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Tous les livres de Bernard Lugan

François Mitterrand n'a pas soutenu " inconditionnellement " le régime hutu rwandais, et l'armée française n'a pas à rougir de son action au Rwanda. Ce livre montre que, contrairement aux idées reçues : la France exerça des pressions constantes sur le président Habyarimana afin de le contraindre à partager le pouvoir avec les opposants hutus et à négocier la paix avec les émigrés Tutsis ; que les troupes françaises n'ont pas participé aux combats contre les Tutsis et l'aide militaire fut uniquement destinée à éviter un effondrement de l'armée gouvernementale hutus. Jamais à lui donner la victoire. Voir dans cette politique une complicité avec les auteurs du génocide relève du fantasme ou de l'intention de nuire. Ce livre qui fait litière des accusations portées contre la France est le résultat d'une profonde connaissance des réalités rwandaises, d'une longue enquête dans les archives et de nombreux entretiens avec les principaux acteurs militaires français, lesquels ont, pour la première fois, accepté de parler.

Ce livre montre que durant la brève parenthèse coloniale, les pays colonisateurs n'ont pas pillé l'Afrique et que les colonies étant un boulet économique, politique et social, la décolonisation était une urgente et impérieuse nécessité ; les Européens d'aujourd'hui et à plus forte raison ceux de demain n'ont de dette ni à l'égard de l'Afrique ni des Africains ; le mythe de la culpabilité coloniale est une arme permettant de désarmer moralement l'Europe face à la contre-colonisation de peuplement qu'elle subit actuellement et que la culture de repentance-soumission risque de faire des Français, de nouveaux " colonisés ".

Ce livre montre également que la colonisation fut d'abord une grande idée de gauche reposant sur les idéaux universalistes de 1789. Il souligne aussi que pour résoudre les insolubles problèmes liés à l'immigration venue de nos anciennes colonies, seules sont proposées les recettes éculées d'assimilation-intégration qui y furent inapplicables et les mêmes impératifs du toujours plus de subventions qui firent capoter toutes les politiques de développement.

Or, ce qui a échoué hier en Afrique échoue déjà dans les banlieues où il est impossible de procéder par amputation territoriale comme l'avait fait le général de Gaulle. Ce livre montre enfin que l'histoire n'est jamais écrite. Les Français après 130 ans de présence en Algérie, les Portugais après 400 ans en Angola et les Arabes après 700 ans en Espagne, tous ont appris à leurs dépens que la colonisation n'est pas éternelle dès lors que les indigènes ne sont plus disposés à la subir.

Ce livre est illustré de nombreuses cartes et contient un index.

Aboutissement de plus de trente années de recherches à travers le continent africain, ce livre n'a aucun équivalent francophone. Pour la première fois, une histoire globale rassemble les Afriques, nord et sud-saharienne, et déroule la longue durée du continent, de - 10 000 ans à nos jours. Changements climatiques déterminant la mise en place des populations et la naissance des sociétés étatiques, au premier rang desquelles l'Egypte des pharaons; conquête arabo-musulmane; grandes découvertes; traites esclavagistes, européenne et musulmane; colonisation; décolonisation; guerre froide; démocratisation; réveil de la tectonique ethnique... L'histoire des peuples africains est une succession de chocs violents entre des modèles extérieurs et des constantes identitaires locales qui ont su résister au temps, telle l'opposition entre pasteurs et agriculteurs qui explique la constitution ou non d'Etats. Inscrites dans la longue durée, les crises actuelles, de la Côte d'Ivoire au Kenya, de l'Algérie à l'Afrique du Sud ou encore du Soudan au Rwanda, deviennent enfin intelligibles au lecteur, lequel s'élèvera ici bien au-dessus des stéréotypes idéologiques ressassés par tant d'africanistes francophones contemporains pour accéder à la vérité profonde de l'Afrique.

Depuis un quart de siècle les connaissances que nous avons du passé de l’Afrique et de l’histoire coloniale ont fait de tels progrès que la plupart des dogmes sur lesquels reposait la culture dominante ont été renversés.

Cependant, le monde médiatique et la classe politique demeurent enfermés dans leurs certitudes d’hier et dans un état des connaissances obsolète : postulat de la richesse de l’Europe fondée sur l’exploitation de ses colonies ; idée que la France devrait des réparations à l’Algérie alors qu’elle s’y est ruinée durant 130 ans ; affirmation de la seule culpabilité européenne dans le domaine de la traite des Noirs quand la réalité est qu’une partie de l’Afrique a vendu l’autre aux traitants ; croyance selon laquelle, en Afrique du Sud, les Noirs sont partout chez eux alors que, sur un 1/3 du pays, les Blancs ont l’antériorité de la présence ; manipulation concernant le prétendu massacre d’Algériens à Paris le 17 octobre 1961 etc.

