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Toutes les séries de Francis Bergeron

62 livres
8 lecteurs

Kerlivit, petit port perdu quelque part sur la côte bretonne, est le théâtre de surprenants événements... Six scouts arrivent un certain soir de tempête et vont vivre là une bien étrange et passionnante aventure... Des découvertes inattendues conduiront les garçons à l'aventure et aux dangers d'une incroyable enquête, menée sur un rythme trépidant et sans temps mort. L'auteur est un amoureux de la Bretagne qu'il parcourt inlassablement, et cela s'en ressent...

31 livres
13 lecteurs

Quatre enfants partent à la recherche d'un trésor chouan.

Tous les livres de Francis Bergeron

Léon Daudet: "Je rejoignis avec enthousiasme le petit groupe des nouveaux royalistes; petit par le nombre des adhérents, mais d'une extraordinaire virulence et disposant, dès cette époque, de dévouements complets. Mon esprit, héritier de plusieurs 'blancs' du Languedoc et de l'Ardèche, dont mon grand-père paternel Vincent Daudet, accueillit la vérité politique avec une sorte de passion. Aujourd'hui encore mon coeur bat, quand je songe à cette entrée dans la lumière (1904) après trente-six ans d'obscurité." Voici un personnage extraordinairement fascinant, sorti tout droit du XVIe siècle, un compagnon de Rabelais. Comme Rabelais, il a pratiqué la médecine, comme Rabelais, il écrit avec une richesse de vocabulaire que n'effraient ni la scatologie ni la crudité des scènes et des mots. Jouisseur à l'état pur, au sens jubilatoire que ce mot peut revêtir. Léon Daudet est un amoureux de la vie. Il a été, tour à tour ou simultanément, médecin, romancier, critique, mémorialiste, biographe, pamphlétaire, activiste, exilé, duelliste, député, grand amoureux, procureur, orateur, journaliste, historien, gourmet, adepte des bordels et de l'église, républicain et monarchiste, père de famille, chef de parti, auteur de plus de cent livres. Et il dit quelque part que s'il avait réuni tous ses articles, cela aurait représenté plusieurs centaines de volumes. Du même coup, sa vie, qui couvre toute la IIIe République (fils d'Alphonse Daudet, il naît peu avant l'effondrement du Second Empire), est un roman à elle seule. Un roman à la Dumas, avec des rebondissements à chaque page, des coups d'épée, de la prison, des procès, des morts tragiques. Oui, il s'est trompé, gravement, parfois. Oui, il a été injuste, grossier, outrancier, approximatif, répétitif, colérique. Mais en neuf vies (et plus), tout de même ! Il est humainement impossible d'avoir écrit autant, d'avoir vécu autant, sans se tromper jamais, et c'est pourquoi on ne peut que pardonner ses faiblesses à ce diable d'homme. Léon Daudet, saint laïc, politiquement correct, propre sur lui. Pouah ! Nous le voulons, pour toujours, comme il était réellement. C'est comme cela et pas autrement qu'il est magnifique. "La biographie que lui (à Léon Daudet) consacre Francis Bergeron fera date." (Alain de Benoist, Éléments.) - "Un bon livre à découvrir." (Renaissance des Hommes et des Idées.) - "(...) procurez-vous l'ouvrage de Francis Bergeron: il vous mettra en appétit pour mieux connaître un personnage qui fut l'un des maîtres de l'Action française qui a marqué profondément son temps." (Pierre Pujo, L'Action Française 2000.) - "Francis Bergeron se fait biographe précis et enthousiaste pour faire revivre cette figure inoubliable (...)." (La Nouvelle Revue d'Histoire.) - "Le but de cet opuscule n'est (...) pas l'exhaustivité, mais, fidèle à l'esprit de cette collection, de rendre à leur auteur leur caractère impertinent, de leur redonner en quelque sorte une seconde jeunesse, à l'écart des sentiers universitaires sur les chemins buissonniers qui coupent à travers les champs asséchés du 'politiquement correct' ." (Le Choc du Mois.) - "Le précis biographique illustré de Francis Bergeron nous montre Léon Daudet sous ses différents facettes (...). (Philippe Barthelet, Valeurs actuelles.) - "Francis Bergeron vient de consacrer une excellente monographie - enthousiaste mais dénuée de complaisance - à Léon Daudet." (Marc Laudelout, Le Libre Journal.) - "Merci à Francis Bergeron d'avoir réveillé ou enrichi nos mémoires." (Jean-Paul Angelelli, Rivarol.)

