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Toutes les séries de Arthur Machen

34 livres
4 lecteurs

Au sommaire de ce numéro :

Le Recrutement de ARCADIUS

Colomb de la Lune de René BARJAVEL

Fond sonore de Marcel BATTIN i de Jacques BERGIER Pierre VERSINS

Monsieur, Madame et la petite bête de Hervé CALIXTE

Five o'clock sélénite de Michel CARROUGES

Le Baiser de la vie de Francis CARSAC

C'est du billard ! de Philippe CURVAL

La Vana de Alain DORÉMIEUX

L'Heure du départ de Michel EHRWEIN

La Nuit du 24 avril de Clarisse FRANCILLON

Chapitre 13 de Fernand FRANCOIS

Pêcheurs de lune de Charles HENNEBERG

Prima Donna de Michel JANSEN

L'Observateur de Gérard KLEIN

La Chose de Ilka LEGRAND Alec SANDRE

Le Piège de Jean-Claude PASSEGAND

Le Règne des Plusieurs de Kurt STEINER

Bonnes vacances ! de Jacques STERNBERG

Escale en permanence de Jean-Paul TOROK

Le Réfractaire de François VALORBE

Araignées dans le plafond de Claude VEILLOT

Soyez bons pour les animaux de Julia VERLANGER

L'Autre de Bruno VINCENT

3 livres
1 lecteurs

Welsh writer Arthur Machen (1863-1947) is one of the towering figures in the Golden Age of weird fiction, and his novels and tales have influenced generations of weird writers and remain immensely popular among readers. But much of his work has been difficult to obtain, remaining buried in obscure magazines and newspapers of a century ago or published in expensive limited editions.

This is the first edition of Machen's fiction to be based on a thorough examination of his manuscripts and early publications. It is also the first edition to arrange Machen's fiction chronologically by date of writing.

This first volume contains his charming picaresque novel The Chronicle of Clemendy (1888), an exquisite imitation of the medieval narratives of Chaucer and Boccaccio. At this time Machen was a young journalist who had moved from his native Wales to London, and he wrote a number of humorous and slightly risqué sketches for fashionable London magazines.

But then he published "The Great God Pan" (1894), one of the pioneering works in the entire range of weird fiction. It was condemned by contemporary reviewers as the work of a diseased mind. Machen followed it up with the episodic novel The Three Impostors (1895), containing the brilliant segments "The Novel of the Black Seal" (which features the Little People, a sub-human race lurking on the edges of civilization), "The Novel of the White Powder," and other vivid narratives.

The edition has been prepared by S. T. Joshi, a leading authority on weird fiction and the author of The Weird Tale (1990) and Unutterable Horror: A History of Supernatural Fiction (2012). Joshi has prepared textually corrected editions of the work of H. P. Lovecraft, Ambrose Bierce, and many other weird writers.

Tous les livres de Arthur Machen

Belle mais démoniaque ! Entourée d'un halo d'étrangeté et de mystère...

Telle est la femme qui hante les rues de Londres, mais aussi l'esprit dérangé de ceux qui l'ont rencontrée, des hommes en général fortunés. Tous ont finit leurs jours dans des circonstances ténébreuses, le visage déformé par l'épouvante et l'effroi. Par quelle fatalité cette créature superbe sème-t-elle la mort autour d'elle ? Serait-elle maudite ? Aurait-elle pactisé avec une puissance maléfique ? Il semble bien qu'elle ou sa mère, victime d'une expérience diabolique menée par un savant fou, ait aperçu ce qu'aucun œil humain ne peut contempler...

Le dieu de l'abîme, le grand Pan, dont la vue cause une peur " panique " !

Un scientifique qui joue avec la matière, l’esprit et le mal incarnés en Pan, une jeune femme aux maléfices suggérés, l’air chaud et lourd d’une après-midi d’été dans les collines galloises, les nuits mystérieuses de Londres, des hommes heureux qui se suicident sans raison apparente… Machen manie, avec une séduction vénéneuse, une narration à plusieurs voix, et conduit son lecteur au bord du gouffre sans jamais l’y plonger de force : la suggestion de l’épouvante est plus horrible que l’épouvante elle-même.

