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Tous les livres de Emmanuel Darley

La Farce va mal et les Farçais sont moroses. Il leur faut un homme providentiel. Tout rond, tout bon, Raoul Jambon et son slogan “C’était mieux avant !” récoltent les suffrages tandis que la traditionnelle famille Champagne voit son image ternie et le pouvoir lui échapper. Le fils Champagne, jeune loup aux dents longues, pousse les siens à infiltrer les Jambon, à adopter leurs idées extrêmes pour mieux régner à nouveau et réformer ainsi le pays, en toute discrétion.

Une fable cruelle et humoristique sur le pouvoir, la politique, le populisme et les élites qui savent toujours, à leur heure, reprendre les affaires en main.

Une fille et un garçon s’aiment. Ils se retrouvent tous les jours au pied d’un arbre. Ils se sentent, ici, à l’abri du monde. Un monde injuste, un monde bruyant, un monde hostile. Et si tout changeait, et s’ils ne revenaient plus, et s’ils vivaient dans cet arbre ? Ils grimpent et au cours de cette ascension, ils atteindront la lune. Un gardien solitaire la leur fait visiter, il y a même un palais. C’est incroyable, la terre vue de là-haut. Mais vivre sur la lune, est-ce si simple, est-ce si gai

Bella et Tallula habitent deux villages voisins séparés par un bois. Elles se sont rencontrées à la piscine et sont devenues amies. Mais une guerre civile éclate, propage la haine, ravage les villages, détruit les écoles et la piscine. L'une et l'autre, de chaque côté du bois, écoutent les récits de leurs frères soldats et se rappellent les moments passés ensemble, s'inquiètent de savoir si un jour, elles se retrouveront, continuent par la pensée à se parler. Les frères leur disent d'oublier une amitié devenue impossible. Obstinément, elles refusent.

L'enfant-homme est enfermé. C'est un assassin. Il est puni. Dans la prison, il travaille à fabriquer des Schtroumpfs, il joue au foot, il nettoie les cabinets, il a des relations tendres et violentes avec son surveillant dit « le gros », avec ses compagnons. Ses visions l'accompagnent : sa mère, la femme aux multiples noms, son fils. Mais au fait, où sommes-nous? Est-ce bien une prison? Ce petit garçon est-il vraiment un assassin? Ces femmes sont-elles sa femme? L'enfant a-t-il vraiment existé? Ce sont des rêves peut-être, ou leur projection dans un présent douloureux, vide jusqu'à l'absurde.

On est en limite, on est dans tous les endroits à la fois, dans tous les temps : l'enfance, l'âge adulte ; dans tous les états : folie et mort, amour et violence.

Je suis sorti du village en prenant le chemin du lavoir, progressant d’abord dans l’obscurité, puis peu à peu, le jour venant, en dépassant le stade et en franchissant la voie ferrée près du silo, j’ai commencé à distinguer les alentours, dans la lumière laiteuse de l’aube. J’ai suivi les rails, j’ai avancé vers la ville, et avant la rivière, avant le pont de bois, j’ai regardé derrière moi, le village sur la colline, l’église le coiffant, les maisons autour et le château d’eau tout au fond, sur la ligne d’horizon. Je m’en allais, je prenais le chemin de l’ouest, le chemin de la mer.

Quelques voix dans une ville assiégée.

D’autres, à l’extérieur, menaçantes.

Puis le chaos qui recouvre peu à peu chaque chose. Et, pendant de longs mois, des ombres qui tentent de résister et de survivre. D’autres, tout autour, sur les collines, occupées patiemment à faire, en bas, le vide – à nettoyer.

Un des malheurs : la guerre, celle qui ressuscite brutalement de vieilles histoires de terre, de terre d’ancêtres, pour déchaîner sa jubilation morbide.

La force d’évocation de ce récit tient toute dans le refus de l’émotion et, surtout, dans l’originalité de la langue qui porte cet univers halluciné.

