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Commentaires sur ses livres

Carole Fives

Par aikadeliredelire le 19 Septembre 2023 Editer
aikadeliredelire
+ À lire, le portrait d'une famille altruiste et engagée ainsi que le témoignage original sans tabou d'une euthanasie active orchestrée dans les moindres détails, de l'autre côté des Alpes.
A propos du livre :
Le jour et l'heure
Le jour et l'heure
Par Matatoune le 23 Août 2023 Editer
Matatoune
Sereinement, et même dirais-je, simplement, Carole Fives aborde dans Le jour et l’heure la fin de vie choisie à travers le ressenti de cinq personnages. Un mari et ses quatre enfants adultes accompagnent Edith qui a décidé, en toute liberté, de finir sa vie un lundi matin à 9 h en Suisse, précisément, à Bâle.

Au lieu d’être un récit de deuil, Le jour et l’heure de Carole Fives est un récit de vie de ceux qui restent et qui prennent la parole.

D’abord, le voyage à six rappelle les départs en vacances de nombreuses fois vécues par la famille. Puis, le week-end est vécu comme entre parenthèses malgré la maladie d’Edth en toile de fond.

Aucun compte à rebours, aucun rappel dérangeant, juste des instants d’intensité et de complicité pris par chacun. Mais, ce voyage est aussi un voyage intérieur que chaque personnage raconte à son rythme, avec colère ou avec son corps, seulement selon sa manière intime.

Néanmoins, Carole Fives en profite pour dénoncer l’indigence médicale devant l’annonce de la mort possible, la reconnaissance d’un non-acharnement thérapeutique et le respect de la volonté et de la liberté individuelle.

Devançant les détracteurs, Carole Fives aborde aussi les inquiétudes de nos sociétés comme la précarité, les agressions sexuelles, les migrations, l’état de la planète et la parentalité.

