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Commentaires sur ses livres

Erik Rémès

Par ChezVolodia le 17 Mars 2020 Editer
ChezVolodia
C’est un livre trash, un dégueuloir jeté à la face des bien-pensants, éructé avec force, rage et colère mais également émaillé d’un humour acide, de celui qu’on redoute, mais qui a les accents de la vérité.

Que l’on aime ou pas Erik Rémès on n’en attendait pas moins de lui. Fidèle à son image d’auteur sulfureux qui n’hésite pas à mettre le doigt là où ça fait mal, sans souci du politiquement correct. Il en aurait été autrement, nous aurions été déçus. Mais force est de convenir qu’il a raison sur bien des points. Pas sur tout bien sûr, mais sur une grande partie de ce qu’il énonce dans son livre, et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il connait parfaitement son sujet et le milieu homosexuel, ses pratiques y compris les plus inavouables.

Toutefois, comme toutes ces grandes figures de la scène homosexuelle qui ont connu la répression, qui ont milité pour la libération sexuelle, pour enfin de nos jours accéder à une reconnaissance, sinon à une acceptation (loin d’être totale, mais du moins partielle) d’une sexualité que l’on dit particulière, il n’exprime par sa voix que les résultats d’une analyse de la société vue que par une certaine communauté d’homosexuels. Erik Rémès est resté bloqué dans les années 80.

Je lui reproche un peu d’avoir une opinion toute faite et méprisante sur une partie de la communauté homosexuelle, celle qu’il qualifie d’intégrationniste, qui se suffit des droits obtenus et n’aspire qu’à vivre comme les hétéros, des petits bourgeois. Le monde évolue, les gays aussi, et le fait de vouloir se fondre dans la société fait partie de cette évolution, et puis tous les gays ne pense pas cul. Tous les gays ne fréquentent pas le milieu, spécial et assez glauque, il faut bien l’avouer, des hardeurs, des slameurs. Tous ne pratiquent pas le sexe pour le sexe. Tous n’ont pas l'ambition d’être des performers, des bêtes de sexe (pour ma part, je préfère jouer les jardiniers que les maquignons), de se droguer au risque de friser la folie pour atteindre une extase sexuelle ou plus simplement pour oublier leur solitude. Et enfin, ce n’est pas parce qu’on est homosexuel qu’on doit pratiquer la sodomie. A y est le mot est lâché ! Hum oui d’après Erik Rémès un hétérosexuel est un gay qui ne pratique pas la pénétration ??? Ah bon ! Faut-il entendre qu’un homosexuel qui ne la pratique pas est hétéro ? Je le rassure, on peut aimer son compagnon, se donner, être à lui corps et âme sans cette pratique, si si puisque je vous le dis ! Hum on peut être sexologue et n'avoir pas toutes les réponses, l'amour est complexe ....

Dans ce livre, Erik Rémès aborde tous les sujets de ce qu’on pourrait appeler la culture LGBT, y compris le plus important à mon sens, la santé. Quand on parle santé on parle prévention et là les sujets qui fâchent ne manquent pas. Des campagnes de prévention inadaptées aux nouvelles pratiques, et à la recrudescence des maladies qu’on croyait disparues telles la syphilis, l’hépatite C, et autres maladies vénériennes. Le bareback abordé de façon ligth où j’ai bien compris qu’il s’agissait de donner au partenaire le libre choix de mettre ou non une capote, et surtout ne pas le déresponsabiliser quant au choix qu’il fera. Alors là même si je comprends sa pensée, je n’approuve pas. Beaucoup sont inconscients, pour diverses raisons : alcool, drogues, amour, confiance. Il faut le reconnaître car malheureusement, ça existe, des salopes qui ont attrapé une cochonnerie et se fichent de la refiler si ne n’est par égoïsme de leur propre plaisir, par inconscience ou bien par vengeance. Donc là contrairement à Erik Rémès je suis pour traîner ces personnes en justice. Quand aux nouveaux traitements permettant à un séropositif de ne plus être contaminant petit bémol, ils ne préservent pas des autres maladies vénériennes donc… !

