Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 038
Membres
1 014 843

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tous les livres de Félicien Marceau

« Nous survolions le mont Blanc. Là, penchés au-dessus du pilote, au milieu du bredouillis de mots des radios, nous avons regardé le mont Blanc. Ces creux, ces bosses, ces arêtes, ces abîmes, cette lumière blanche, ce monde sans une âme et sans âme, c'était déjà ce que nous allions vivre, ces arêtes dures, froides et coupantes, c'était déjà notre amour, ma Creezy, notre amour nu, aride et furieux. Je ne le savais pas alors. Je le sais maintenant. Sur le dossier du fauteuil du pilote, j'ai pris ta main. Tu l'as retirée. Puis ta main est revenue. »

Homme contemporain, modeste employé parisien, troglodyte du métro, Magis Emile part à la conquête de la vérité.

La pièce nous fait revivre ses mésaventures. Ce sont celles de tout le monde : il trouve un emploi, le perd, en retrouve un autre, des femmes le repoussent, d'autres l'accueillent, sa famille le régale de scènes, il aime jouer aux cartes.

Mais, le chemin faisant, Magis découvre que le monde est gouverné par un système, que ce système est faux et que, dès lors, livré au hasard, l'homme est seul devant un univers clos comme un œuf.

Marié, Magis est trompé. Là, menée par sa logique, il va réagir en mettant le système de son côté et de manière à donner une illustration éclatante de sa doctrine. Criminel, Magis enfin s'insère dans la société, se voit béni.

Parce que, ce jour-là, ils sont deux à attendre un taxi et qu'il ne s'en présente qu'un, Pierre, plutôt que de céder sa priorité, propose à Françoise de l'emmener. C'est là, dans ce mouvement de liberté, que va commencer leur amour, d'abord en cheminant le long de l'itinéraire habituel des amants, ensuite en débouchant sur un carrefour où, impatients et marquant leur différence, les attendent le désir et l'amour. Ce choix, peu commun, dit-on, mais peut-être moins rare qu'il n'y paraît, cet amour insolite, Félicien Marceau nous les fait vivre avec une allégresse, avec une malice au travers desquelles apparaît un autre visage de l'amour, un autre visage de notre vérité.

La fine fleur de la société européenne, amoureuse de ce paysage magique, s'est fixée à Capri à jamais : le comte et la comtesse Satriano, Forstetner, riche Suisse inquiétant et bizarre, Vos, le peintre hollandais qui manie toutes les langues " mais les manie rudement ", Marjorie Watson, l'Américaine, Andrassy, jeune Hongrois sorti d'un camp de personnes déplacées de Naples et engagé comme secrétaire particulier par Forstetner, etc. Mais le personnage principal du livre est bien Capri qui agit sur chacun d'une façon subtile et surprenante, qui fait d'une lady une voleuse et d'un jeune homme ardent un abruti. Tous ces destins n'étaient-ils pas inscrits d'avance ? Ou plutôt ne convergeaient-ils pas vers Capri qui est leur accomplissement ?

Votez Rivet. Parce que, un jour, de sa fenêtre, elle a vu des gens lacérer une affiche, Alice a un élan de passion pour ce Rivet, jusque-là, pour elle, inconnu. Cette passion va durer. Lycéenne puis, du temps ayant passé, devenue manucure, Alice, de loin, suit le parcours de Rivet, ne manque aucun de ses passages à la télévision, lit les articles qui le concernent, applaudit sa réélection. Advient qu'ils se rencontrent. Rivet l'engage dans sa permanence. Rivalités, jalousies, violences, ennemis dans l'ombre, secret enfin révélé. Jusqu'à cette fête où, imposture et vérité confondues, l'amour prend tout, abat ses cartes et gagne. Félicien Marceau a écrit un roman grave et malicieux, un roman qui galope et où le souffle qui l'emporte est celui de la liberté.