Ce récit choral court, Le jour et l’heure, est intimiste et pudique où la mort volontaire assistée y est décrite avec beaucoup de sensibilité. Carole Fives réussit à alerter sur ce sujet sans jamais tomber dans la sensiblerie. Une parfaite réussite !
Chronique illustrée ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2023/08/23/carole-fives-le-jour-et-l-heure/
A propos du livre :
Le jour et l'heure
Le jour et l'heure
Par mimosette26 le 2 Août 2018 Editer
mimosette26
Tenir jusqu'à l'aube. A cette aube à la fois attendue et redoutée, attendue dans sa lumière, redoutée par crainte de la voir n'apporter rien de nouveau, sinon plus de fatigue, plus de soucis, plus de solitude, plus d'angoisse, de doute, d'incompréhension et de colère parfois.
Tenir, comme une armée redoutant le dernier assaut. Tenir, à se rêver cigale, ou bien en partance vers d'autres ailleurs.
Tenir debout contre vents et marées, à contre courant...puisque il est usage, dans toute société qui se « dit » respectable, que les fleuves - c'est bien connu « bonnes gens »- vous qui coulez dans le non sens de votre courant- ... retournent toujours à la mer, comme l'enfant revient toujours à la femme.
Tenir jusqu'à l'aube, vouloir vivre et toujours espérer.
Elles se nomment les solos, hier « on » les appelait les filles-mères, puis mères-célibataires, expressions qui tendaient à effacer avec autorité la femme, et qui aura laisser à des générations nombre de cicatrices. le terme « solo », ne fait guère mieux.
« Sur les 8,6 millions de Français vivant sous le seuil de pauvreté, 4,7 millions sont des femmes », soit près de 55 %. Elles sont entre 1,5 et 2 millions en France à élever seules leurs enfants. 85 % des familles monoparentales sont composées de mères seules. Et parmi elles, 30% vivent sous le seuil de pauvreté. Premières victimes de la crise, les mamans solo cumulent les difficultés. » rappelait le journal Parents en mars 2017. Voilà les chiffres.
Mais les chiffres ne veulent pas dire grand-chose. Il faut toucher l'humain pour comprendre. Entendre, écouter, voir, lire, rencontrer.
Le nouveau roman de Carole Fives, C'est l'histoire d'une femme, devenue mère, qui élève son enfant seule parce que le géniteur, fort de l'autorisation morale que lui concède des millénaires de civilisation phallocrate, a pris la poudre d'escampette. C'est l'histoire d'une femme qui traverse la nuit et qui tiendra jusqu'à l'aube.
Envolé, disparu... une ombre simiesque à la gloire du père inconnu.
L'homme est fort – inconscient de sa fertilité, et parfois fort oublieux de ses devoirs alimentaires, quant à la femme, ...gare à elle si elle ne se sent pas responsable dès le plus jeune âge de ses ovulations !
Je réécoutais cette semaine une série d'émissions consacrée à Simone Veil, que France culture nous permet de suivre en ce mois de juillet.
A réentendre les débats qu'avaient suscité le droit des femmes à disposer d'elle même, et qui ont malheureusement toujours court..., on se dit que la société fait bien cher payer aux femmes le droit d'être qui elles sont, en dressant le bâton de ses lois, que celles-ci soient issues des hommes ou de ses dieux, bâton qui trop souvent s'abat et avec lequel elle voudrait légitimer l'absurdité d'un devoir d'être ce qu'elle voudrait que les femmes soient.
Indigne est désignée celle qui ose par trop rêver, celle qui ne demande qu'un peu de liberté, celle qui un soir fait le mur, se fait la belle, celle qui voudrait un peu échapper à l'injustice, qui a envie parfois de goûter à ce qui vit ce « comme tout le monde », ce « tout le monde », trop souvent cité en exemple et qui vend le bonheur comme un prêt à porter.
Même si comme Carole Fives le décrit si bien, « ce comme tout le monde » peut être l'antre d'un enfer.
Un excellent roman, véritablement actuel, à l'heure où quelque certain parle de tonneau des Danaïdes en évoquant les aides sociales …. En lisant le roman de Carole Fives, on comprend que le maintien des aides sociales financières, ne sont pas la seule solution aux problèmes des Solos.
Ces aides sont indispensables et à ce titre doivent être renforcées et maintenues. Mais c'est également de temps, d'aides humaines, de regards neufs et solidaires, besoin de reconnaissance, dont ont besoin les Solos.
Besoin de solutions de gardes, correspondantes à leur situation financière, géographique, solution de logement, solution de mobilité, solution de temps pour pouvoir garder un emploi, un emploi qui devrait être déclaré prioritaire, du temps pour avoir un salaire à plein temps, , du temps pour pouvoir assumer les déplacements professionnels, du temps et un financement solidaire pour pouvoir se former et se mettre ou se remettre à niveau professionnellement, du temps pour partager, pour rencontrer, construire, du temps, aussi et enfin pour aimer.
Des lois justes également qui mettront chacun devant ses responsabilité.
Besoin d'une éducation égalitaire qui permettra de rompre enfin le cercle infernal de la précarité.
Un enfant n'est pas une malédiction, elles vous le diront mieux que quiconque, ...elles qui tiennent jusqu'à l'aube ; La malédiction c'est de vivre dans une société incapable de se refondre, de s'inventer, de penser autrement qu'en langage binaire, une société à bout de souffle de ses institutions et de ses schémas , durant des siècles , rabâchés.
Une société monochrome , essoufflée, qui piétine à marche forcée, alors que le monde tourne à la vitesse des lumières d'un arc en ciel.
Roman de parole, livre de société.
Carole Fives dédie son écrit à son fils. L'avenir commence là. Qu'elle en soit remercié.
Je dédie, quant à moi, cette lecture, à toi, mon amie, que j'ai vu tenir jusqu'à l'aube, qui a tenu avec force et courage, à toi qui t'es battue si souvent, toi, à qui j'adresse mon respect, mon admiration, et avant tout, toute mon amitié.
Toi, qui as tenu jusqu'à l'aube. Toi, qui a réussi.
Le jour se lève, amie, qu'il te soit doux et très beau.
Les nuits sont parfois longues, féroces et si profondes, et seules celles qui ont du les traverser, peuvent nous faire comprendre l'intensité de ce que l'aube peut éclairer.
A toi donc, et aux deux millions de femmes qui en France, tiennent, chaque nuit, jusqu'à l'aube.
A propos du livre :
Tenir jusqu'à l'aube
Tenir jusqu'à l'aube
Par Amelie116 le 23 Février 2016 Editer
Amelie116
Une belle découverte!
Pour ceux qui connaissent et qui apprécient, c'est un style d'écriture qui est similaire à celui de Blandine le Callet. J'avais également lu un recueil de Claire Castillon, que j'avais apprécié et c'est le même genre, mais moins porté sur nos rapports amoureux.
On retrouve cette façon objective de juger notre quotidien, nos rapports aux autres, nos vies parfois bien rangées, nos petits tracas du quotidien. Parfois, c'est dur, cruel, et pourtant c'est vrai, et on pousse des cris de " NAAN, c'est pas possible" quand ça arrive dans les journaux.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Je pense notamment aux deux nouvelles sur cette femme qui ne peut pas obtenir son augmentation parce qu'elle n'est pas assez belle, ou le père qui viole ses enfants sous le nez de sa femme
.
Une lecture que je conseille vivement!
A propos du livre :
Quand nous serons heureux
Quand nous serons heureux
Par jeanpierrecattelain le 9 Avril 2024 Editer
jeanpierrecattelain
Du suspense, on peut parler de thriller.
Admiratrice d'une célèbre autrice décédée, une femme, elle-même écrivaine mais sans grand succès, rencontre le veuf. Gros écart d'âge, encore plus grand écart de mileu social et de fortune. Une liaison se développe, la jeune femme est fascinée par le souvenir de l'écrivaine (dont le portrait envahit l'appartement de luxe du veuf, pas évident de faire l'amour sous les portraits de sa femme...), et aussi par le veuf.
Fascination, indiscrétion, espionnage... la jeune femme arrive à retrouver un manuscrit inachevé de son aînée, et entreprend de le... compléter? récrire? écrire en s'en inspirant? le plagier..?..
Je ne veux pas dévoiler trop. Disons qu'au terme de ce livre aux accents de polar, on se demande qui manipulait qui, qui se trompait, qui trompait, et si l'amour partagé n'était que de façade.
A propos du livre :
Quelque chose à te dire
Quelque chose à te dire
Par Parthenos92 le 9 Mars 2024 Editer
Parthenos92
J'ai un avis mitigé sur cette lecture. Si j'ai été attirée par le thème, je suis restée sur ma fin.
Je trouve intéressant de traiter de le sujet de la mort volontaire du point de vue de la famille. Cependant, il m'a manqué un développement des relations entre les personnages pour me sentir complètement investie dans cette lecture.
Côté positif : le style est fluide et agréable à lire, et on ne tombe jamais dans le pathos. Le sujet est traité avec justesse et le parcours de cette famille face à la maladie et à la mort est inspirant.
A propos du livre :
Le jour et l'heure
Le jour et l'heure
Par Mlle_Dine_Bouquine le 10 Janvier 2024 Editer
Mlle_Dine_Bouquine
« C’est ce qu’elle a fait quand elle a décidé de mourir, elle a assumé sa liberté. Ce n’était pas un acte à la sauvette d’aller en Suisse, non, ce n’était pas un acte de désespoir, c’était le choix d’une femme forte. »

