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Livres - Bibliographie

César Aira


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Tous les livres de César Aira

La crise argentine fait surgir du néant d'étranges créatures. Un couple de retraités du quartier de Flores invente un métier à sa mesure, pour améliorer son ordinaire : la livraison à pied de pizzas à domicile. Ce voyage au bout de la nuit de

Buenos Aires, hantée par des monstres, est aussi une traversée du miroir jusqu'au cœur de l'énigme dans les entrailles d'un couvent - où le conte de fées bascule, via le polar et la critique d'art, dans le roman gothique. Avec Les Nuits de Flores, Aira continue, comme dans plusieurs de ses romans précédents, à édifier la mythologie de ce quartier de Buenos Aires où il habite, dans une fascinante proximité avec ses personnages, depuis 1967. Mythologie tendre et grotesque, souriante et frénétique, à l'échelle du bouleversement permanent auquel sont soumis ses habitants en ces temps difficiles - et auquel l'œuvre d'Aira, par sa radicale nouveauté, soumet la littérature contemporaine.

César Aira, l'un des écrivains argentins les plus importants et les plus novateurs de ces quinze dernières années, est l'auteur de plus de soixante ouvrages : romans, mais aussi essais, nouvelles et œuvres théâtrales. Il nous livre ici l'histoire inouïe et hilarante de l'implacable enchaînement de causes et d'effets qui conduit un homme ordinaire - vieux garçon, taxidermiste amateur, visité à heures fixes par de mystérieuses voix nocturnes - à créer à son insu, dans les douze heures qui suivent un incident plutôt embarrassant (le règlement de son salaire en fausse monnaie), le chef-d'œuvre de la poésie d'Amérique centrale. Etonnante et irrésistible mise en scène du " génie littéraire " par un grand écrivain, dont chaque nouveau roman surprend délicieusement ses lecteurs de plus en plus nombreux et fidèles, et redessine à sa manière, radicalement nouvelle, les contours de la littérature latino-américaine d'aujourd'hui.

La Princesse Printemps règne sur une île paradisiaque et minuscule, au large du Panama.

Jeune, belle et célibataire, elle mène une existence austère dans un palais de marbre blanc avec vue sur la mer. Pour subvenir à ses modestes besoins, elle traduit avec constance des romans médiocres, publiés sous le manteau par des éditeurs pirates. Mais un jour, un nuage de mauvais augure apparaît à l'horizon : il annonce un vaisseau noir hérissé de canons venu menacer la quiète solitude de la discrète altesse...

Ce conte de fées surréaliste, à la fois roman d'aventures et manifeste poétique, est un hommage exubérant aux pouvoirs subversifs et monstrueux de l'imaginaire.

Le jour se lève, un homme pleure. L'histoire de ses larmes passe par l'ironie du destin et la douleur de la séparation... Un roman irrésistible de folie et de sagesse.

Quand le jeune et beau Ferdie, acteur-vedette d'une série télévisée pour adolescents, va s'inscrire dans un gymnase du quartier de Flores, à Buenos Aires, il espère obtenir un corps qui provoquera " la peur chez les hommes et le désir chez les femmes ". Ce qu'il ignore, c'est que le gymnase Chin Fu, qu'il fréquente assidûment, est engagé dans une guerre sans merci contre le gymnase Hokkama, et que les épisodes spectaculaires de ce conflit vont remettre en cause l'idée qu'il se faisait du sport, des femmes, de la virilité et de l'identité sexuelle... L'enjeu de la guerre pourrait être son pucelage, le sort de l'Argentine tout entière ou bien celui de son cerveau mal-mené. A la fois hilarant et inquiétant, jubilatoire et crépusculaire, La Guerre des gymnases est un roman d'apprentissage en forme de cauchemar échevelé qui rend un hommage délirant à l'art du récit et affirme l'existence de mondes parallèles et imaginaires.

Mis à part aller à la gym, Maxi a pas d'autre occupation fixe. Le fils d'un riche marchand de Flores, avec une vingtaine d'années et imposant physiquement, ni étude, ni travail. Cet automne-là, poussé par la nécessité de prendre le temps, a commencé à aider les cueilleurs et les chiffonniers à porter leurs charges.

César Aira prend ici son exploration d'un crépuscule Buenos Aires, à la fois réel et fantastique. Réalisé par le videur jeune, associée avec le mystère de la Charité avec les habitants des bidonvilles dans son quartier, ce roman va dans les couloirs d'un bidonville surpeuplé de Bajo Flores, où les extrémités en regard de somnambulisme innocents mystères profanes et dangereux.

Les trafiquants de drogue, des policiers corrompus, les immigrants, un juge intrigantes collège sauvages, les prédicateurs, tous sont attirés dans les traces de Maxi angélique pour le centre secret de la ville ...