Ce livre est intitulé roman, j’ai toutefois la nette impression que la fiction et la réalité s’entrecroisent voire se confondent, car on ne peut nier la réalité des événements historiques et manquer de faire des rapprochements, que l’auteur laisse échapper intentionnellement ?

Certains passages sont non seulement difficiles à lire, mais à comprendre, notamment l’intimité de son couple dévoilée, ses violences dues à la consommation de drogues, ses plans culs, d’autant que l’auteur est titulaire d’une maîtrise de psychologie…Mais j’ai aimé ce livre, malgré son manque de style, ses redites, ses outrances, sa violence, sa part d’exhibitionnisme, son indécence, mais également et surtout pour sa sincérité.
A propos du livre :
Le 21e Sex
Le 21e Sex
Par Cloclo3942 le 15 Juillet 2016 Editer
Cloclo3942
Un bon livre pour apprendre à faire les massages, et pas que érotiques
Par PlumKreole le 30 Août 2015 Editer
PlumKreole

Je remercie Erik Rèmès pour l’envoi de ce service presse.

« Un livre trash, sans détour, à ne pas mettre entre toutes les mains, quoique … »

En commençant ce livre, j’ai eu l’impression de faire du Voyeurisme, de pénétrer dans un univers qui m’était totalement inconnu. Vous me direz –Tu lis du M/M, non ? Donc pas si inconnu que cela … Que nenni ! Là, on parle de Sexe Homo, pur et dur, bien raide avec tout le tralala qui l’accompagne.

Donc j’aurais pu stopper ma lecture aux premières scènes qui m’ont fait faire les gros yeux, rougir et ouvrir la bouche prête à gober les mouches. BEN NON ! Pourquoi me direz-vous. Je suis Curieuse, trop peut-être ?
L’auteur a su titiller ma curiosité. J’avoue que ces discours moralistes sur les lois françaises, ces défauts et ses aboutissants, bla bla bla, m’ont un peu gonflée, et que mon côté « hétérote ouverte d’esprit » s’est un peu insurgé ; mais à côté de cela, il y a pas mal de vérités vraiment bonne à dire et à méditer, tralalalala !!!

Berlintintin a su titiller ma curiosité. On suit au fil des pages, la vie d’un mec, un Vrai, un dur, qui souffre, qui tombe bas, qui succombe aux pires tentations, qui vit de débauches, qui se cherche, qui se fait du mal pour se sentir vivant, qui rencontre l’amour, et qui se bat pour le conquérir, le garder, et le reconquérir…car il n’y a pas a tortiller du cul, ce Berlintintin, c’est un amoureux de l’amour !
L’amoureuse de l’amour que je suis, à adoré la 4ème partie de ce bouquin. Quelle belle déclaration d’amour

Pour finir, je reprendrai juste ces quelques mots de l’auteur : « Quand il ne reste qu’une chose, il ne reste que l’amour »

Voilà là un livre à ne pas mettre entre toutes les mains, quoique. Il vous permettrait peut-être d’avoir une plus large ouverture d’esprit, et d’accepter que l’amour ce n’est pas deux êtres, mais deux cœurs qui s’aiment !

Ma note : 4/5
A propos du livre :
Le 21e Sex
Le 21e Sex
Par ChezVolodia le 4 Mai 2020 Editer
ChezVolodia
Le titre déjà fait scandale au point que je me suis demandé si j’allais lire ce livre ou bien le classer d’office dans les non « fréquentables ». Erik Rémès se veut choquant, et ne s’embarrasse pas de faux semblants et de fioritures. Les termes sont crus et efficaces, et le titre de son livre peut attirer les amateurs de livre de culs, soit en dégoûter les autres.