La quatrième de couverture m’a tout de suite attirée ! Moi qui milite pour le droit à disposer de notre corps comme nous l’entendons, j’ai eu envie de découvrir ce récit qui m’a semblé poignant.

Lundi 13 Mars à 09h00 : c’est la date qu’Edith a choisi pour mettre fin à ses jours en Suisse, dans ce pays où la mort volontaire assistée est autorisée. Elle qui souffre depuis plusieurs mois maintenant, elle ne peut plus et ne veut plus, continuer à subir les symptômes de cette maladie qui la ronge chaque jour. Ce choix, c’est le sien, et elle compte bien l’assumer pleinement.

À travers un road-trip qui les emmène à Bâle, nous allons passer ces derniers moments en compagnie de son mari, Simon, et de ses quatre enfants qu’elle a convié pour l’événement : Audrey, Théo, Jeanne et Anna.

Nous avons une alternance de chapitres sur les différents points de vue des protagonistes présents. Certains relativisent les derniers instants en se remémorant les bons moments passés en famille. D’autres sont partagés entre la tristesse de voir partir définitivement leur mère, et cette incompréhension cachée par la colère.

Hélas, j’ai été très déçue par ma lecture. J’ai eu beaucoup de mal à adhérer au style d’écriture qui était très détaché face à la situation (les enfants appellent leur mère par son prénom, absence totale d’attachement, très frustrant pour ma part). Les mots n’ont pas été percutants, et ne m’ont pas transporté ou provoqué une émotion particulière.

