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Jacques Laurent-Cély était un journaliste, romancier, et essayiste français, ayant notamment publié sous divers pseudonymes dont celui de Cécil Saint-Laurent.
Jacques Laurent est issu d’une famille qui compte surtout des gens de robe et d’épée. Un oncle, vice-président du Conseil d’État, le pousse à préparer l’un de ces grands concours qui vont disparaître avec la naissance de l’ENA. Il préfère la Sorbonne où il entreprend une licence de philosophie, que la mobilisation interrompt. Jamais il ne devait achever ses études. Il garde néanmoins pour la philosophie un goût tenace et amical qui se trahit souvent dans ses romans comme dans ses essais.
En 1948, il publie son premier roman, Les Corps tranquilles, et, en 1951, son premier essai, Paul et Jean-Paul, où il soutient le droit à la liberté de création contre les théoriciens du roman engagé.
C’est dans le même esprit qu’il fonde, en 1953, une revue littéraire, La Parisienne, et qu’il dirige pendant cinq ans l’hebdomadaire Arts. Il publie aussi bien dans des quotidiens que dans des revues un grand nombre d’articles de critique ou d’humeur et effectue plusieurs reportages dont l’un paraît, en 1968, sous le titre Choses vues au Vietnam.
Il ne cesse pas d’alterner les romans et les essais au cours d’une carrière qui est marquée par plusieurs prix : le Goncourt pour le roman Les Bêtises (1971), le grand prix de littérature de l’Académie française (1981), le prix Prince Pierre de Monaco (1983).
Élu à l’Académie française, le 26 juin 1986, au fauteuil du professeur Fernand Braudel (15e fauteuil).
Biographie
Né(e) à : Paris , le 05/01/1919
Mort(e) à : Paris , le 29/12/2000
Biographie :
Jacques Laurent-Cély était un journaliste, romancier, et essayiste français, ayant notamment publié sous divers pseudonymes dont celui de Cécil Saint-Laurent.
Jacques Laurent est issu d’une famille qui compte surtout des gens de robe et d’épée. Un oncle, vice-président du Conseil d’État, le pousse à préparer l’un de ces grands concours qui vont disparaître avec la naissance de l’ENA. Il préfère la Sorbonne où il entreprend une licence de philosophie, que la mobilisation interrompt. Jamais il ne devait achever ses études. Il garde néanmoins pour la philosophie un goût tenace et amical qui se trahit souvent dans ses romans comme dans ses essais.
En 1948, il publie son premier roman, Les Corps tranquilles, et, en 1951, son premier essai, Paul et Jean-Paul, où il soutient le droit à la liberté de création contre les théoriciens du roman engagé.
C’est dans le même esprit qu’il fonde, en 1953, une revue littéraire, La Parisienne, et qu’il dirige pendant cinq ans l’hebdomadaire Arts. Il publie aussi bien dans des quotidiens que dans des revues un grand nombre d’articles de critique ou d’humeur et effectue plusieurs reportages dont l’un paraît, en 1968, sous le titre Choses vues au Vietnam.
Il ne cesse pas d’alterner les romans et les essais au cours d’une carrière qui est marquée par plusieurs prix : le Goncourt pour le roman Les Bêtises (1971), le grand prix de littérature de l’Académie française (1981), le prix Prince Pierre de Monaco (1983).
Élu à l’Académie française, le 26 juin 1986, au fauteuil du professeur Fernand Braudel (15e fauteuil).
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