Saint-Loup (1908-1990): «En présence de Waffen SS français, il n existe d autre arbitre que soi-même, le débat qu ils ont ouvert se situant au niveau des guerres de religion. Dans le domaine des guerres de religion, l homme ne connaît plus que sa conscience et sa fureur.» Marc Augier, alias Saint-Loup, fut emporté par le vent de l Histoire, à toute vitesse, mais sans jamais tomber. Il en a tiré une uvre forte et virile, parcourue par un souffle épique. Une uvre peinte à fresques, où des individus et des groupes d in- dividus doivent affronter les bombardements, le rouleau compresseur des chars soviétiques, l épu- ration, les foules ivres de violence, mais aussi la montagne, la neige, le froid polaire, les avalanches, les tempêtes, les poux, l hiver russe, une panne de moteur en altitude ou, simplement, la fatigue au guidon d une moto lancée sur les routes d Europe. Ce qui fascine, chez Saint-Loup, ce sont des valeurs universelles, qui n appartiennent à aucun camp: c est cette vie de sportif, d aventurier, de guerrier. Saint-Loup est le contraire d un idéo- logue. C est un militant, mais ce n est pas un homme du combat des idées. C est un homme d ac- tion, ayant mis ce goût de l action et du risque calculé au service de causes politiques et parfois militaires. Soixante-cinq ans après la fin de la guerre et plus de vingt ans après la chute du mur de Berlin, il est temps de relire son uvre, de la dégager de sa seule dimension hérétique, conséquence de ses quatre années à la LVF et à la Waffen SS. Oui, grâce à ce «Qui suis-je?» Saint-Loup, il faut revisiter ce grand créateur de mythes, et personnage mythique lui-même. "Dans l'excellent essai qu'il lui consacre, Francis Bergeron distingue les périodes de sa vie où il fut tour à tour 'fréquentable' et 'infréquentable'. La vérité oblige à dire que cet 'hérétique' ne devint un maudit qu'après sa mort. Son oeuvre, surtout lue par les adolescents, vaut principalement par ses livres sur la mer, la montagne, le ski, l'automobile ou encore la moto. Saint-Loup s'y affirme comme un professeur d'énergie sans égal." (Alain de Benoist, Éléments.) - "Dans cet essai biographique très complet et remarquablement illustré, Francis Bergeron aborde le sujet avec une rigueur méritoire.(...) (Il) insiste, à juste titre, sur la nécessité d'écarter tout jugement moralisateur. (...). Autant dire que, sans éluder la moindre question gênante, sans se livrer à un plaidoyer qui n'a pas lieu d'être, l'auteur (...) a su trouver le ton juste. Son livre, remarquablement documenté, est une réussite." (P.-L. Moudenc, Rivarol.) - "Gageons que la lecture de cette biographie donnera aux néophytes l'envie de se plonger dans une oeuvre forte, foisonnante... et essentielle." (Bruno Favrit, Réfléchir et Agir.)