Ils racontent dans quelles circonstances ils sont arrivés et vivent ici, au "pays Bonheur" (ainsi le nommaient-ils, quand ils étaient encore là-bas). Ou bien ils rêvent de notre Eldorado et se préparent au grand départ. Ils savent plus ou moins les conditions, les intermédiaires, les passeurs, les tarifs, les multiples dangers. Car beaucoup échouent. Se font prendre ou dépouiller. Ou meurent en chemin. "Tu ne parles pas bonheur ? Pas un mot ? Difficile, ça va être pour toi. "A qui dit-on cela ? So-koto ? Cachemire ? Ou Karachi ? Ou Lagos ? Ils sont clandestins, simples toponymes dans cette histoire qui les écoute ou les prend à témoin. Et leurs récits convergent, s'amplifient, s'entrelacent comme les multiples ramifications du flux migratoire. Tous ensemble ils forment un grand chœur narratif à la langue bouleversée et puissante, qui nous invite à entendre la pulsation même de leur peur et de leur espoir. De leur bonheur parfoi

Droit devant lui, d'un pas régulier, un homme, A, marche suivant une prédiction qui lui a été faite "au départ" : Rencontre un cycliste et après on verra…Son trajet le mène droit à la rencontre d'un homme figé, immobile ...un Ming, B, qui, lui ne peut pas bouger tant qu'il n'a pas reçu "le signe", mais A doit avancer et rattraper le temps, s'il veut croiser son cycliste. Il reprend donc sa quête, chargé de transmettre le bonjour aux Ming qu'il pourrait dépasser. La rencontre de ces personnages, loin d'opposer celui qui poursuit un but et celui qui attend, les unit dans une même interrogation : comment vivre ?

Qui va là ?

Un homme s'introduit dans un appartement où il dit avoir vécu seul avec sa mère après le départ de son père. Il prend possession des lieux en racontant son histoire et finit par faire comme chez lui, déambuler, manger, prendre une douche... Apparemment, il aurait quitté les lieux quelques années auparavant pour aller travailler en région parisienne, où sa mère l'aurait suivi pour mourir peu après dans une maison de retraite. Depuis, il aurait erré de gare en gare, se saoulant, écoutant le sommeil des gens dans les wagons de nuit tenant toujours près de lui l'urne contenant les cendres de sa mère, jusqu'au jour où il les aurait perdues en gare de Limoges.

Alors que la vie de cet homme nous fait osciller entre pitié et crainte, il corrige l'histoire : en fait non, quand il est parti d'ici, sa mère vivait encore avec son père, lui fuguait régulièrement et ne, pouvait rien dire à son retour. Et il ne savait pas de qui était l'urne qu'il avait trouvée un jour en revenant une nouvelle fois. Et puis, était-ce bien ici finalement ? Une fois restauré, lavé, habillé d'un costume neuf, il avoue ne pas être vraiment celui dont il parle. Il sort plusieurs papiers d'identité différents. Il adopte la dernière en date, celle du propriétaire de l'appartement, et s'en va comme il est venu.

Pas Bouger

Un personnage A suivant sans cesse une ligne droite rencontre un personnage B. Le premier n'est que mouvement. Le second immobilité. Chacun à sa façon attend quelque chose, un signe. Pour changer. Devenir.

Droit devant ou pas bouger, deux points sur une ligne font connaissance, échangent des bouts de vie. Chacun dans sa langue d'origine.

Longtemps on passe tout contre ces hommes et femmes qui dans les rues sont inutiles. On les regarde, on tend l'oreille. Longtemps on garde à portée de main, un bout de journal, un fait divers, un homme à l'amour irraisonné. Un jour on réunit les deux, on trouve le lien et qui les unit et de ce lien naît Une ombre : un homme, dans une rue, immobile, le poids d'un immeuble contre son dos, le poids d'une trop lourd secret sur les épaules. E.D.

Emmanuel Darley nous propose un e œuvre qui se situe à la jonction du théâtre et du récit. Après avoir écrit plusieurs romans et une première pièce, Badier Grégoire, il réalise ici le désir de façonner une écriture où se conjuguent à merveille le romanesque et la parole dramatique

Dans le coin déserté d'une gare anonyme, des êtres tentent de survivre, se préparant à l'hiver imminent. Grâce à la solidarité de ces "indigents", l'humanité résiste à la déchéance et à la honte.

Un immeuble, une nuit. Des couples suspendus à un bruit, surveillant, espionnant. Deux vieilles soeurs qui traficotent chez elles, ressassant les années, les obsessions et les rancoeurs. Et puis un homme, caché, clandestin, errant dans la cage d'escalier. Guettant, écoutant aux portes. Sachant tout de chacun. Tendant la main pour oublier un temps la solitude.

Une pièce ou le Théâtre peut tout, faisant coexister dans un même espace-temps trois réalités déformées par l'angoisse de la nuit, la privation des sens, l'égoïsme de chacun. Des personnages émouvants empêchés par leur propre aveuglement de s'ouvrir au monde des autres.

