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De mères en filles, tome 3 : Anais
De mères en filles, Tome 2 : Ariane
De mères en filles, Tome 1 : Alice
De mères en filles, tome 4: Ava
De mères en filles, tome 3 : Anais
De mères en filles, Tome 2 : Ariane
Le personnage d’Ariane est vraiment différent de celui de sa mère Alice, sa manière de penser et sa façon d’être. Elle mène des combats, dont celui du féminisme ; de donner la chance aux femmes dans les domaines professionnels réservés aux hommes. Sa jalousie envers sa sœur, Agathe, est totalement compréhensible ; néanmoins, à force de ressentir cette émotion émaner d’elle, cela m’a particulièrement agacé. J’ai tout de même bien aimé cette jeune femme, devenant mère à son tour. Elle est pleine d’ambition, de détermination et elle s’impose toujours face aux hommes ; surtout depuis ses blessures amoureuses d’adolescente et la perte de l’homme de sa vie. Elle est forte et elle a le cœur sur la main. Comme Ariane, le pire c’est de regretter certaines choses et de ne pas pouvoir revenir en arrière ; il faut trouver la possibilité de se racheter, de se pardonner soi-même et surtout de ne plus culpabiliser pour continuer à avancer.
Marcel Lepage est un traducteur de publicité, un homme aux airs sympathiques. Mais je me suis méfiée de lui durant tout le roman, quand on est de temps en temps plongé dans sa tête, il se plaint énormément. Je ne l’ai pas apprécié et sa personnalité m’a laissée pantoise, je l’ai trouvé arrogant, prétentieux et sans aucune reconnaissance envers les autres. Ses réactions pour la naissance de sa fille, de l’adoption d’une autre, m’ont donné froid dans le dos. Toutefois, il n’est pas bien méchant ; mais son éducation et son ambition l’entraînent sur une pente malsaine. De plus, son côté hyperactif, ses sorties de toutes les nuits, son inconscience envers sa santé ; démontre un personnage immature.
Eugène Boyer est aussi un protagoniste important dans ce livre. C’est le meilleur ami de notre héroïne. Je me suis prise d’affection, aussi j’ai ressenti de la peine pour lui. Il est amoureux et n’ose pas le dire, son secret le dévore et il supporte de moins en moins ses sentiments. Ils ne s’éteignent d’ailleurs jamais. Certes, il est présent seulement au début du livre, ensuite on le retrouve que vers les dernières pages ; et pourtant, il m’a séduite bien plus que Marcel. C’est un grand rêveur et un artiste, malgré tout son talent ; il ne perce pas dans ce monde de bohème.
Les longueurs peuvent réellement gêner pendant la lecture, c’est le cas que j’ai rencontré avec cet ouvrage. Parfois, les informations sont très pesantes, me déconnectant plusieurs fois du récit. Pourtant, les aventures d’Ariane sont intéressantes et ne manquent pas d’action, et l’apprentissage de fait est tout de même enrichissant ; juste que les détails prennent énormément de place dans le roman. En dehors de ça, c’est un voyage, plein de secrets, de rencontres, de vies, de pertes et de pardons. Plusieurs scènes touchantes, en revanche les émotions restent en arrière-plan, en oublient. Une petite bulle de sentiment qui s’envole aussi simplement qu’elle est venue, je trouve ça regrettable pour ce style de livre. À l’inverse, le mystère est un point non négligeable dans cette suite, avec des surprises au bon moment et des révélations au compte-gouttes. La trame se veut inédite grâce à la période et aux lieux abordés, tout en étant dans la même thématique que « Alice ».
Dominique Drouin détient une plume généreuse, à mon goût cela est même dans l’excès. Des développements copieux, entraînants, assurément une perte de rythme ; de plus, les chapitres sont longs. Heureusement, il y a des séparations dans ces derniers, pour rééquilibrer l’ensemble. Le vocabulaire est riche, il n’y a pas de simplicité dans l’écriture de cette auteure. Cette fois, c’est la rédaction, l’inégalité entre la narration et les dialogues qui m’ont déplu. Dominique écrit une histoire à la fois historique et contemporaine avec des thèmes forts, les messages sont puissants.
« Ariane » est avant tout une histoire d’existence, exprimant plusieurs périples. Des passages bouleversants et inattendus, les sentiments ne sont pas entièrement animés ; en différence, le suspense est palpable du début jusqu’à la fin. Le commencement de ce roman est assez complexe, on jongle entre deux périodes ; le passé au Canada d’Ariane, et l’avant-départ de la France pour retourner dans son pays. Je n’ai pas toujours suivi ces changements. Ariane est une héroïne porte-parole pour les femmes de l’époque 1928 – 1950, son caractère franc et dynamique gagne en force au fil des années et des pages. La plume de l’auteure ne correspond pas à mon style ; le manque d’interactivité entre les personnages, la moindre émotion s’effaçant derrière les développements. Je n’ai pas détesté l’écriture, juste l’absence d’harmonie. Quoi qu’il en soit, cela présente un second volume instructif et impressionnant.
https://lesfaceslitteraires.blogspot.com/2020/08/de-meres-en-filles-tome-2-ariane.html
De mères en filles, Tome 2 : Ariane
De mères en filles, Tome 1 : Alice
Les personnages sont bons, le scénario l'est aussi.