Béraud (1885-1958): "Libre écrivain, j'ai écrit, selon ma nature, ce que je croyais juste et vrai (...). Qu'une justice révolutionnaire me frappe pour avoir combattu ses doctrines, soit! Ayant lutté seul, la poitrine découverte, je suis vaincu et me tiens prêt à subir les conséquences de ma défaite. Mais vous tous qui me connaissez, irez-vous laisser ternir mon oeuvre et mon nom? Amis, je vous confie mon destin, mon honneur et ma mémoire." Le destin d'Henri Béraud est fascinant car il tient tout entier dans le demi-siècle précédent : la guerre de 14 avec les amitiés définitives ; la Révolution bolchevique et le fameux reportage Ce que j'ai vu à Moscou ; les scandales de la IIIe République, le 6 février 1934 et les éditoriaux fracassants de Gringoire ; la montée des totalitarismes et Faut-il réduire l'Angleterre en esclavage?, ce cri qui eut tant d'échos ; etc. Pourtant, ne retenir de Béraud que l' oeuvre polémique et politique, celle des années trente et quarante, ce ne serait pas restituer le personnage. Mais, ne retenir de lui que l' oeuvre régionaliste lyonnaise, celle de sa jeunesse, quand il était l'ami des peintres, quand il peignait lui-même, ne le restituerait pas davantage, et cela reviendrait à le mutiler. Dans ce "Qui suis je ?" Béraud, l'auteur a voulu présenter un autre Béraud, plus complet, et, surtout, plus complexe, un Béraud dont la caractéristique fut, sans doute, d'être le chef de file le plus représentatif d'une école littéraire et journalistique que l'on pourrait qualifier de " populiste ". Le jeune Béraud a entraîné dans son sillage lyonnais les Albert Londres, Charles Dullin, Gabriel Chevallier, Marcel Achard. Les amis qu'il se fait à Paris s'appellent Jean Galtier-Boissière, Joseph Kessel, Francis Carco, Pierre Mac-Orlan, Roland Dorgelès, Marcel Prévost, Henri Jeanson, Édouard Helsey, André Billy, Louis Jouvet, Marcel Pagnol ou, encore, les peintres Villeboeuf, Oberlé, Dignimont, Touchagues, etc. Béraud est l'authentique chef de file de cette école, et sa Croisade contre les longues figures montre bien cette ligne de fracture qui partage irrémédiablement les lettres françaises avec, d'un côté, les " gallimardeux ", les " gidards " et, de l'autre, ses amis à lui, bons vivants, gouailleurs et sachant lever le coude autant qu'il est souhaitable. Ce sont des écrivains très français, avec tous les excès - de langue et de plume - que cela peut signifier. Et telle est sa biographie : celle d'un homme qui aimait Wagner et le beaujolais mais pas les Anglais ni les " métèques ", comme Céline et quelques rares autres. "Chez Pardès, dans l'intéressante collection "Qui suis-je?", un essai rapide mais utile: parce qu'il ramène l'attention sur un auteur injustement oublié." (Pol Vandromme, Les Cahiers de La Semaine.) - "Francis Bergeron raconte avec talent la vie étonnante de cet auteur 'maudit, mais inclassable', dont la vie littéraire fut d'abord consacrée à la poésie et à la critique artistique." (Éléments.) - "Un destin émouvant et tragique, que Francis Bergeron fait intensément revivre." (Jean-Paul Angelleli, Rivarol.) - "Voilà un livre qui aidera à sortir du 'littérairement correct', valet du système politique qui opprime notre civilisation." (Lecture et Tradition.) - "Un bon petit livre pour redécouvrir un écrivain dont il serait juste que le martyre cesse." (Aventures et dossiers secrets de l'Histoire.)

