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Tous les livres de Elizabeth Gouslan

Un tutu avec un Perfecto, une marinière sur des cuissardes, un fourreau en jean : toute une iconographie siglée JPG habille notre imaginaire depuis les années soixante-dix. Facétieux, surdoué, secret, Jean-Paul Gaultier a conquis les coeurs et les corps en trente ans de contre-mode.

De fil en aiguille, il entre en haute couture en majesté et chez Hermès au galop. Conciliant l'anticonformisme et l'excellence de la coupe, les références au surréalisme et les clins d’œil à la culture trash, il a réussi à imposer un nouveau vocabulaire et à révolutionner les moeurs.

Petit, à Arcueil, il dessinait des danseuses nues avec leurs trucs en plume et clamait qu'il serait un grand couturier, comme Monsieur Dior. La cinquantaine passée, incontournable, il stylise l'aristocratie, Madonna et Catherine Deneuve.

Qui se cache derrière ce sourire solaire ? Cette enquête biographique, la première du genre, tente de percer le mystère. Voici l'itinéraire d'un enfant cinglé, d'un punk sentimental, d'une icône de mode à tête froide.

La formule définitive revient à Truffaut lui-même : « Le cinéma est un art de la femme » – et cette formule dit tout de son projet : faire des films pour mieux aimer des femmes. Certes, Truffaut était double : il y avait le jeune homme rive droite, raie sur le côté, cravaté, rangé. Et puis le sentimental au cœur transi et en grand désordre : la femme idéale, celle qu’il chercha sans cesse, lui échappait ; alors sous sa plume, sous sa caméra, elle surgissait, ardente, magnétique, fatale, tendre, intouchable. De Jules et Jim à La femme d’à côté, l’as de la Nouvelle Vague n’a cessé de déconstruire l’idée de couple, à rebours des lieux communs. A deux, à trois, et même en solo – comme la délirante « Adèle H », aimant à en mourir un être qui se moquait d’elle éperdument …

Dans la vie, c’était la même chose. Le bal des actrices lui donnait le tournis. A chaque film, il s’offrait à l’héroïne, un réflexe pavlovien, un geste « Antoine Doinel » qui causa bien des dégâts alentour. Amoureux de son épouse Madeleine, fou de Jeanne Moreau, de Françoise Dorléac, amusé par Claude Jade, aimanté par Catherine Deneuve, envoûté par Fanny Ardant, sa vie et ses films se confondaient, ne faisaient plus qu’un. L’homme qui aimait les femmes ? Toutes les femmes ? C’était lui. Evidemment. Ce livre-enquête tend à prouver qu’elles le lui rendaient bien.

(Source : Grasset)

Star ardulée, oscarisée et splendide, Grace Kelly prit une étrange décision au sommet de sa gloire : elle choisit une retraite anticipée sous les palmiers monégasques. Cette enquête - qui va de sa naissance dans une famille fortunée de la Côte Est jusqu'à sa mort tragique - lève le voile sur des aspects ignorés de celle qu'Hitchcock appelait la "cool blond", et John Fitzgerald Kennedy rêvait d'épouser.

De Philadelphie à Hollywood, de Monaco à Paris, on assiste à la métamorphose d'une femme. Il y a, bien sûr, le récit d'un conte de fées - mais ce conte est parsemé de tâches sombres. La biographe nous dévoile ici les coulisses d'un rêve américain qui s'achève sur la Côte d'Azur et où Grace Kelly y apparaît telle qu'elle fut : obsédée par un père qui la dénigrait, multipliant les aventures (de Clark Gamble à Oleg Cassini), mère comblée et princesse plus que parfaite.

S'appuyant sur des témoignages inédits, ce portrait doux-amer, libre de ton et de forme, est écrit dans une langue qui modernise son sujet et nous restitue la femme vivante derrière l'icône.

