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Tous les livres de Fausto Paravidino

"La famille M., composée de Luigi (le père), Marta et Maria (les deux filles) et Gianni (le fils cadet), vit à la périphérie d'une petite ville, au bord d'une route nationale. Luigi a perdu sa femme et sa mémoire s'altère. Gianni ne sait pas quoi faire de ses dix doigts et Maria, elle, se demande si son Fulvio l'aime vraiment ou s'il ne lui préfère pas son meilleur copain Fabrizio.

De quiproquos amoureux en mésaventures tragi-comiques, ce petit monde en pleine perte de repères et de valeurs évolue sous le regard d'un médecin qui veille à la santé physique et psychique de chacun.

Particulièrement attaché à la famille depuis la mort de la mère, il dresse un tableau général, plein de tendresse, de désabusement et d'humour de ce qu'il nomme la "maladie de la famille M."."

( résumé du site 104.fr )

Présentation de l'éditeur (L'Arche) :

La pièce traite de la répression qui s’est abattue sur les manifestants alter-mondialistes lors du sommet du G8 à Gênes au printemps 2001. Répression illustrée par la mort du jeune Carlo Giuliani, tué par un carabinier. Gênes 01 est structuré par les voix de personnages qui commentent les événements, se les rappellent, et mènent l’enquête. Ces voix construisent un espace de discussion sur la scène.

Né le 15 juin 1976 à Gênes, Fausto Paravidino a stupéfié l’Italie par l’étendue de son talent : acteur sur les planches et à l’écran, traducteur de Shakespeare et de Pinter, scénariste et, avant tout, auteur de pièces où, à chaque fois, il expérimente une nouvelle forme dramatique. Les deux pièces nous parlent en effet, mais sur deux modes totalement opposés, du même sujet : la répression qui s’est abattue sur les manifestants alter-mondialistes lors du sommet du G8 à Gênes au printemps 2001. Répression illustrée par la mort du jeune Carlo Giuliani, tué par un carabinier. Gênes 01 est structuré par les voix de personnages qui commentent les événements, se les rappellent, et mènent l’enquête. Ces voix construisent un espace de discussion sur la scène.

Peanuts n’a pas pour objet précis le sommet du G8. Mais la pièce se concentre sur une bande de copains, en amont et en aval du sommet. Elle est écrite en courtes scènes, comme les planches de la bande dessinée Peanuts, dont les personnages sont des avatars. La recette est surprenante, et à la fin, il y a des méchants et des victimes – mais où sont les bons, où sont les justes ?

Les choses ne sont jamais aussi simples qu'elles menacent de l'être, nous prévient Fausto Paravidino qui porte dans cette comédie conjugale deux héros de la bourgeoisie.

Ce que Pina Bausch observait comme des allers-retours permanents entre homme et femme, se retrouve ici : on se précipite vers l'autre pour l'étreindre et on le laisse "tomber" parce que sa proximité envahit notre zone de tolérance. Quelle direction peut-elle être la plus viable ?

Un peu à la manière de Feydeau, Paravidino élabore Exit avec tous les ingrédients traditionnels : des caractères ordinaires, incarnés dans des situations quotidiennes, une intrigue qui tourne autour du thème de l'amour, et des dialogues pleins d'esprit. Ce qui surprend, c'est la dimension expérimentale, la « méthode Paravidino » qui s'inspire du comique de répétition et du principe de flash back, pour faire alterner narration et dialogues, répétitions et variations, reliant les espaces adjacents.

Deux Clowns qui jouent aux dés. La nouvelle pièce du jeune dramaturge italien, Fausto Paravidino, s’annonce comme une clownerie, mais il n’en est rien. La Boucherie de Job se présente comme un drame familial sous fond biblique, entre tragédie de rédemption et farce burlesque. Un père, Job, fait faillite et perd sa boucherie à laquelle il tient comme à sa propre vie. Refusant d’accepter le monde tel qu’il est devenu, il décline l’aide financière de son fils, rentré de Boston. Toutefois, celui-ci réussit à bâtir une petite fortune en pariant sur la faillite paternelle, pour éponger les dettes et soigner sa sœur. C’était sans compter sur l’aide du garçon-boucher, pourtant licencié pour motif économique, et amoureux de la fille amnésique. Les valeurs et les systèmes s’affrontent. Désormais, le Dieu argent domine le monde. Jusqu’au jour à la mère meurt et le père disparaît avec la fille. Qui parviendra à les sauver ? Le garçon-boucher avec son petit pécule honnêtement gagné ? Le fils avec ses hommes de main et ses pots de vin ? Qui tombera en disgrâce ? Qui sera pardonné ? Et de surcroît, dans ce monde abandonné de Dieu, le pardon est-il encore possible ?

Comme toujours chez l’auteur génois, le burlesque fait se rejoindre dérision et désespoir, farce et tragédie sociale. Dans cette pièce où résonne la vanité de l’existence humaine, où les intérêts individuels l’emportent sur la justice ou l’honnêteté, Beckett n’est jamais bien loin et Brecht regarde en coin. Pour autant, Paravidino ne sacrifie en rien à la grande tradition théâtrale italienne dans laquelle il s’inscrit, de Goldoni à Dario Fo, en passant par Eduardo De Filippo. Un théâtre pour les comédiens, écrit par un comédien.

La Boucherie de Job de Fausto Paravidino est la première pièce produite par le Teatro Valle Occupato – Fondazione Teatro Valle Bene Comune, dont la première mondiale a eu lieu dans une mise en scène de l’auteur au BOZAR à Bruxelles, en 2014 suite à l’évacuation du Teatro Valle.

Un patelin paumé entre Gênes et Milan. La nuit. Boy rentre de boîte. Emboutit la voiture dans un arbre. Descend, fait quelques pas, et découvre, dans un fossé, le cadavre de la jeune Elisa Orlando. La fête endiablée commence. L’enquête, menée par un vieux flic en crise et deux affidés pas trop futés, met à nu parents dérivant, dealers et teenagers, flics, putes et pègre.

Nature morte dans un fossé décrit avec une précision médicale un monde où l’argent et la misère font couler sang et boue, sperme et sueur, larmes et vomissures. L’auteur, armé d'une connaissance solide de cet univers, fait la satire d’une jeunesse sans repères éthiques, logiques ou politiques. Une satire qui se lit comme le meilleur des polars.

En dénonçant les travers de son monde sans acrimonie, en faisant un poème de sa colère, en refusant de disjoindre morale et politique, Paravidino marche sur les traces de Goldoni et de Dario Fo.

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