Dans ce livre, l’auteur met en scène l’histoire de Berlin Tintin, et Berlin Tintin se raconte,
Spoiler(cliquez pour révéler)
son enfance, son abandon, ses problèmes de genre, sa relation déjà bien affirmée au sexe, malgré son jeune âge (11 ans), et ses relations d’enfant déjà adulte avec des ouvriers maghrébins . Sa séroposité à 18 ans qui découle d’une trahison et sa tentative de suicide..;

« A 19 ans alors que 15 000 cas de sida ont été recensés en France, et estimant qu’il n’a plus rien à perdre , il fonce, ailes déployées prêt à se consumer. Conscient d’être porteur VIH, mais voulant se sentir léger, recherchant comme tout jeune de 20 ans le plaisir, le plaisir de la chair, l’oubli, se vouloir « heureux coûte que coûte, être positif avant d’être séro-machin quelque chose », il hante les parcs, les toilettes publiques de la ville, s’enfonce dans les back rooms à la « recherche de sexes et de trous torrides ». Il se libère de cette honte d’être un pd, un enculé. Vivant dans le Marais, il n’a aucun problème pour draguer et trouver des partenaires;

Il s’initie à toutes les pratiques et se livre à tous les excès pour oublier sa solitude pour se prouver à lui comme aux autres séronégatifs qu’il vit, pleinement conscient, mais affranchi de toutes les barrières morales. Il est libre d‘être différent. Il n‘est pas une statistique. Lui il est vivant.

Ce qui choque dans son livre, à part le le titre, c’est qu’il ne met aucun tabou a décrire le « milieu gay » pas celui des gentilles folles dont la passion résident uniquement dans le paraître, mais également les endroits plus sombres de l’esprit et de la perversion humaine, dans les plaisirs Sado-maso avec tout ce que cela comporte de pratiques, et pour certains d’aversion. De risques assumés et acceptés pour beaucoup, la sécurité-santé étant sacrifiée sur l’autel des plaisirs physiques.

Lorsqu’Erik Rémès a présenté son livre dans une émission télévisée d’Ardisson ou était également invité Didier Lestrade, et que ce dernier lui reprochait son apologie du bareback, et entre-autres, d’avoir contaminé sciemment ses partenaires, Rémès a répondu qu’il s’agissait d’un roman, et qu’il s’agissait pour lui de décrire la réalité du terrain afin de mieux s‘en préserver... Hum, je dois avouer qu’à la lecture de son livre, il m’est arrivé de douter, de me demander si je lisais une fiction ou une autobiographie romancée de la vie de l’auteur.

Connaissant par leurs textes les deux auteurs et ayant rencontré physiquement et lui ayant parlé Didier Lestrade, il faut convenir que c’est un militant pur et dur, à grande gueule, qui ne fait aucune concession, à raison sans doute, puisque lui aussi séropositif. Je ne connais Erik Rémès pour l’instant que par deux trois livres que j’ai lu de lui, et par quelques contacts internet en tant qu’admirateur de ses peintures, et je dois avouer que j’ai été agréablement surpris.

Sans m’attendre à un m’as-tu vu, je m’attendais à une personnalité plus marquée. Non qu’il n’en ait pas, j’ai juste été surpris par sa simplicité, sa discrétion, sa gentillesse et une certaine réserve sur sa vie privée que je n’imaginais pas. Tout cela fait que j’ai beaucoup de mal à l’imaginer percer des préservatifs pour contaminer sciemment ses partenaires. D’un autre côté, il dit fréquenter les endroits de dragues ou il « baise » sans préservatif…. Et de l’autre, il est marié et n’a pas contaminé son partenaire (même si depuis il a divorcé). Donc l’un serait-il un défouloir pour éviter de souiller l’autre ???

Bref, ce livre est intéressant à plus d’un titre, non seulement pour « naviguer » dans le monde de l’amour gay, mais également pour les interrogations qu’ils soulèvent, à chacun de trouver les réponses à ce qu’il cherche.
A propos du livre :
Je bande donc je suis
Je bande donc je suis
Par ChezVolodia le 9 Mars 2020 Editer
ChezVolodia
Comme certainement beaucoup, à l'annonce d'un nouvel écrit d'Erik Rémès, je trépigne d'impatience jusqu'à sa parution et, dès l'ouvrage entre mes mains, je le compulse de manière fébrile et frénétique, ne doutant pas que celui-ci va provoquer en moi nombre de réactions, bonnes et/ou mauvaises. Et là, je ne suis pas déçu par ce livre qui regroupe diverses chroniques relatives aux débats et avancées de la cause homosexuelle dans la Société. Celles-ci ne sont pas classées par date mais par thème et ont été publiées dans la presse généraliste et LGBT.