Ava débarque à Los Angeles en 1941. Elle a dix-sept ans, la beauté du diable, un accent du Sud à couper au couteau, des manières de garçon de ferme, aucun don évident pour la comédie. Au début, sa carrière patine mais les hommes tombent, foudroyés : Mickey Rooney, Artie Shaw, Howard Hughes. Avec Les Tueurs, adapté d'une nouvelle d'Hemingwav, où elle donne la réplique à Burt Lancaster, émerge un personnage de vamp, de scandaleuse, une femme libre et dangereuse. Dès lors, Ava régnera, impériale et sans rivale, anticonformiste et insolente, pendant plus de trente ans. La vie de cette héroïne à la Sagan s'écrit à cent à l'heure, peuplée de monstres sacrés et de têtes brûlées, Huston, Bogart, Hemingway, Sinatra, de cuites inénarrables, d'amours ambivalentes et de quelques chefs-d'oeuvre - Pandora, La Comtesse aux pieds nus, La Nuit de l'iguane. Symbole de l'american dream, cette fille de fermiers devenue femme fatale préférait l'Europe à l'Amérique, la corrida aux hamburgers et la vraie vie aux reflets fantasmés qu'en offre le cinéma. Et pourtant, dans notre imaginaire comme dans l'histoire du cinéma, Ava Gardner s'impose bel et bien comme la dernière des stars hollywoodiennes.

Elizabeth Gouslan décrypte les parcours de ces princesses qui ont souffert à Bucnkigham.

Jeunes, belles élégantes, fortunées : elles ont tout pour être heureuses. Les petites filles du monde entier s’endorment en rêvant de les imiter et d’épouser le Prince charmant. Mais ce conte de fées est un trompe-l’oeil, une comédie du bonheur.

La ravissante Meghan Markle vient de révéler l’envers du décor, en claquant les portes d’un palais qu’elle avait déverrouillées en un temps record. Panique à Buckingham ! De cette brunette sexy, atypique et sans pedigree, le prince Harry est fou amoureux. Il ne sait pas lui dire non, même quand elle décide d’envoyer valser les contraintes et de s’enfuir avec lui aux États-Unis.

À Los Angeles, Oprah Winfrey, l’animatrice star de la télé américaine, devient la plus proche confidente du couple. Leur récit détaillé des brimades qu’ils ont endurées à la cour d’Angleterre est suivi par des millions de téléspectateurs et fait l’effet d’une bombe qui fragilise l’impeccable édifice des Windsor.

Meghan Markle, Diana Spencer, Kate Middleton, Camilla Parker-Bowles, Margaret : Élizabeth Gouslan met en lumière le poids du protocole. D’une plume alerte et mordante, la portraitiste dévoile les coulisses et les jeux de miroir d’une dynastie où le pouvoir se conjugue au féminin.

Pour les 100 ans de la mort de Sarah Bernhardt, Elizabeth Gouslan retrace l'incroyable parcours de ce monstre sacré, une féministe avant l'heure qui fit scandale à son époque.

Son nom ? Une légende. Sa vie ? Un roman truffé d'intrigues amoureuses, de scandales, de triomphes et d'exploits. Fille d'une demi-mondaine et d'un père qu'elle n'a presque pas connu, Sarah était vouée à un destin misérable. Mais elle rebat les cartes. La jeune fille aux yeux de chat se réinvente en idole. L'Odéon, la Comédie-Française : elle n'a pas vingt-cinq ans et le Tout-Paris est à ses pieds.

Surdouée, culottée, Sarah veut davantage. Prête à conquérir le monde, elle part pour de gigantesques tournées, exportant le génie français sur tous les continents. Partout on la célèbre, on l'adule. Côté coeur, son tableau de chasse impressionne : hommes et femmes célèbres succombent à son charme. Côté cour, l'artiste se double d'une femme d'affaires avisée qui utilise habilement la presse, les mécènes et la publicité.

Sarah provoque, choque, anticipe les modes. Sur scène, travestie, elle joue Hamlet ou l'Aiglon, s'appropriant le répertoire masculin.

Sculptrice, peintre et directrice de son propre théâtre, elle s'engage aussi dans toutes les grandes causes de son époque, comme lors de l'affaire Dreyfus.

Pour raconter ce fabuleux destin, Elizabeth Gouslan convoque Julia Bartet, grande sociétaire de la Comédie-Française, rivale devenue amie de Sarah, qui nous entraîne dans les coulisses du Second Empire, de la Belle Époque et des Années folles où ce monstre sacré régna sans partage

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