Le but de ce livre enrichi de nombreuses cartes en couleur, est de rendre accessible au plus large public le résultat de ces travaux universitaires novateurs qui réduisent à néant les 15 principaux mythes et mensonges qui nourrissent l’idéologie de la repentance.

Accrochés à des pourcentages de PIB désincarnés ou artificiels, « experts » et médias mentent à l'Afrique quand ils lui font croire qu'elle a « démarré » et qu'une « classe moyenne » y est née. En effet, non seulement le continent ne se développe pas, mais, au sud du Sahara, il est même revenu à une économie de « comptoir ». Au XVIIIe siècle ces derniers étaient esclavagistes ; en 2015, ils sont pétroliers, gaziers ou miniers. Comme ceux d hier, ceux d aujourd'hui n'enrichissent qu'une infime minorité d acteurs-profiteurs cependant que la masse de la population subit en tentant de survivre. Allons-nous donc continuer de mentir à l'Afrique quand, confrontées à la misère et pour échapper au désastre dont elles sont les premières victimes, ses jeunes générations risquent leur vie dans de mortelles traversées vers le supposé « paradis » européen ? Afin d attaquer les vraies causes du mal, les acteurs africains et européens doivent commencer par cesser de s abriter derrière ces postures dogmatiques et ces mensonges qui, depuis des décennies, engluent le continent dans les échecs.

En 987, quand Hugues Capet monte sur le trône de France, l'Etat marocain a déjà deux siècles d'existence.

A la différence de tout ce qui avait été écrit jusque-là, Bernard Lugan replace dans ce livre le Maroc au coeur de l'espace saharo-méditerranéen.

- Vers l'est, sous les Almoravides (XIe-XIIe siècles) et plus encore sous les Almohades (XIIe-XIIIe siècles), le Maroc domina territorialement tout le Maghreb.

- Vers le nord, durant sept siècles, le Maroc fut directement acteur dans la question d'Al-Andalus, l'Espagne musulmane.

- Vers le sud, en 1589, sous le sultan saadien al-Mansour, Gao et Tombouctou furent conquis et jusqu'en 1660 la prière y fut dite au nom du sultan du Maroc. Avant la période coloniale, le Sahara occidental était économiquement, politiquement et religieusement lié au Maroc dont le rayonnement s'étendait depuis Tanger, Fès et Marrakech jusqu'aux vallées des fleuves Sénégal et Niger.

A la fin du XIXe siècle, la France amputa largement le Maroc au profit du nouvel Etat algérien. Quant à l'Espagne, elle coupa le pays de ses assises sahariennes puisque plusieurs dynasties marocaines en sont originaires. En ayant récupéré le Sahara occidental, le Maroc a renoué avec ses racines et est devenu une puissance atlantique ouverte sur les grandes routes maritimes.

Le long déroulé de l'histoire du continent africain est rythmé par une succession de guerres. Les plus anciennes sont figurées sur les parois peintes du Sahara et de l'Afrique australe. Les plus récentes font l'actualité, de la Libye au Kivu et de la Somalie au Mali.

Dans l'Afrique d'«avant les Blancs», la guerre entraîna la mutation de nombre de sociétés et fut créatrice d'empires, dont ceux d'el Hadj Omar, de Samory, de Rabah, de Shaka Zulu... Avec la conquête coloniale, à l'exception de l'échec italien en Éthiopie, les guerres tournèrent toutes à l'avantage des colonisateurs, même si, ici ou là, des batailles retardatrices dont le livre rend compte, furent occasionnellement remportées par les Africains.

La parenthèse impériale fut ensuite refermée sans affrontements majeurs, les guérillas nationalistes n'y étant jamais en mesure de l'emporter sur le terrain.

Après les indépendances, l'Afrique fut ravagée par de multiples conflits qui firent des millions de morts et des dizaines de millions de déplacés.

Au terme de la «guerre froide», l'Afrique redevint l'actrice de ses propres guerres, donc de sa propre histoire. Les placages idéologiques et politiques qui lui avaient été imposés depuis des décennies volèrent alors en éclats et le continent s'embrasa. Durant la décennie 2000-2010, 70% des décisions de l'ONU et 45% des séances du Conseil de Sécurité furent consacrées aux conflits africains.

Un livre très documenté, accompagné de nombreuses cartes en couleurs, qui retrace l'histoire des guerres d'Afrique, un outil qui permet au lecteur de comprendre les conflits actuels.

Bernard Lugan, universitaire, est professeur à l'École de Guerre à Paris et il enseigne aux Écoles de Saint-Cyr-Coëtquidan. Il est conférencier à l'IHEDN et expert auprès du TPIR (Tribunal Pénal International pour le Rwanda-ONU). Il édite la revue par internet l'Afrique Réelle.

En 2010-2011, la Tunisie, l’Égypte et la Libye connurent des événements spécifiques, hâtivement baptisés « printemps arabe » par des journalistes voulant y voir autant d’avancées démocratiques.

L’échec de cette tragique illusion est à la hauteur des emballements émotionnels qu’elle suscita :

- La Tunisie est en faillite économique. Le climat politique y est devenu explosif, les Frères musulmans au pouvoir voulant en effet faire adopter une Constitution ayant la charia pour norme, ce que refusent des foules de plus en plus nombreuses. La radicalisation des positions est également illustrée par les assassinats des leaders de l’opposition.

- En Égypte, ceux qui ne supportaient plus leur vieux chef militaire se sont finalement donnés à de jeunes chefs militaires pour échapper aux « fous de Dieu », ce qui n’empêcha pas le pays de basculer insensiblement dans ce qui menace de devenir une guerre civile.

- En Libye, l’État n’existe plus. Le nord du pays est partagé entre des milices tribales ou religieuses, cependant que tout le sud est devenu un « Libystan » aux mains des jihadistes.

Ce livre qui n’a pas d’équivalent, présente au jour le jour, l’histoire de ce prétendu « printemps arabe » ainsi que celle de ses conséquences géopolitiques.

Il explique également pourquoi le Maroc et l’Algérie ne furent pas concernés par ces événements.

En mai 68, qui étaient les rebelles ?

L'auteur, qui était à l'époque responsable pour l'Action française à Nanterre et chargé du service d'ordre de cette organisation, nous donne ici un témoignage sur Mai 68 vu d'en face, sous la forme de récits de différents épisodes qui dessinent l'état d'esprit d'une époque et la postérité de celle-ci.

Longtemps "Grand Satan" de la politique internationale, la République d'Afrique du Sud n'est perçue du public qu'à travers des informations partielles et souvent hâtives. On ne saurait analyser et comprendre la situation dramatique de ce pays, les comportements et les mentalités de ses ethnies sans en connaître l'histoire mouvementée, complexe et passionnante. Ce livre s'imposait comme une nécessité. Son auteur, spécialiste d'histoire africaine, a choisi de raconter, sur tous les fronts et depuis l'origine, la mise en place des populations d'Afrique du Sud : une image souvent bien différente de ce qui nous est habituellement présenté. Il apparaît, par exemple, que sur 50 % environ du territoire de la République d'Afrique du Sud, les Blancs ont précédé les Noirs et que leur première rencontre s'est produite seulement à la fin du XVIIIe siècle, à plusieurs centaines de kilomètres au nord du Cap. L'auteur montre aussi, par l'histoire, combien les événements de ces dernières années ne sauraient se résumer en une lutte contre l'apartheid. Au moins aussi importante est la guerre civile qui oppose les Noirs entre eux, tant il est vrai qu'il n'existe pas en Afrique du Sud un peuple noir, mais des nations noires séparées par la langue, la culture et l'histoire.

Indépendamment de l'éclairage que ce livre projette sur l'actualité et sur l'avenir, on est passionné par l'épopée des Afrikaners (parmi lesquels se trouvaient nombre de huguenots français) et par leur combat contre les Anglais. Véritable "conquête de l'Ouest", cette épopée explique le tempérament et l'intransigeance d'une grande partie de la population blanche.

Un livre indispensable à ceux qui souhaitent parler à bon escient de l'Afrique du Sud et s'interrogent sur le sort de cette nation-mosaïque dont l'avenir revêt une importance primordiale pour l'équilibre du monde.

La longue durée montre que l’Afrique du Sud n’est pas LA « Nation arc-en-ciel » dans laquelle les déterminismes raciaux auraient disparu, mais l’assemblage artificiel de plusieurs peuples réunis par le colonisateur britannique à la suite de nombreuses guerres. Or, ces peuples, qu’il s’agisse des Zulu, des Xhosa, des Sotho, des Venda, des Pedi, des Ndebele, des Indiens ou des Afrikaners, ont des langues différentes, des références historico-culturelles étrangères les unes aux autres et leurs intérêts sont contradictoires.

Après 1910, les Blancs, Britanniques d’abord, Afrikaners ensuite, constituèrent le ciment de cette mosaïque raciale ; puis, à partir de 1994, ce rôle fut tenu par l’ANC de Nelson Mandela devenu parti-État. En 2008, ce mouvement a connu une scission à l’occasion de laquelle a ressurgi l’ethno-régionalisme, tendance lourde niée depuis 1994 par l’idéologie officielle.

Au mois de mai 2009, succédant à Thabo Mbeki, Jacob Zuma fut élu président de la République. Après 15 années de pouvoir xhosa, un leader populiste zulu arrivait aux affaires dans un contexte économique et social plus que morose. Loin de la vision idyllique présentée par les médias, la réalité sud-africaine est tragique : près de deux décennies après l’accession au pouvoir d’une « majorité noire », l’Afrique du Sud cesse en effet peu à peu d’être une excroissance de l’Europe à l’extrémité australe du continent africain pour devenir un État du « tiers-monde » avec, certes, un secteur encore ultraperformant, mais de plus en plus réduit, surnageant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violence.

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