Maurice et André travaillent dans l'usine des frères Klang. Les machines ont été supprimées, trop chères. Désormais nos deux ouvriers fabriquent des Klangs à la main ! Une tâche rigoureusement imbécile, mais bientôt c'est leur tour d'être remerciés pour être remplacés par une femme – c'est moins cher ! – et puis bientôt, elle aussi, dehors, remplacée par d'autres, ailleurs, très très loin… À leur suite, on découvre « le monde merveilleux de l'insécurité sociale, de l'administration. Le bonheur des stages, des formations et des remises à nivea

Flexible, hop hop ! : Un et Deux sont employés chez Interklang, l'usine où l'on produit les meilleurs Klang ! du marché. Pourtant, même sans machine et avec toutes les aides possibles, c'est encore trop cher pour leurs patrons. La pépinière de réinsertion pourra-t-elle les aider à trouver la solution ? Etre humain : un homme entre dans une classe d'école maternelle, une ceinture d'explosifs à la taille. Il noue des rapports à la fois tendus et tendres avec l'institutrice et les enfants, qui l'ont nommé "monsieur Cagoule". Autour de son récit s'entrecroisent les voix de sa sœur, de l'institutrice, du négociateur et de sa "taupe".

Un homme est au centre, comme sur un piédestal, objet de toutes les attentions, des regards et de la parole qui circule. Autour de lui, un petit groupe, ceux que l'on nomme Les proches. Et puis un chœur.

De lui on parle, on questionne, on se souvient, on murmure. Et se dessine ce qu'il était, ce qu'il faisait. Ce que désormais il sera.

Car son corps change, sa parole est au dedans. Lorsqu’il est au bout, alors il dit, ses jours, les derniers et puis les autres, plus anciens, avant. Du temps où encore, il avait un nom.

Cinq courts textes, écrits par cinq auteurs sous forme de contes ou de poèmes-comptines. Chacun a pour héros un des doigts de la main qui est une petite société d'êtres différents mais tous bien utiles. Il y a LE POUCE malheureux, rejeté des quatre autres mais qui saura prouver aux autres qu'unis on est bien plus forts (texte de Camille Laurens). L'INDEX, lui est un joyeux orgueilleux qui explique tout ce qu'il sait faire (texte de Jean Debernard). LE MAJEUR lui, a un problème de taille mais il a une amie la coccinelle dont il aime beaucoup les chatouillis et puis, avec lui, on peut jouer à compter, on peut jouer à jouer avec les mains (texte de Michaël Glück). L'ANNULAIRE, lui, est un paresseux qui observe les autres mais saura mener Manuel à l'amour puisque c'est lui qui porte l'anneau (texte de Laurent Gaudé). L'AURICULAIRE en a assez d'être chargé de tous "les tracas" dans le nez, dans l'oreille (texte d’Emmanuel Darley).

Martine, mère de famille et f mime active, feuillette tout le long du jour son magazine préféré afin de savoir enfin continent devenir une "femme actuelle". A la quarantaine, elle songe qu'il est temps pour elle de faire le nécessaire pour rendre ses journées les plus harmonieuses possible. Heureusement pour elle, un spécialiste et ses acolytes sont la à chaque page, à chaque rubrique : psycho-couple. mode. cuisine, beauté. jeux. Ainsi coachée et confrontée aux témoignages de femmes formidables, élevée grâce aux pensées de Paulo Coelho, Martine devient de plus en plus "actuelle"...

Présentation de l'éditeur (Acte Sud) :

Le Mardi à Monoprix : Depuis quelque temps, chaque mardi, Marie-Pierre vient s’occuper de son père. Elle passe la journée avec lui. Elle lui fait son ménage, son repassage. Ils causent un peu, de tout, de rien. Elle est belle, Marie-Pierre. On ne voit qu’elle. Tous les yeux sont tournés vers elle quand elle fait les courses avec son père, le mardi matin.

Avant, il y a de ça du temps, Marie-Pierre, son nom c’était Jean-Pierre.

Rouge : Toute une bande, des gars et des filles. Unis par la même haine de l’argent, de l’omniprésence de l’argent, du capitalisme sans limite d’aujourd’hui, ils décident de passer à l’action. De devenir Rouge.

Monsieur le : Des blondes, des brunes, des rousses, Monsieur le ne pense qu’au sexe. Madame, de son côté, sait ce qu’il en est mais préfère jouer le couple bonheur. Monsieur le est bien entouré, ses amis les puissants partagent ses habitudes… Ils croient pouvoir se ficher de tout, même de la justice.

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