Le symboliste Paul-Jean Toulet ne s’y était pas trompé, qui fit découvrir aux lecteurs français en 1901 ce chef-d’œuvre de l’inquiétude. Le complète La Lumière intérieure, autre récit d’une alliance effroyable avec les habitants du gouffre.

Terres fantastiques a choisi de donner Le Grand Dieu Pan dans une nouvelle traduction — plus fidèle à la version originale — et La Lumière intérieure dans une traduction révisée.

En complément, deux inédits : la belle et mélancolique préface de Machen à le réédition du Grand Dieu Pan et la postface de Michel Meurger.

A vrai dire, cela s'agitait et bouillonnait à l'intérieur comme dans un chaudron infernal. Sur les parois et sur le fond, se tordaient et se pressaient des formes vagues qui s'agitaient sans cesse, allant çà et là dans un bruit de pas, se massant en certains points et semblant se parler un langage sibilant et horrible, qui faisait penser au sifflement des serpents. " Saisissante vision d'une assemblée du " Petit Peuple ", vestige d'une race préhistorique qui hante les cavernes et les collines du pays de Galles et que l'on confond, à tort selon Arthur Machen, avec les inoffensifs elfes de Shakespeare. Le mythe des fées masquerait-il une terrifiante réalité qui expliquerait les substitutions d'enfants et les disparitions mystérieuses ? Cette hypothèse a inspiré à Arthur Machen quelques-uns de ses meilleurs récits fantastiques. D'après Jorge Luis Borgès, l'un de ses plus fervents admirateurs, " Arthur Machen peut, parfois, nous proposer des fables incroyables, mais nous sentons qu'elles ont été inspirées par une émotion véritable. Il n'a presque jamais écrit pour étonner autrui : il l'a fait parce qu'il se savait habitant d'un monde étrange.

Arthur Machen fait à n’en pas douter partie des principales inspirations de Lovecraft. Je ne l’avais jusqu’à présent que très peu lu ; trois nouvelles, en fait : « Le Grand Dieu Pan », bien sûr – c’est son plus célèbre récit –, il y a longtemps, puis à nouveau dans Le Cycle de Dunwich, de même que « Le Peuple blanc », qui figure évidemment aussi dans ce recueil, et enfin « Histoire du cachet noir », un épisode des Trois Imposteurs, dans Le Cycle d’Hastur. L’expérience ayant été concluante à chaque fois, dans les grandes lignes du moins, je me suis dit que je ne pouvais en rester là, et ai cherché à me procurer d’autres œuvres du grand auteur gallois. D’où la lecture de ce Peuple blanc comprenant cinq nouvelles, généralement assez longues (avec une exception notable, « Les Archers »), témoignant des multiples facettes de l’art de Machen dans le registre fantastique.

Le propos de la collection « L'âge d'or » est de réunir un certain nombre d'oeuvres inconnues ou insuffisament connues dont les auteurs se sont efforcés, non pas de refléter les seules apparences, mais d'aller au-delà de celles-ci. S'il se trouve que plusieurs volumes de ladite collection s'intitulent « contes fantastiques », c'est que le fantastique est l'une des manifestations de cette réalité intérieure dont la quête seule, à notre sens, justifie que l'on prenne la peine de le lire. Mais le merveilleux, la féerie, l'humour ont, eux aussi, leur place dans une collection qui entend explorer les domaines les plus divers de la Poésie et de l'Imagination.

Précédant la littérature réaliste, la littérature fantastique est d'une composition ardue, le lecteur ne devant pas oublier que si les histoires narrées sont des fables, elles n'en possèdent pas moins une véracité symbolique et essentielle. Résignons-nous à admettre que la littérature est un jeu, qui procède par combinaisons de mots, pièces conventionnelles, mais sans oublier que pur ses maîtres — et Machen est l'un d'eux — cette sorte d'algèbre ou de partie d'échecs doit rentrer en correspondance avec une émotion.