50 ans, âge symbolique à la fois porteur d’angoisses et d’expectatives est souvent le moment saisi pour faire un bilan de sa vie. César Aira y voit aussi l’occasion de prendre un nouveau départ, de combler les trous qui émaillent sa connaissance, et l’ont jusqu’ici poussé à surseoir aux explications essentielles du monde en se consacrant, tête baissée, à son activité d’écrivain. « Avant, j’écrivais mes romans dans le seul but de les réussir », explique César Aira, puis il ajoute : « Eh bien voilà, arrivé à un certain point, après une vingtaine de livres publiés, je me suis senti obligé de me mettre sérieusement à réfléchir ». Réfléchir à ce qui l’a jusqu’ici poussé à écrire, sans doute pour lui permettre d’éviter les pièges du temps, pense-t-il, ou celui de la mort. Non pas tant la mort individuelle, car « la mort de tout le monde est bien plus terrifiante que la mort individuelle, […] il n’est pas nécessaire d’attendre la mort individuelle, car la Fin du Monde nous accompagne tous les jours, elle est en train de s’opérer imperceptiblement à chaque petit fait qui survient, au hasard de tous les faits et de toutes les pensées ». Egrenant les anecdotes et rassemblant ses souvenirs, César Aira se lance dans une forme d’introspection qui, de la philosophie à la psychologie, voire à la psychanalyse, de la linguistique à la sémiologie appliquées à ses livres passés, le pousse à imaginer, non sans humour et parfois cynisme, ce que pourraient être ses livres futurs. N’est-il pas temps pour lui d’arrêter d’écrire ? Ou comme Evariste Galois, le génial mathématicien à qui il consacre tout un chapitre, d’écrire en une seule nuit l’ensemble de son oeuvre ? C’est à partir de plusieurs questions de ce type que César Aira décortique son rapport personnel à l’écriture. Ce rapport ludique, plein d’humour et d’une fraîcheur réconfortante forme le sujet essentiel de son roman. Un sujet qui consiste à dépasser la mort individuelle de l’auteur pour, par petites touches, se mettre soi-même en perspective avec la fin de tous, c’est-à-dire la Fin du Monde, et à achever Le Livre, au sens de Mallarmé, ou à se lancer jusqu’au bout dans l’inachevable Encyclopédie. « Oui, c’est bien cela, une espèce d’encyclopédie générale qui contiendrait tout », dit César Aira avant de poursuivre : « Le but de toute une vie est de parvenir à tout savoir. Et son registre final est l’Encyclopédie ».

César est écrivain. Il vit essentiellement de ses traductions mais mène également une vie secrète de savant un peu fou. Le livre s'ouvre sur l'énigme séculaire du " Fil de Macuto ", que César résout avec succès. Il se rend ensuite au Venezuela, où il est invité à participer à un congrès de littérature dans la petite ville de Merida. Sous des abords inoffensif, il dévoile en réalité le plan démoniaque qu'il a en tête pour dominer le monde : cloner l'ADN de l'écrivain mexicain Carlos Fuentes dans le but de créer une armée de sujets soumis et belliqueux. On ne sait comment il comptait s'y prendre précisément. Dans les faits, il va cloner une cellule, non pas de Fuentes, mais de sa cravate en soie. Des milliers d'asticots de soie bleu électrique se répandent ainsi dans la ville de Merida... Dans un monde onirique, peuplé d'images et de métaphores, le lecteur évolue à la lisière du réel, jusqu'à l'apothéose psychédélique du dernier chapitre. Cette belle parabole de la création littéraire offre une échappée flamboyante dont ses idées sur l'écriture et la traduction ne sortiront pas exemptes. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, Le Congrès de littérature n'a rien d'un texte théorique. César Aira met en abyme ses réflexions sur la création littéraire dans un récit ironique, baroque. Plus qu'un roman-manifeste, il s'agit d'un précieux témoignage de ce que l'imagination littéraire représente aux yeux de César Aira. On y retrouve les composantes les plus attachantes de son oeuvre : son art de la scène croquée sur le vif et de l'embardée digressive, l'impression d'aller dans une " fuite en avant " sans que jamais ne se rompe le fil de la continuité narrative, tendu avec virtuosité.

Johan Moritz Rugendas est un "peintre de genre" allemand de la première partie du XIXe siècle, un des plus grands "peintres voyageurs" de son temps, que Humboldt lui-même admirait et considérait comme un maître dans l'art de la "physionomie de la nature". Rugendas fait deux grands voyages en Amérique latine. Lors du second, en 1837, dans la province argentine de Mendoza, il touche au centre secret dont il avait toujours rêvé : le point "équidistant des horizons", dans les plaines immenses de l'Argentine, où il espère découvrir "l'autre face de son art" et qui l'obligera à créer un nouveau procédé de représentation. Il entreprend ce chemin périlleux en compagnie d'un autre peintre allemand, Robert Krause, d'un vieux guide et d'un jeune cuisinier. Le prix pour lui en est immense, monstrueux : un épisode dramatique interrompt sauvagement la traversée et marque à jamais son corps et sa vie - son art, sa jeunesse.

Ce roman a été salué comme un véritable événement par la critique argentine lors de sa parution, en juin 2000. Il confirme la variété et l'originalité exceptionnelles du talent de César Aira (né à Coronel Pringles, province de Buenos-Aires, en 1949), qui apparaît plus que jamais comme un des écrivains majeurs de la littérature latino-américaine d'aujourd'hui.

Au cœur d'Esquisses musicales se trouve un personnage paradoxal : un peintre que l'on n'a jamais vu peindre, et dont aucune œuvre n'a jamais pu être admirée. C'est pourtant à lui que l'on a confié la tâche de décorer les murs de la mairie de Coronel Pringles, une ville d'Argentine. Cet homme est-il vraiment l'artiste qu'il prétend être ? Et plus largement, qu'est-ce qui fait de quelqu'un un artiste ? Pour tenter de dissiper son mystère, le narrateur suit le parcours de ce curieux individu. Un chemin où l'on croisera d'autres personnes tout aussi étranges, et rythmé par des événements qui ne le sont pas moins. Jusqu'à, peut-être, trouver l'origine de l'art. Avec humour et un sens aigu de l'absurde, César Aira nous livre un singulier portrait d'artiste – un roman partagé entre logique pervertie et réalisme magique.

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