Je tiens dans un premier temps à remercier l'auteur d'avoir récapitulé pour nous, nés en 1980 et après, l'histoire et les événements qui ont marqué l'avancée de nos droits en France et ce, avec une précision toute journalistique. Ce livre est une mine d'informations que nous n'arrivions pas à obtenir en totalité, la plupart nous arrivant tronquées et/ou déformées pour diverses raisons, voulues ou pas ? la question reste ouverte.

Il fallait s'y attendre, Erik Rémès en bon provocateur aborde des sujets qui fâchent, voire trash. Mais on ne peut lui en vouloir, car c'est sa marque de fabrique, le grain de sable dans la mécanique bien huilée et lisse voulue par la communauté homosexuelle. Peu lui chaut de donner une mauvaise image de la communauté gay, qu'il connaît mieux que tout autre - traînant ses guêtres là ou le commun des mortels n'a pas forcément ses entrées, ni l'envie de s'y rendre lorsque par hasard il en a entendu parler, à moins de faire preuve d'une curiosité à toute épreuve - Erik Rémès est un révélateur de conscience et peu importe si ladite communauté est égratignée; Il nous rapporte des comportements, des situations complexes, voire choquantes, mais sans jamais s'ériger en juge sur ce qu'il voit et/ou sur ces auteurs. Il nous explique les différents moyens, de s'exprimer, d'aimer, de sociabilité, d'exister enfin des divers groupes gays auxquels il s'est "frotté".

Il ose tout et peut se le permettre, rien ne le retient. Lorsqu'il ouvre la bouche ou laisse courir sa plume ce n'est pas pour débiter des fadaises en voulant nous faire croire qu'elles sont d'importances comme certains le baille. Il a des choses à dire et fait mouche à tous les coups, c'est ce qui fait l'intérêt de ses livres. Il écrit bien, même si ce n'est pas de la littérature à proprement parler !

Il existe aussi, des pages ou le masque du provocateur tombe pour laisser place à un homme extrêmement humain dans ses réactions, ses coups de gueule, mais également dans sa sensibilité et qui, quoi que l'on puisse en penser, laisse paraître son respect de l'autre, de l'amant du moment.

Les dernières pages de Pride qui regroupent les pensées, les réflexions de l'auteur, ses questionnements, sont particulièrement belles et bouleversantes de sincérité et de profondeur. Elles nous sont balancées avec humour et citronnées en diable, mais au travers de celles-ci on sent que l'intéressé a pour objectif de vivre avec intensité et s'est fait un compagnon de son virus. Ce virus qui a détruit une partie de sa vie, mais qui lui a permis de vivre l'autre en transformant sa personnalité, de devenir "quelqu'un", un écrivain du sida ! Virus mortel à l'origine et qui s'est transformé en maladie chronique. Le sida générateur de célébrité et source de revenus, qui l'aurait cru, il y a quelques années !

Reste que si j'ai aimé ce livre, cela ne m'empêchera pas de publier un droit de réponse sur certains points évoqués par Erik Rémès qui ont provoqué mon ire et ne l'ont pas fait retomber.......
A propos du livre :
Pride
Pride
Par ChezVolodia le 8 Mars 2020 Editer
ChezVolodia
Je ne sais quoi penser et du livre et de son auteur. Ce livre est une monstruosité, de par les faits qui se sont déroulés et de la façon dont-ils sont relatés par Erik Rémès. Malgré que je ne sois pas parvenu à "entrer à l’intérieur" de l’histoire en me mettant dans la peau de l‘un ou de l‘autre des protagonistes, j’en ai ressenti les effets, malsains, dévastateurs. Je l’ai lu en 'spectateur" ce qui n’est déjà pas si mal ; Et nombre de fois le dégoût m’est venu aux lèvres au point d’avoir été dans l’obligation de faire des pauses, en fermant le livre, que j’ai réussi à finir par "épisodes".