Un livre pour faire passer le temps.
De mères en filles, tome 3 : Anais
Alice est une enfant solitaire, ne parlant jamais. Au moment de sa rencontre avec la musique, cet instrument magnifié ; le piano, une passionnée naît. Commence alors notre périple à ses côtés. Intelligente, elle perçoit chacun de ses ballotements, ne trouvant aucun vrai refuge. De la Provence française à la Capitale, de celle-ci à l’Angleterre, revenant à Paris pour découvrir par la suite la Suisse. De là, la France redevient son foyer jusqu’à former sa famille en Suisse, tout ne se termine pas, elle part une nouvelle fois en France pour partir derrière l’Atlantique, Boston. De retour en France, de nouveau en Suisse, et encore en France ; jusqu’au moment où elle prend le bateau pour aller sur les terres du Canada et bien des années plus tard, elle recommence en France. Tant de voyage, tant de mouvement pour une si belle âme. Elle ne se sent pas réellement à sa place, pourtant aimée de tous ; de son père, de sa tante, de sa nourrice, de son coup de foudre et de ses filles. Seul, le manque de sa mère est présent quand elle découvre la vérité sur ses origines. Je me suis prise d’attachement pour cette petite fille, pour cette jeune femme perdue, pour cette femme mère huit fois ; admirable, libre et enflammée de piano.
Claudio, jeune homme italien de quinze ans, en France il travaille comme maçon avec ses frères et son père. En construisant le Conservatoire de Lille, il renoue avec la musique et il s’entraîne dès que possible. Quand quelqu’un le remarque enfin, sa vie change du tout au tout ; une aide lui est venue. C’est un personnage qu’on apprécie au fil des pages, sa passion pour le chant est de plus en plus présente. Mais c’est au moment où il vient consoler cette jeune fille qu’il rentre dans notre cœur. Un homme droit, sincère, parfois un peu trop raisonnable sur les bords, les pieds sur terre.
Cette histoire d’amour est très intéressante, mais surtout très touchante sur le point des problèmes d’argent ou sur le fait d’avoir le mal du pays. Entre Alice et Claudio, un lien passionnel se crée. Bien au-delà des conventions sociales, des différences et des secrets. Ainsi, nous apprenons qu’il n’y a pas de liberté en ce temps-là ; ou alors ça tombe dans les mailles du filet et on perd ce qu’on a de plus cher au monde. L’histoire d’Alice est triste, tout en étant pleine de surprise et de joie, d’amour. C’est un beau roman, différent, historique. Ici, le mystère est présent sans toutefois l’être ; on sait déjà qui est la mère d’Alice, mais nous attendons la rencontre entre Claudio et elle, c’est là qu’est la surprise. Pour moi, cette romance est originale ; c’est un mélange de faits passés et de contemporain. Les thèmes, la musique, les liens familiaux et amicaux, les voyages ; tout est rempli d’émotion malgré une narration à la 3ème personne du singulier.
Dominique Drouin est une auteur qui se détache vraiment, avec un style propre à elle. Je suis étonnée et plus que satisfaite de ma lecture, grâce en partie à la plume. La fluidité expose une grande douceur, des phrases simples et pourtant magnifiques, avec un vocabulaire à la fois classique et moderne.
« Alice » est le premier volume de la saga « De mères en filles » et je ne suis aucunement déçue par cette découverte. Les protagonistes m’ont marqué du début à la fin, que ce soit l’héroïne et son histoire, tout comme Claudio que j’ai apprécié à sa juste valeur. Un récit vrai, authentique et envoûtant ; contenant autant de sentiment que de faits historiques. De plus, c’est un bonheur de lire ce genre de plume avec une synopsis presque hors du commun. Le tout se déroule sous plusieurs années, évidemment cela donne une grande évolution et des informations passionnantes.
https://lesfaceslitteraires.blogspot.com/2019/07/de-meres-en-filles-tome-1-alice.html
De mères en filles, Tome 1 : Alice
De mères en filles, Tome 1 : Alice
De mères en filles, tome 4: Ava
J'ai trouvé que ce roman était plus près d'un roman que les deux autres mais c'est aussi celui qui,je trouve, rejoignait le plus l'univers de la série télévisée. L'histoire était intéressante de tous les points de vue et elle était fluide. Beaucoup plus que dans les 2 autres livres. Je trouve que ce que vis chacun des personnages se rapprochent le plus à la réalité de la plupart des gens, biens que ce ne soit pas forcément selon le même contexte. Les émotions étaient fortes et très bien ressenties ni trop exagéré
Yamaska : Julie
Ce roman est plus émotif. Peut-être plus de mon côté, alors que j'ai de la famille haitienne par alliance et le tremblement de terre de 2010 a frappé fort dans mon entourage.
Cependant, j'ai trouvé par moment qu'il était plus dur de savoir de quel personnage l'on parlait, car nous n'avions pas toujours d'indice. C'était donc un peu mélangeant. Mais, j'ai beaucoup apprécié revoir ces personnages de série télévisée.
Yamaska : Réjanne
Le roman se lit bien, par contre j'ai eu l'impression de lire un scénario et non un roman, ce qui m'a un peu déçu. J'ai aussi trouvé que certain passage était inutile (même si le livre est assez court).
Yamaska : Hélène