Mais surtout très surprise par l’absence totale du point de vue d’Edith ! Quelle frustration ! À chaque page, je m’attendais à la retrouver là, en train de nous raconter sa propre histoire, son ressenti, ses craintes et ses doutes. Et pourtant, j’y ai cru et j’ai espéré jusqu’à la dernière page, et rien malheureusement ! Je trouve ça tellement dommage … Elle, au cœur de cette histoire, et qu’on relègue au second plan.
A propos du livre :
Le jour et l'heure
Le jour et l'heure
Par sarah-quatrevieux le 5 Novembre 2023 Editer
sarah-quatrevieux
Edith est malade et décide de partir en Suisse pour y mourir, car elle ne souhaite pas souffrir davantage. Ses quatre enfants et son mari l’y accompagnent. La mort volontaire assistée est loin d’être un sujet léger. Cependant, Carole Fives l’aborde avec bienveillance, laissant aux proches la place de s’exprimer. Une occasion supplémentaire de mettre en avant cette thématique importante en France.
A propos du livre :
Le jour et l'heure
Le jour et l'heure
Par Anne-Elisabeth le 21 Octobre 2023 Editer
Anne-Elisabeth
Roman.
L'histoire est très dure : Edith, une maman, une femme, très malade, décide le jour et l'heure de sa mort. Un suicide assisté, en Suisse. Simon, son mari, ainsi que ses enfants : Audrey, Anna, Théo et Jeanne l'accompagnent. Ils passent les derniers jours ensemble. Chacun des enfants et Simon racontent ce qu'ils ressentent, comment ils vivent ces moments.
Ce livre m'a beaucoup touché.
A propos du livre :
Le jour et l'heure
Le jour et l'heure
Par jeanpierrecattelain le 17 Octobre 2023 Editer
jeanpierrecattelain
Un "récit choral" très tréussi.
Il aurait pu être glauque, larmoyant, pathétique. Après tout, ce n'est pas souvent qu'on voit une famille entière prendre la route, en toute sérénité, pour aller accompagner la maman qui va s'injecter une dose létale en Suisse, vu que la loi française interdit l'euthanasie et le suicide assisté.
En fait ce voyage se déroule dans une atmosphère, sinon joyeuse, du moins positive: on y parle de mort, mais comme faisant partie du parcours de vie.
Merci Carole Fives de nous aider à regarder en face cet aspect de la vie, alors que la qualité de la fin de vie est niée par la société, et en particulier la médecine, dans notre pays.
A propos du livre :
Le jour et l'heure
Le jour et l'heure
Par CHAPITRE le 27 Septembre 2023 Editer
CHAPITRE
Je me voyais bien au bout du fil et avec parfois l’envie de raccrocher donc fermer le livre; sarcastique Octobre Rose et décadence du féminin. Bouleversant au final quand on écoute bien entre les lignes.
A propos du livre :
Une femme au téléphone
Une femme au téléphone
Par CharlyyGentlePhoenix le 20 Septembre 2023 Editer
CharlyyGentlePhoenix
Un livre "Taiseux", bon quand même, mais trop Taiseux...
Le jour et l’heure – Carole Fives – (éditions) J.-C. Lattès – Août 2023
Bien les bonjours mes Phoenix du milieu de semaine !
Le chapitre 1 « Audrey » nous évoque une chirurgienne en gynécologie aux urgences, qui s’occupe, par exemple, d’accouchements très compliqués avec de grosses hémorragies parfois. La personne démissionne, et dans la deuxième partie, je n’ai pas trop compris si on suivait le point de vue des deux enfants ou de leur mère. La plume est tout à fait correcte, par ailleurs. (nb; c'est en fiat "chacun son tour" de narrer l'histoire...).
Chapitre 2 « Théo » c’est l « unique garçon dans cette tribu de filles » ; 3 sœurs qui n’arrêtent pas de se chamailler… (C'est pas grand chose mais à ce stade de l'histoire on raconte pas beaucoup de contenu...).
Chapitre suivant ; encore une membre de la famille, dans cette même voiture, Jeanne, la benjamine au fond du véhicule.
« Je ne réalisais pas vraiment ce qu’on allait faire là-bas. On vivait minute par minute, et c’est ça la vie finalement, c’est minute par minute, le reste, c’est du vent. »
Puis on va se balader au fil des points de vue des membres de cette famille…
Audrey a porté un trop lourd fardeau ! En Belgique, eux, ils acceptent l’euthanasie, l’accompagnement des personnes en fin de vie, suicidaires…
C’est le cas de beaucoup d’œuvres ! Mais j’aurais voulu voir plus de dialogues. J’ai cherché sur internet un nom pour cela… Taiseux ? Silencieux ? Taciturne ? Bon à l’avenir je dirais Taiseux et vous comprendrez… C’est un vrai problème a mes yeux, tout « Bon Livre » selon moi, doit avoir un ratio approximatif de dialogues/narration comme 50/50 ou au pire 30/70… Sinon, de mon point de vue, le rythme est cassé, 50 pages sans discours, c’est lourd. Les paroles viennent couper, aérer, espacer le texte, rendant le récit plus Facile et amusant à Lire…
(C’était ma digression sur les Taiseux !)
Voilà ! Désolé de pas en dire mieux. Mon avis n’est qu’un petit verre d’eau dans l’océan ; -)… Vous pouvez très bien aimer alors que je n’ai pas accroché (et je vous souhaite de passer un bon moment ! ) …
(Si vous vous abonnez je m’abonne aussi ; ) ).
Phoenix
++
A propos du livre :
Le jour et l'heure
Le jour et l'heure
Par Tatianais le 17 Août 2023 Editer
Tatianais
Acheté à la rentrée littéraire de la Fnac en septembre 2022, je suis heureuse d'avoir enfin pu aller au-delà des paroles échangées avec Carole Fives.