Arthur Machen peut, en certaines occasions, nous proposer d'incroyables fables, mais nous sentons que c'est une émotion véritable qui les a inspirées. Presque jamais il n'écrit pour forcer l'étonnement, il écrit parce qu'il se sait l'hôte d'un monde étrange

En 1995, un groupe d'auteurs et de critiques britanniques décida de décerner un « Booker Prize » (l'équivalent du Goncourt) au meilleur roman de l'année 1895. Les Trois Imposteurs, d'Arthur Machen, figurait sur la liste. Le jury s'accorda sur un point : cent ans après sa parution, c'était toujours un livre « répugnant ». Et Les Trois Imposteurs — la Société des amis d'Arthur Machen en rit encore — repartit bredouille. Plus d'un siècle après sa publication, Les Trois Imposteurs n'a en effet rien perdu de son potentiel d'inquiétude, d'effroi et d'ironie. Hommage avoué de l'auteur gallois au Dynamiteur de l'Écossais Robert Louis Stevenson, Les Trois Imposteurs se déroule dans le Londres désert et nocturne des ruelles et des arrière-cours. Deux Londoniens oisifs, les pompeux Dyson et Phillipps, se trouvent malgré eux mêlés à de mystérieux événements, et trois inconnus malicieux — deux hommes et une jeune femme — leur racontent de très étranges histoires (assassinats, disparitions, transmutations effroyables), à seule fin de retrouver un énigmatique et criminel jeune homme à lunettes. Le dernier chapitre de ce curieux objet littéraire, mi-roman, mi-recueil de nouvelles, donnera à la comédie des couleurs cruelles et tragiques... Des Trois Imposteurs, on connaissait en France trois des récits absurdes : « La Poudre blanche », « Le Sceau noir » et la « Vierge de Fer ». Plus de cent ans après sa scandaleuse apparition dans les librairies britanniques (les critiques de l'époque le jugèrent souvent avec autant de répulsion que ceux d'aujourd'hui), le public français peut enfin découvrir dans son intégralité cette œuvre maîtresse de la littérature fantastique.

De l'autre côté d'un pont couvert, on aperçoit un petit village qui se niche entre la rivière et la pente verticale de la Montagne Ronde, et l'on s'étonne de ce ramassis de toits en croupe pourrissants, signes d'une architecture antérieure à celle des environs. Il n'est guère rassurant de s'apercevoir, en observant mieux, que la plupart de ces maisons sont abandonnées, qu'elles tombent en ruine, et que l'église au clocher brisé abrite à présent la seule boutique, sale et mal tenue, du hameau. Le ténébreux tunnel du pont n 'inspire guère confiance, c'est pourtant le seul passage. Une fois celui-ci traversé, on ne peut s'empêcher de ressentir cette puanteur, douceâtre et malveillante, qui baigne la rue du village, comme si des siècles de délabrement et de moisissure s'y étaient accumulés. C'est toujours avec soulagement que l'on quitte l'endroit, et que l'on suit la route étroite qui tourne au pied des collines puis traverse les plaines, avant de rejoindre la route à péage d'Aylesbury. Parfois, quelques temps plus tard, on apprend que l'on a traversé Dunwich.

— H.P. Lovecraft, « L'Abomination de Dunwich »

Les livres de la collection NOCTURNES représentent le summum de la littérature d'épouvante. Chaque volume présente une entité ou un concept essentiel aux yeux des écrivains héritiers de Lovecraft et contient les récits terrifiants qui le définissent. Ces livres comprennent des textes aujourd'hui épuisés et pratiquement introuvables.

Un roman halluciné teinté de mythologie.

[Source : MaitresDuFantastique.fr]

Arthur Machen (1863-1947) est un écrivain gallois souvent considéré comme le grand écrivain de la weird fiction, un genre littéraire empruntant à la fiction d’horreur surnaturelle, qui fait un pont entre le gothique britannique et le fantastique américain. Le premier grand texte « weird » de Machen est Le Grand dieu Pan, publié en 1894. Mais c’est La Colline des rêves, en 1907, qui établit cet auteur comme le maître du genre, inspirant au romancier américain H. P. Lovecraft (1890-1937) ces mots : « ce roman est l’inoubliable aventure d’un esprit qui sent et ressent comme nul autre ». Brillant parfois d’un éclat emprunté à Lovecraft, l’œuvre de Machen a une beauté propre, étrange, nourrie de folklore et travaillant à étendre le réel… jusqu’à l’iréel.

Ce volume rassemble, dans de nouvelles traductions par Anne-Sylvie Homassel, les grands textes des années 1896-1917, années de la maturité, et présente la première traduction en français d’Un Fragment d’existence.

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