Issus de la plus ancienne noblesse, les Saint-Damien ont décidé que la politique ne les intéressait pas. Dans leur belle demeure de Montpellier, ils traversent ainsi les guerres et les convulsions de notre temps avec une parfaite fraîcheur d'âme. Leur grande affaire, c'est l'amour. L'amour de Cédric et Emmeline, d'abord, et les embardées qui mèneront l'une en Espagne, l'autre à Paris dans les bras des danseuses des Folies-Caumartin. Les amours de leurs trois enfants, ensuite, eux aussi voués à des destins surprenants. Il y a enfin la secrète Marianca, attachée à la famille par des liens étranges et qui formera, avec Emmeline, un duo de femmes de tête prêtes à toutes les ,aventures.

Dans un style allègre et qui reste drôle jusque dans l'émotion, un roman déchaîné.

« L'oncle Émile me l'avait bien dit, un peu avant mon mariage : "Tu épouses une femme sans seins. La vie, un jour, te paraîtra un désert." C'est assez son genre, à l'oncle Émile, la sentence. Mais il avait raison. On n'imagine pas ce que ça peut vous manquer, des seins. Alors, de les avoir là, toute la journée... Je n'en pouvais plus. Là, c'est dit. J'hésitais, je tournais autour de mes phrases, je cherchais des raisons. Toute la raison est là : dans ce pull-over jaune. J'en rêvais. J'en parlais tout seul. Le soir, dans mon lit, ma femme contre moi, je voyais ce pull-over jaune. Denise n'était pas toujours en jaune cependant. Rien à faire, c'était le pull-over jaune qui me hantait... »

Félicien Marceau dont le Prix Goncourt 1969 a consacré la carrière de critique, de romancier, d'essayiste et d'auteur dramatique, est aussi un conteur de grande race comme en témoignent ces « nouvelles italiennes », choses vues ou rêvées où paraît un aspect important du talent d'un grand écrivain.En de secrètes noces est une suite d'épisodes et de souvenirs qui tous se déroulent en 1943, tantôt comiques, tantôt dramatiques, les uns purement privés, les autres en rapport avec les événements historiques de cette année-là (chute du fascisme, armistice italien). Le narrateur raconte ses mésaventures, celles aussi des gens qu'il rencontre : un vieil homme en proie à son dernier amour ; un Vénitien qui assassine sa maîtresse, mais qui, dans le remue-ménage de l'armistice, n'arrive pas à se faire arrêter ; un espion ; un groupe d'otages ; un idiot de village qui impose à son patron un pacte saugrenu ; une petite fille qui terrorise un hôtel ; un colonel qui se cache dans les catacombes. Autant de romans qui composent en même temps un tableau d'Histoire et un curieux voyage à travers l'Italie, de Rome à Venise, de Bologne à Cortina d'Ampezzo, des Alpes aux Dolomites.

source : amazon

Redécouvrez toute la saveur de la "nouvelle" avec huit grand auteurs contemporains. Du fantastique à la tendresse, de l'effroi à l'ironie, de l'insolite à la cocasserie, huit récits étonnants, fascinants, qui ont pour auteurs : Mary Higgins Clark, Régine Deforges, Maurice Denuzière, Romain Gary, Patricia Highsmith, John Irving, Stephen King et Félicien Marceau.

Entre deux danses à l'Oasis, Nicolas exige cent francs de l'inconnu qui quémande l'honneur d'être présenté à sa cousine Marie-Jeanne. Honni soit qui mal y pense : il s'agit d'une plai-santerie.

Nicolas le facétieux a lu Nietzsche et ne souhaite que multiplier les expériences. Mais quelqu'un prend fort mal l'introduction de Ferdinand de Mesquechin dans leur cercle, c'est fosse Leperse qui veut épouser Marie-Jeanne. Comment se débarrasser de l'intrus ? Lui laisser régler l'addition, dit Josse. Or, loin de se dégoûter, Ferdinand paie, se ruine et « mange la grenouille ».

