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Caligula's Love, Tome 1
Ce n'est vraiment pas les thèmes que je lis et j'avoue que j'appréhendais de plonger dans le monde du club BDSM. Je connaissais déjà le style graphique de la mangaka j'ai donc voulu essayer. J'en ressors plutôt mitigée. La relation entre Makoto et son élève est assez particulière et évolue graduellement sans de précipitation. Par contre, j'ai eu du mal avec le fait que ce soit l'élève donc le mineur qui ait les pleins pouvoirs sur un adulte, son professeur. Finalement le rôle de maître et élève est inversé dans le privé.
Les dessins sont beaux au niveau du chara designer des personnages. Dôyama a un certain charme, un côté bad boy qui lui va à merveille. Makoto est plus simple mais ne démérite pas. Il est plongé dans ses retranchements, poussé par un M manipulateur et qui utilise la torture psychologique avec sadisme.
Le cheminement de l'histoire et de leur relation évolue au fur et à mesure avec une conclusion qui n'est pas bâclée. Et bonne nouvelle, il y aura une suite que je lirai sûrement.
Caligula's Love, Tome 1
Concernant l’histoire, elle est plutôt simple mais très bien menée, avec un excellent rythme. Pas d’effet de bâclage ici ni de « trop rapide », au contraire, tout va à la bonne vitesse et tout semble logique. Pas de dramas dans ce manga mais une relation entre maître et soumis intéressante. Les scènes de sexe étaient superbes, dans les dessins mais pas seulement, également dans la manière dont elles étaient racontées, dont elles s’enchaînaient, et ce jeu instauré entre questions et ordres. C’est une histoire très douce dans les faits, mais chaude et sexy en même temps, un mélange que j’apprécie beaucoup.
Je n’ai pas grand-chose à dire au final, juste que c’est une lecture que j’ai adorée, et je pense certainement relire un jour ce manga. Une chose est certaine : je resterai à l’affût de nouvelles œuvres de cette autrice.
Caligula's Love, Tome 1
Avoir traité la relation dominant/soumis dans ce cadre particulier est original. J'ai apprécié que la mangaka nous montre les personnages en et hors scène, démontrant, s'il le fallait encore, que ce qui se passe dans la chambre n'a pas forcément quelque chose à voir avec ce qui se passe en société.
Il n'y a que le dessin de Doyama que j'ai moyennement apprécié, m'empêchant de vraiment m'attacher à lui.
Mais pour tout le reste, juste top...
Caligula's Love, Tome 1
Caligula's Love, Tome 1
Un très bon yaoi qui nous raconte l'histoire de Suzuhara, un étudiant gay qui est amoureux de son ami. Hors cet ami passe son temps a lui demander son appartement pour s'envoyer en l'air avec sa petite amie. Une situation difficile pour Suzuhara qui accepte malgré tout.
De plus Suzuhara entretien une relation assez compliqué avec son voisin de palier qu'il entend la nuit faire des galipettes avec ses petites amies. Nishino est un tombeur de demoiselle, un beau gosse qui en joue en portant des lunettes pour être encore plus sexy. Les deux hommes ont eu une altercation mais lorsque Suzuhara se retrouve à la porte après avoir laisser son appartement voilà qu'il se retrouve chez son voisin... a coucher avec lui alors qu'il ne le connait à peine.
Peu a peu Nishino va tomber sous le charme de Suzuhara qui aura du mal à croire à ses sentiments. Nishino n'est pas gay, il est attiré que par un seul homme : son voisin. Avec une relation compliqué basé entre amour et colère, les deux jeunes hommes vont malgré tout finir par se retrouver. Cette symbiose et harmonie lorsqu'ils couchent ensemble les transcendent et leurs corps expriment parfaitement leur sentiment sans qu'ils ne l'expriment. Passion. Frisson. Désir.
Un manga avec une jolie histoire, des scènes certes explicites mais sans entrer dans trop de vulgarité. La mangaka a surtout joueur sur le frisson et le plaisir qui s'en dégage.
Une histoire bonus en fin de tome pour nous permettre de terminer en douceur le tome. Un achat que je ne regrette absolument pas et qui restera le seul que j'ai effectué à la Paris Manga.
