée exceptionnelle de cette pionnière de la lutte pour le droit de vote et le droit à l’éducation pour les femmes du Canada français.

Inlassablement, elle a dénoncé la situation au moyen d’une pensée sociale originale, transformant sa foi en volonté d’action. Indignée d’être, uniquement à cause de son sexe, une citoyenne de seconde classe à qui l’on interdit non seulement un éventail de professions, mais aussi l’exercice du droit de vote, elle a mis sur pied des regroupements syndicaux pour diverses catégories de travailleuses et fondé une fédération d’associations féminines qui a transformé la parole des femmes isolées en une puissante voix collective.

Elle a ainsi ouvert la formidable brèche grâce à laquelle la génération suivante de féministes (dont sa propre fille, sœur Marie Gérin-Lajoie, et les militantes Idola Saint-Jean et Thérèse Casgrain) a pu obtenir des victoires significatives. En ce sens, elle a pavé la voie à l’explosion du mouvement féministe québécois à partir des années 1960.

Un récit à la fois concis et étoffé narre l'odyssée d'une nation patriote rendue souveraine par la création d'un Parlement en 1791, mais placée sous tutelle lors de la mise en vigueur du Canada-Uni, en 1841. Plusieurs épisodes cruciaux, y compris les affrontements armés de Saint-Denis, de Saint-Charles et de Saint-Eustache, sont dévoilés dans leurs détails tragiques.

Des illustrations d'artistes, tous contemporains de l'époque, composent l'essentiel du florilège visuel, lequel est enrichi de cartes géographiques, de manuscrits et d'autres documents d'archives.

Au terme de la traversée, justice est finalement rendue à un peuple qui a été dépouillé de sa liberté d'expression, qui a dû endurer sans mot dire la censure et les mises à l'index.

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