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Publié aux Éditions Elyzad, ce petit livre court, trop court, a tous les ingrédients d’un excellent livre.
Une histoire glaçante mais tellement réaliste, car ce n’est pas une histoire, mais bien la réalité de la condition de la femme, dans certains endroits du monde.
Les points de vue des différents protagonistes éclairent, non seulement sur le ressenti de ces femmes, mais aussi sur celui de ces hommes, qui sont portés par la société et les diktats qu’elle leur impose. J’ai aimé ce regard, qui, sans être accusateur, montre qu’il n’est pas simple de s’extraire de la folie qui nous entoure, alors même qu’on y aspire. L’honneur des hommes, c’est la préservation de la femme.
L’honneur des hommes, c’est l’honneur des femmes. L’honneur des hommes, c’est l’horreur que les femmes portent en elles. L’horreur des femmes, c’est d’être femme.
On ne referme pas ce livre comme on en referme un autre… Il laisse une empreinte indélébile en nous.
A lire, à faire lire…
https://julitlesmots.com/2021/04/26/que-sur-toi-se-lamente-le-tigre-de-emilienne-malfatto-modifier/
Que sur toi se lamente le Tigre
Que sur toi se lamente le Tigre
Je me souviendrai toujours du jour ou j'ai lu ce livre. C'était un samedi en fin de matinée. Je pensais juste le commencer mais je l'ai lu en une fois. J'ai à peine entendu mon père me parler. Vous savez ce que ça veut dire? Ce n'est pas pour rien que ce livre a reçu tant de prix littéraire.
Dans ce roman court mais intense, on suit une jeune fille amoureuse. Elle respecte les règles de la société. Pourtant, la guerre va changer la donne. Elle va craquer et vivre sa relation avec le garçon qu'elle aime. Tout cela aura forcément des répercussions.
L'écriture est tellement juste. Elle est parfois pleine de réalité et parfois pleine de poésie. J'ai en mémoire ce passage concernant les femmes et leur lien éternel au sang. Il m'a marqué tant il est juste : "Nous naissons dans le sang, devenons femmes dans le sang, nous enfantons dans le sang. Et tout à l'heure, le sang aussi. Comme si la terre n'en avait pas assez de boire le sang des femmes".
Dans ce roman, on voit la différence de traitement entre les femmes et les hommes. Cette citation à elle-seule en est le reflet. Et ce n'est pas la seule. L'autrice montre aussi l'horreur de la guerre et sa réalité. Concernant la construction, on suit principalement la jeune femme. Vers la fin, on a d'autres passages écrits du point de vue des frères. Ces chapitres sont courts mais clair et précis.
En bref, ce roman est bouleversant et montre clairement le traitement des femmes dans une société qui régente chaque étape de leur vie. L'honneur est plus important que tout. Je vous le recommande vivement.
Que sur toi se lamente le Tigre
Que sur toi se lamente le Tigre
La manière qu’à l’auteure d’écrire est étonnante, elle en est protagoniste mais elle n’est jamais au cœur du récit.
J’ai pleuré à plusieurs occasions. La vie de Maritza, une femme qui a vraiment existé, dont l’histoire est relatée ici, est terrible. Elle n’est comparable qu’aux plus tristes des récits et c’est un véritable crève cœur.
C’est une lecture rapide que je recommande chaudement.
Les serpents viendront pour toi
Je vous le conseille grandement.
Que sur toi se lamente le Tigre
Le colonel ne dort pas
Que sur toi se lamente le Tigre
Dès les premières lignes, j'ai su que ce serait une lecture différente, dérangeante et en même temps addictive. Ce fut une claque ! Non pas que l'écriture soit violente ou revendicatrice. Non, non, ce fut une claque douce. de celle qui marque durablement l'esprit et le coeur.
Ce livre est paradoxal et j'ai bien de la peine à le décrire. Une effroyable aquarelle poétique. Ce sont ces trois mots qui me viennent à l'esprit. Effroyable parce que le sujet est la déshumanisation qu'entraîne la torture. Celle du supplicié, celle du bourreau, celle des témoins. Cet effacement de toute humanité, de toute compassion est formidablement rendu par Emilienne Malfatto. Et en même temps vacille au fond de chacun cette petite flamme fragile, cette nostalgie d'humanité.
Aquarelle car nous sommes en présence d'une écriture très graphique. Tout au long du roman, on a l'impression oppressante de vivre dans ce décor monochrome où jamais ne cesse la pluie, où tout perd de sa consistance y compris le temps, où tout n'est ni noir, ni blanc mais camaïeu de gris.
Poétique car si la torture est omniprésente, l'écriture est un délice qui valse entre la folie, la pudeur, le détachement, la froideur… La souffrance est mise à distance. L'inavouable, l'inexprimable se cache dans les mots. Un vrai tour de force.
Et pourtant, j'en suis resté à trois étoiles. Ce livre est un ovni et je ne suis pas certain de pouvoir en conseiller la lecture. Il fait partie de ces ouvrages qu'il faut « rencontrer » personnellement. Je ne suis pas sûr non plus, de revenir à cette lecture. J'aurai trop peur d'en briser cette première impression si admirablement dérangeante.
En conclusion : voici un très beau roman sur le poids de la culpabilité qui ronge et détruit l'Homme dans ce qu'il a de plus précieux : la compassion. A ce titre, ce livre doit interroger notre monde si férocement individualiste.
Une chose m'a manqué. le personnage principal espère la délivrance et le sommeil de la mort mais il n'espère même plus la rédemption… c'est là encore malheureusement une peinture assez fidèle de notre monde.
Le colonel ne dort pas
Que sur toi se lamente le Tigre
J’ai beaucoup aimé le faite que tous les personnages ont parlé.
Que sur toi se lamente le Tigre
J’ai beaucoup aimé le faite que tous les personnages ont parlé.
Que sur toi se lamente le Tigre
Que sur toi se lamente le Tigre
Le colonel ne dort pas
Que sur toi se lamente le Tigre