Ce récit est, nous dit son auteur, un fait divers réel, largement interprété
Spoiler(cliquez pour révéler)
(là il s’est défoulé dans le nauséabond, dans tous les sens du terme) et la description de ce qui je suppose a été portée à la connaissance du public m’a remplit d’effroi. De même, j’ai du mal à saisir comment Erik Rémès a pu écrire un tel livre. Dans quel état d’esprit était-il ? car il semble mettre une certaine complaisance à décrire et à faire des redites sur les perversités de Ralf, l’auteur des faits, et les supplices endurés par sa victime, consentante peut être à mourir, mais certainement pas à être suppliciée d’une telle façon, faisant preuve parfois d’un humour noir plus que douteux dans les dialogues qu’il leur fait tenir ou qu’il leur impute. Et je ne parle pas des recettes de cuisine développées dans le livre à base des chairs et des abats du malheureux Karl-Heinz.

Ralf (l’auteur des faits comme l’auteur du livre Erik Rémès, insistent sur cette mise à mort désirée, voulue, et donnée par amour. Hum, alors si c’était le cas, comment interpréter ses phases de lucidité dans lesquelles il reconnaît et dit la "puanteur" de telle partie du corps de son amant, les mots orduriers qu’ils lui lancent à la figure alors qu’il est en train d’agoniser..

Erik Rémès relate les faits en se plaçant parfois en spectateur, puis en se mettant en scène dans la peau du supplicié, le faisant parler, en lui prêtant des propos sortis tout droit de son imagination. Puis, il se place dans la tête du bourreau et essaye de nous entraîner dans son univers de perversion et de folie meurtrière.

C’est sans doute ce qu’il voulait démontrer en nous relatant cette sordide histoire. C’est un livre choquant par la cruauté des faits, mais également par la délectation que prend l’auteur à vouloir nous faire pénétrer le sens d’une folie meurtrière et dans sa description. Son parcours intellectuel et professionnel y sont certainement pour quelque chose.
Par Nymphetamine le 1 Avril 2018 Editer
Nymphetamine
Je préfère vous prévenir tout de suite : il faut avoir des sacrés tripes pour tenir jusqu'à la fin. Non seulement c'est gerbant, mais en plus c'est tiré de faits réels.

Quand on voit que ça commence par un cinglé qui poste une annonce pour manger quelqu'un... et qu'il a des réponses... on se dit que cette lecture ne sera pas ordinaire... ni jolie.
Par AA71 le 27 Décembre 2017 Editer
AA71
oh mon dieu !
ce livre m'a fait froid dans le dos et je n'ai même pas réussi à le finir, je n'en veux même plus d'en ma bibliothèque
brrrrrrrrrrrr !
Par melicia le 30 Octobre 2017 Editer
melicia
Sous cette jolie couverture coquine se cache un petit guide à moins de 10 € qui nous apprendra tous les secrets possibles pour un super massage érotique, tous les gestes et les techniques à connaître pour un beau moment coquin avec son ou sa chérie... L'auteur Erik Rémès, masseur de métier, nous livre toutes les astuces avec La musardine.




http://books-story.wixsite.com/books-story/single-post/2017/10/17/OSEZ-LES-MASAGES-EROTIQUES


Par helene31 le 27 Février 2014 Editer
helene31
Oui c'est un peu coquin et ça peut donner des idées. C'est vrai que le massage 'était pas mon truc et maintenant, quand il m'arrive d'y penser, je fait le rapprochement avec le livre.
Par philippedu93 le 17 Mai 2013 Editer
philippedu93
Très intéressant, on a beaucoup pratiquer avec George...
A propos du livre :
Guide du sexe gay
Guide du sexe gay
Par zoeyredbird13 le 24 Juin 2012 Editer
zoeyredbird13
j'adore cela oh yeah petite penetration
A propos du livre :
Sexe guide
Sexe guide