Viens-là, mon amour
Au début peut-être que c'était le cas, mais au courant de ma lecture, le “ maître “ : Kiyotaka Dôyama et son “ chien “ Makoto Naruse ont vraiment développé au long de ses six mois au départ une relation de confiance. Puis, la découverte de leurs identités respectives, les as encore plus rapprochés. Se connaissant, il ont su faire confiance à l'autre et apporter chacun de l'autre côté le plaisir à l'autre. Les sentiments ont éclaté et se sont couverts de vérités, de bonheur et de plaisir. Il n'y a pas un seul moment où j'ai pensé que leurs relations étaient toxiques ou dangereuses. Douleur. La seule douleur que j'ai ressentis moralement, c'est le fait d'être hyper par l'impatience d'une nouvelle séance de Bondage Domination Soumissions Masochisme (BDSM).
Dans cette œuvre, les deux protagonistes ne font que la partie DS, soit la dominance et la soumission. C'est aussi la partie que j'aime énormément, malgré que cela ne me dérange pas de voir ou d'être potentiellement bande de ruban, de corde ou de menottes, lanière en cuir, le masochisme ne me couvre pas d'autant d'intérêt. Je dois avouer aimer bien quand je les voient souffrir, mentalement, ils sont magnifique, car c'est plus humain. Mais souffrir pour le plaisir, par des coups, venant au blessure soft comme hard n'est pas ce que je préfère et même que ça me déplaît. Je dis pas refuser d'avoir ou de voir des marques rouges par le frottements ou les claques excitantes, les baisers, les succions ou les petites morsures. Mais fendre la peau au point de la saignée que pour le plaisir n'évolue pas dans mon sens. Heureusement, cet histoire ne concerne pas ce moyen. Et en fait les deux principes que j'admire le plus. Que je trouve magnifique malgré parfois un peu que je ne la comprends pas…
Comment on peut apprécier de marcher au sol, le cul en l'air et être traité comme un vulgaire animal ? Je suis pour les moments intenses et sauvages ou nos instincts primales refont surface au plus haut point, mais seulement parce qu'on perd le contrôle. Pas parce qu'on se voue nous même à ce principe. Le lâcher prise fait la force de cette pratique, mais je doute arriver un jour pour ma part à y arriver. J'aime le contrôle ! On m'a suggéré de devenir dans ce cas la “ maître “ mais je doute arriver aussi à avoir autant de contrôle sur quelqu'un d'autre que ma propre personne. Quand j'y pense, ça paraît excitant quand même de pouvoir donner du plaisir, les récompenses comme je le souhaite. D'un autre côté, j'ai toujours encouragé le libre arbitre, alors retirer celui-ci à quelqu'un m'est quasi impensable…
C'est fou comment un simple livre peut faire sortir des questionnements, des avis aussi pure, et aussi majestueux que celui-ci. Si je me concentre à nouveau sur ce manga, les dessins n'ont pas été déplaisant, même avec la beauté de chaque trait, sans censure on profite totalement de l'excellence de cette histoire. Profondément envoûtante et agréable ! J'ai été vraiment impressionné par la force des thèmes abordés, le mangaka Atami Michinoku à su embellir et développer le genre bdsm a sa juste valeur.
Je compte très bien en découvrir plus de celui-ci, mais aussi lire la suite de cette saga. Un tome 2 arrive bientôt.
J'ai hâte !
Caligula's Love, Tome 1
J’ai trouvé que l’histoire est trop courte, mais tiens un excellent rythme, leur relation évolue au fur et à mesure de l’histoire .
Comme j’ai adoré ce premier tome, j’ai lu par la suite le tome 2 qui est super, ne m’a pas déçu et addictif comme le tome 1.
Caligula's Love, Tome 1
Ne refuse pas mes baisers
Je crois que c'est seulement le second yaoi sur lequel je pleure, ce qui prouve combien l'expression des sentiments est intense. La douleur du personnage, ou plutôt des personnages, nous touche profondément. Il a crée des personnalités multiples afin d'échapper à l'horreur de son enfance et lui permettre de disparaître en cas de problème. Mais en même temps, plusieurs de ses personnalités souffrent profondément, soit car elles sont ancrées à un traumatisme soit parce qu'elles doivent surmonter l'idée que bien qu'elles habitent le même corps, elles ne peuvent en être l'hôte principal et vivre intégralement en tant que tel.
Un manga profondément touchant et inspirant.