Monfreid (1879-1974): «Le monde des vertueux n'a jamais cessé de m'accabler, on m'a voulu négrier, vendeur de femmes, je fus opiomane, mais moi, contrairement à beaucoup d'autres, devant ma glace, chaque matin, je peux me serrer la main.» Henry de Monfreid est, avec Jack London, l'un des seuls authentiques aventuriers-écrivains. L'un tenté par le socialisme, l'autre par le fascisme, tout devrait les opposer, mais leur indifférence au danger et au «qu'en-dira-t-on» les fait se rejoindre dans la quête inassouvie d'un absolu individualiste. L'oeuvre de Monfreid, très autobiographique, se lit comme un roman. Mais, le faux et le vrai se mêlent, surtout quand le héros - lui - a souvent le beau rôle. Ce pourrait être une première raison de ne pas aimer Monfreid. Il y en a mille autres encore: il a vécu du trafic de drogue; il assure ne pas s'être livré à la traite des noirs, mais, là où il vivait, la frontière était étroite entre esclave et serviteur; le trafiquant d'armes qu'il fut peut-il garantir n'avoir jamais traité avec l'ennemi? Toutes ses femmes, européennes ou indigènes, les a-t-il rendues heureuses? Les a-t-il même aimées? Quelle dureté avec certains de ses enfants! Où sont passés les tableaux de Gauguin? Combien de ses employeurs Monfreid a-t-il volé? N'a-t-il pas du sang sur les mains? Opiomane, converti à l' islam, initié à la franc-maçonnerie, peut-il être érigé en modèle? Ce «Qui suis-je?» Monfreid montre que l'auteur des Secrets de la mer Rouge symbolise le génie propre à un Européen, qui, fût-il seul, plongé dans un univers totalement étranger et hostile, sait triompher. Monfreid donne cette leçon de courage: prison, fortune, prison, fortune, prison; les séquences se succèdent, mais, toujours, il relève la tête. C'est bien une sorte de héros, malgré tout. Un homme à admirer. Et à lire. "Combien aventureux et aventurier fut Monfreid! Il fallait pour évoquer sa vie et ses fabuleux récits avoir soi-même tâté aussi un peu d'aventure, même fort différente. (...). Un fabuleux destin et quelle allure!" (Guy Chambarlac, La Nouvelle Revue d'Histoire.) - "(...) une excellente synthèse de sa vie, de ses exploits, de ses livres. (...). Grâce à Francis Bergeron le flibustier à la face d'aigle est ressuscité." (Jean-Paul Angelelli, Rivarol.) - "Toute la vie d'Henry de Monfreid a été une insulte à la morale et au politiquement correct. (...). Le bourlingueur de la mer Rouge a 'mauvais fond'. Mais c'est tout le sel de ce brillant petit ouvrage (...) que de rappeler cette évidence aux tartuffes contemporains qui ne cessent de gommer les aspects jugés les plus déplaisants de l'auteur de La croisière du haschich pour mieux châtrer son oeuvre. (...). On ne fait pas de bonne littérature d'aventures avec de bons sentiments." (Pascal Esseyric, Éléments.) - "Monfreid apparaît non seulement comme un voyou - ce dont il était difficile de ne pas se douter - mais aussi comme un assez joli monstre d'égoïsme. (...). N'empêche, on ferme le livre en songeant: quelle vie!" (Monde et Vie.) - "Francis Bergeron nous retrace fort bien sa vie. (...) un bel hommage et une belle évocation, (...) une excellente invitation au voyage et à la redécouverte de l'oeuvre de Monfreid." (Réfléchir et Agir.)