Nos jeunes gens se jugent responsables et se préparent à sauver Ferdinand de la prison en remboursant le vol. Noble décision qui provoque une série de réactions en chaîne dont pâtissent les dénommés Tanner et profitent, chacun selon ses mérites, les héros de cette histoire toute mousseuse de jeunesse, de gaieté et d'esprit.

Source : Le Livre de Poche, LGF

Livre à plusieurs étages. Qu'on peut prendre d'abord comme un guide où, pour chacun des personnages ou des romans de Balzac, le lecteur trouvera de quoi éclairer et enrichir sa lecture. Qui est aussi, à l'étage au-dessus, un inventaire des prodigieuses richesses de La Comédie humaine, un inventaire de ses quelques deux mille cinq cents personnages tels que, souvent, ils se complètent d'un roman à l'autre, inventaire des passions qui les animent ou des thèmes qui les rassemblent. Essai enfin qui nous apporte un éclairage sur la composition même de l'œuvre.

Livre vivant surtout, qu'on lit avec bonheur, tant Félicien Marceau y a apporté de vivacité, de passion. Sous nos yeux, voici que le monde de Balzac devient ou redevient ce que Balzac voulait qu'il fût : un monde réel, un monde en marche, un monde toujours actuel.

De quoi, aujourd'hui, un homme est-il fait ? Voici une vie. La vie d'un homme de notre époque. De sa naissance, en 1913, dans un village du Brabant, jusqu'à cette course dans la nuit qui, trente et un ans plus tard, devait le conduire à Paris, Félicien Marceau nous livre ici sa jeunesse.

Une jeunesse où chacun retrouvera de soi mais où aussi, à un certain moment, tout va basculer et projeter le héros en quelque sorte hors de sa vie. C'est ce qui donne à ces Mémoires un accent si particulier.

Félicien Marceau y parle de lui, mais il en parle comme d'un autre, avec tendresse, avec rigueur, avec distance. Ce n'est pas une vie d'écrivain. C'est tout ce qui, chez Marceau, précède l'écrivain et l'explique. L'enfance, le vert paradis, l'adolescence, les collèges religieux, les élans de la foi, une jeunesse impatiente, furieuse et en même temps toujours prête à rire, l'université de Louvain, la fondation d'un journal, les amours, Marie-Jeanne (que l'on retrouvera plus tard dans Bergère légère), les premiers pas dans la vie, les premières stupeurs, des enthousiasmes, des naïvetés, des ingénuités de jeune chat, l'armée, deux guerres, un procès, l'armistice en Italie, l'auteur de L'Oeuf et des Elans du coeur nous raconte tout cela dans ce langage direct et rapide qui est le sien et où, sans cesse, le comique alterne avec l'émotion, la drôlerie avec le pathétique.

Un mari de quinze ans, une femme aux prises avec un amant inconnu, le doux chant des fiançailles au creux de l'Amazonie, la croix des vaches promise à une jolie joue napolitaine, un dernier rendez-vous, Amalfi et ses détours, un homme qui se ruine pour des roses, la paix du ménage dans une famille romaine, trois jeunes Danoises perdues dans Paris, telles sont les péripéties de ces ingénus, de ces ingénues, lâchés ici en liberté et que Félicien Marceau nous évoque avec un constant bonheur.

Marseille, Genève, Venise, Rome, Londres, Berlin, Paris... A peine mariés, Figaro et Suzanne, les héros de Beaumarchais, se lancent dans un tour d'Europe ahurissant. Leur voyage de noce ne fait pourtant que commencer... A la vitesse des diligences qui les transportent, d'aventures cocasses en rencontres imprévues, de gaffes rocambolesques en enlèvements spectaculaires, jeune couple n'en finit pas de se perdre... Et de se retrouver ! Le comte Almaviva, commanditaire de la folle équipée, se garde bien, lui, d'intervenir. Pourtant, dans le sillage de la jeune épousée, un ange gardien veille... Ou peut-être un espion... " Peste ! se dit Figaro in petto, qu'est-ce que ça cache ? " Le pauvre homme n'est pas encore au bout de ses surprises !

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode