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Ils pourront dire ce qu'ils voudront, on a déjà raconté tellement sur mon compte...
Je ne regrette rien.
C'est toujours la même chose : l'un raconte ce qu'il croit que l'autre désire savoir de la famille, et l'autre écoute en faisant les commentaires aimables qu'il suppose qu'on attend de lui, et voilà comment tout le monde se condamne à l'ennui.
On m'assure que ce sera une mort sans douleur. Il paraît qu'il suffit de fermer les yeux et d'attendre dix à douze secondes. J'entendrai d'abord le sifflement de la lame, puis un bref souffle d'air et, enfin, un coup sec, rien de plus. Nous avons répété hier dans les moindres détails le comportement à adopter avant de monter à l'échafaud. Car là où je me trouve à présent, dans la prison de la Force, à Paris, nous mettons notre mort en scène.
On lui avait donné une table dans un coin près de l'escalier en colimaçon, entourée d'une profusion de plantes. Une feuille de kentia lui chatouillait la nuque s'il se penchait du côté gauche, et par la spirale des marches montaient des odeurs mêmées de chili con carne, de gnocchis aux quatre fromages et de soufflé à la mandarine, mais, au moins, on ne l'avait pas condamné aux régions antarctiques, à la salle d'en bas soit, en d'autres termes, aux ténèbres où les maîtres d'hôtel relèguent les parias.
[...] parfois, dans la vie, il vaut mieux ne pas poser de questions, surtout quand on soupçonne que la réponse ne vous conviendra pas.
Une dame riche ayant des amants est une grande dame ; une femme pauvre et volage n’est en revanche qu’une garce.
Savoir de quel pied boite l’ennemi est toujours utile au moment de l’affronter.