Hergé (1907-1983) «Tintin, c'était moi, avec tout ce qu'il y a en moi de besoin d'héroïsme, de courage, de droiture, de malice et de débrouillardise. C'était moi et je t'assure que je n'avais pas à me demander si cela plaisait ou non aux gosses.» La vie d'Hergé pourrait se résumer en quelques lignes, tant elle est banale. Son destin est le contraire d'une aventure: il n a jamais eu de véritable engagement, dans aucun domaine: politique, syndical, humanitaire, caritatif. Il ne lui est jamais rien arrivé d'extraordinaire, si ce n'est d'avoir passé une journée et une seule dans une prison, en 1944. Une journée qui l'a profondément marqué. Mais Hergé, c'est bien autre chose: c'est une oeuvre. C'est une vie passée presque entièrement derrière la planche à dessin, un pur travail artistique et d'imagination. Il est, comme l'écrit Robert Poulet, un « Belge moyen [qui] avait une sensibilité d'aristocrate». Jusqu'à Tintin, les bandes dessinées s'adressaient aux enfants, et uniquement sur un mode comique. Elles ne faisaient pratiquement jamais allusion à la politique, à l'actualité, aux faits divers contemporains. Jusqu'à Tintin, aucune histoire dessinée n'avait jamais donné lieu à un vrai scénario. Jusqu'à Tintin, aucune BD ne pouvait se lire «comme un roman». Jusqu'à Tintin, aucun adulte ne pouvait trouver un intérêt soutenu et renouvelé à ce genre de lecture. Le travail d'Hergé appartient désormais au patrimoine universel. Depuis les rivages américains, sous l'impulsion de Steven Spielberg, une marée cinématographique va formidablement relancer le mythe, convertir d'autres générations et d'autres continents au culte hergéen. Eux aussi, à leur tour, «y en a verront Tintin, le boula-matari!», comme nous disent les petits Africains, à la fin de Tintin au Congo. "(...) une précieuse synthèse de quasiment tout ce qui a été écrit sur le sujet. (...) fourmille d'informations tant sur l'homme que sur l'oeuvre, finement commentée. Comme le style en est alerte (...), que l'iconographie, copieuse, a été bien choisie, on recommandera sans réserve cet ouvrage digne d'une collection qui a depuis longtemps fait ses preuves." (P.-L. Moudenc, Rivarol.) - "C'est une biographie 'à la hussarde' (...) on nous raconte Hergé tel qu'en lui-même. Les chapitres de ce petit livre sont une suite d'instantanés, qui le saisissent dans sa légende." (Joël Prieur, Minute.) - "Qui, mieux que Francis Bergeron, tintinophile de l'espèce amoureuse (...) était mieux qualifié (...) pour évoquer le père du petit détective en culottes de golf? Pas grand monde. (...) je confesse que j'ai appris bien des choses que je ne connaissais pas dans cet ouvrage qui deviendra vite un des must de toute bibliothèque tintinophile digne de ce nom."( Alain Sanders, Présent.) - "Un livre passionnant."(Martine Touhet, Télé magazine.) - "(...) sous la plume bien documentée de Francis Bergeron, la vie d'Hergé, discrète, tout entière passée à dessiner les aventures de son personnage à houppette." (Horoscope.) - "En moins de cent pages richement illustrées, vous deviendrez incollables!" (France Dimanche.) - "(...) un bon résumé de la vie d'Hergé, vivant et truffé d'anecdotes." (F. Merle, L'Écho du Berry.) - "Instructif et drôle." (Femme actuelle.) - "Personnalité plus complexe que son personnage, perfectionniste, Hergé mérite aussi que l'on s'attarde sur sa vie restée jusqu'ici dans l'ombre de son héros de papier. Le livre de Francis Bergeron contribue largement à lever un coin du voile." (Ph. Maxence, L'Homme nouveau.)