J'ai lu le roman d'une traite, la lecture facile, mais les mots qui résonnent. *Quelque chose à te dire* met en scène une histoire complexe et parlante. Le tout chante l'inévitable intertextualité, la fascination que nous portons à certains autaires, et joue avec les limites de l'éthique littéraire.

Le résultat est frais et efficace.
A propos du livre :
Quelque chose à te dire
Quelque chose à te dire
Par Sherlocked_666 le 7 Juin 2023 Editer
Sherlocked_666
Ce court roman, présenté comme un "thriller troublant", met en scène l'écrivaine Elsa Feuillet, grande admiratrice de sa regrettée consœur Béatrice Blandy dont elle va intimement fréquenter le veuf de manière plus ou moins fortuite. Si tout semble bien se passer entre les tourtereaux, l'ombre de Béatrice continue de planer au-dessus de leurs têtes... surtout au-dessus d'Elsa qui va peu à peu se glisser dans la peau de celle qui la fascine tant.
Je n'ai pas été entièrement convaincu par ce roman. Malgré un retournement de situation final assez bien pensé, la grande majorité de l'intrigue s'avère tiède. Je ne peux pas la qualifier de "fade" car certains éléments flirtant avec la folie et le fantastique viennent pimenter un peu le tout. Mais disons que oui, le tout manquait globalement de piquant et n'était pas franchement révolutionnaire (une écrivaine obsédée par une autre et qui tente de découvrir un héritage littéraire non exhumé... ça ne me paraît pas bien inédit).
Le dénouement hitchcockien, en revanche, m'a plutôt satisfait. Mais bien qu'appréciant les productions de ce géant du suspens, je dois admettre que les références à ses films se faisaient parfois trop fréquentes au point de perdre toute subtilité dans ce qu'elles étaient supposer préfigurer. On se retrouve clairement ici avec une variation sur le thème de Rebecca avec la nouvelle concubine du maître de maison qui fait face au spectre omniprésent de sa prédécesseure, et un twist final à la Vertigo. Et tout cela est assez grossièrement annoncé dans le texte, oui.
Un "thriller troublant", je n'en suis pas certain. Un roman divertissant serait plus juste.
A propos du livre :
Quelque chose à te dire
Quelque chose à te dire
Par Maeva-201 le 9 Décembre 2022 Editer
Maeva-201
J'ai beaucoup aimé ces nouvelles très noires et dures. Elles décrivent et dénoncent de nombreux travers de notre société avec une justesse étonnante. Carole Fives est vraiment une auteure à suivre !
A propos du livre :
Quand nous serons heureux
Quand nous serons heureux
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