The Rib of Adam, Tome 1
Atami Michinoku, après avoir montré combien il est malheureux d’être immortel quand on voit tous ses proches grandir, vieillir et mourir à travers Kazushige, montre cette fois combien le destin peut être cruel par Moronatsu.
Le passé de Moronatsu, permettant de changer le ton et le rythme du récit, n’a pas non plus permis de trancher sur la cruauté mesquine de Masakado ou une souffrance masquée causée par la solitude.
Jusqu’à la fin, le but de Masakado reste obscur. Que cela soit par culpabilité, ou par un lien métaphysique liant le vampire à celui qu’il a transformé, on ne sait pas pourquoi il rôde sans cesse autour de Kazushige.
Après avoir fait germer la graine du doute dans l’esprit d’Akihito en lui proposant de le transformer en vampire; alors que ce dernier essaie de respecter la volonté de Kazushige et de rester humain, la confrontation qui devait avoir lieu entre les deux arrivera.
Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/08/15/goodbye-red-beryl-tome-3/
Good Bye, Red Beryl, Tome 3
Akihito ne se retient plus et montre franchement le désir qu’il a pour le vampire replié autant dans ses quartiers physiques que de ceux de sa stabilité émotionnelle. Lui qui a vu sa femme et sa fille, vieillir et mourir alors qu’il ne pouvait pas et ne pourra jamais les rejoindre, traité de monstre, et s’écœurant lui-même, pourra-t-il prendre à nouveau le risque de s’ouvrir à quelqu’un et de partager une passion pour plus longtemps qu’une journée ?
Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2020/03/29/goodbye-red-beryl-tome-2/
Good Bye, Red Beryl, Tome 2
Ces deux hommes se rencontrent et commencent alors une étrange amitié puisque Tsuda joue le détaché mais il est plus attaché qu'il le veut. Surtout quand celui qui l'a transformé revient dans sa vie...
Les dessins sont superbes mais c'est vraiment une lecture sans prise de tête pour le moment. Néanmoins ma curiosité est piquée et j'ai hâte de lire la suite.
Good Bye, Red Beryl, Tome 1
Pour happer l’attention du lecteur (et qui pour le coup a fait germer une idée déprimante concernant la fin dans ma tête), la première page montre Kazushige en 2017 devant la tombe de la famille Kobayashi. Puis, elle nous ramène au moment où ils se sont connus, en 1968.
De façon plutôt accélérée, pour nous faire saisir les principaux éléments essentiels, on voit que la vie d’Akihito a été une accumulation de tristesse, d’éléments déplaisants, de frustration et de blessures causées par les méchancetés d’autrui, aussi bien physiques qu’émotionnelles, de l’enfance jusqu’à maintenant. Il se demande alors pourquoi vivre, à quoi il est utile et perd le goût de s’accrocher au sourire que le directeur de l’orphelinat lui a dit de ne jamais perdre.
Des poutres de fer tombent alors pour exaucer son souhait, mais son heure ne semble pas avoir encore sonnée. Il est sauvé in extremis par Kazushige qui se fait empalé à sa place et lui parle toujours sereinement. Vous l’avez deviné, Kazushige est un vampire et la réaction d’Akihito bien que pas crédible (personne ne continuerait à discuter tranquillement avec une personne empalée vivante qui lui dit de tirer le fer de son corps), n’est pas dérangeante.
Trois jours après cette rencontre particulière, alors que Kazushige pensait qu’Akihito le traiterait de monstre, ce dernier, redevable, s’invite chaque jour chez lui pour faire le ménage et la cuisine afin de lui montrer sa reconnaissance. Le temps passé entre les protagonistes est court mais on sent déjà l’affection d’Akihito envers Kazushige et le fait que le vampire fond doucement face à la gentillesse de l’orphelin.
Si on a pas vraiment l’occasion de se lier à Akihito (du moins, moi), Kazushige a attiré ma sympathie et à toute ma compassion. L’immortalité peut être vue comme un cadeau ou une malédiction. Dans le cas de Kazushige, transformé de force par un être qui ne considère pas autrement les humains que comme de la nourriture, c’est une malédiction. Il a subi le départ n’allant pas dans l’ordre de choses de ses proches : sa fille mourant avant lui, complètement ridée alors qu’il restait frais, beau et jeune.
Plus complet sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2019/11/21/goodbye-red-beryl-tome-1/
Good Bye, Red Beryl, Tome 1
Viens-là, mon amour