Paul Chack (1876-1945): «J ai été marin. Quarante années durant, j ai servi dans le Grand Corps. À bord de quinze bâtiments de guerre, j ai exercé à peu près tous les métiers. J ai fait mes premiers quarts à la voile, tour à tour sur deux frégates. J ai parcouru les sept mers et bien des terres [...] J ai commandé un sous-marin en temps de paix et un contre-torpilleur pendant la guerre. Bref, j ai servi.» Les livres de Paul Chack, on les trouve dans toutes les vieilles maisons de bord de mer. De fabuleux tirages ont assuré une énorme diffusion à ces récits maritimes et historiques de l entre-deux-guerres. Et puis Chack n était pas un écrivain. C était un marin qui écrivait. Paul Chack nous emmène des Dardanelles aux brumes du Nord, de patrouilles tragiques en traversées épiques et de naufrages miraculeux en croisières merveilleuses. Ce n est pas tout : raconter Paul Chack, c est aussi donner quelques coups de projecteur sur le monde politique, littéraire et artistique de l entre-deux-guerres et de l Occupation, sur son ami de plume et de Marine, Claude Farrère, ou sur son éditeur, Horace de Carbuccia. Enfin, il y a la face tragique de Chack: les engagements sous l Occupation, l arrestation, le procès : jugé au pire moment de l Épuration, il fut passé par les armes, à cet instant critique de l histoire de la France, ces quelques semaines où le Parti communiste dit «français», stalinien, totalitaire, hideux, s était cru installé définitivement au pouvoir. Dans ce «Qui suis-je ?» Chack, l auteur entend réhabiliter la mémoire de Chack, permettant ainsi de porter un regard plus indulgent sur ceux qui, par un anticommunisme parfaitement légitime et justifié, engagés dans le camp des futurs vaincus, ont basculé du statut de soldats de l Europe à celui de réprouvés, de mauvais Français.

Parce que son père se retrouve au chômage, Augustin doit quitter la mer, le soleil et ses camarades pour commencer une vie nouvelle dans une vieille ferme, au cœur du Berry.

Le jeune garçon est très vite confronté aux événements les plus insolites : l'inquiétant Marcel reçoit d'étranges visites nocturnes, les chèvres tombent malades, la grange prend feu et une sinistre rumeur court sur son grand-oncle, lui valant de rudes persécutions à l'école du village.

Il faudra à Augustin tout son courage, toute sa perspicacité et toute sa bonne humeur, sans oublier l'aide de ses nouveaux amis, les Diables bleus, pour percer le mystère de La Chèvrerie... qui n'est pas celui qu'on imagine.

Maurice Bardèche (1907-1998): «Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l'homme et de la création. Je crois à l'inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de la liberté, à l'hypocrisie de la fraternité. Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d'autres hiérarchies que celle de l'argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner c'est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré.» Normalien jusqu'au bout des ongles, professeur sans élèves, politique sans militants, fasciste autoproclamé, quand tous les vrais fascistes étaient morts et quand ce qualificatif n'était plus qu'une injure... L'histoire de Bardèche, c'est d'abord l'histoire d'une extraordinaire amitié, d'une amitié littéraire et politique, d'une amitié d'hommes, aussi. Robert Brasillach a littéralement illuminé la jeunesse de Bardèche. Dans la seconde partie de sa vie, Bardèche a en quelque sorte essayé de payer sa dette. Son oeuvre de mémoire et de réhabilitation, c'est la poursuite de cette amitié, d'un dialogue par-delà la mort. Il y a ensuite son travail de type universitaire sur Balzac et Stendhal. Bardèche a renouvelé en profondeur le regard que l'on portait sur ces deux géants de la littérature. Si Bardèche n'avait pas été embarqué par les soubresauts de l'histoire, il ne resterait que cela, mais cela resterait. Enfin, l'aspect le plus controversé : c'est le Bardèche révisionniste. Il serait facile de passer rapidement sur ses pamphlets et de rejeter dans la nuit de l'oubli sa revue Défense de l'Occident. Pourtant, ses exercices de «lecture à l'envers de l'histoire », comme il les appelait lui-même, font partie des points les plus détonants de son discours. Ils démontrent son courage tranquille et ne peuvent que susciter l'admiration. Le scandale, qu'on le veuille ou non, est moins dans les propos et les écrits de Bardèche que dans l'interdiction de pouvoir les tenir, aujourd'hui. Bardèche avait osé braver ces tabous, en son temps, ce qui lui valut la prison. "Cette longue vie de 90 années et cette oeuvre littéraire, politique et idéologique exceptionnelle est exposée avec lucidité, honnêteté et impartialité dans le petit livre très bien documenté de Francis Bergeron qui l'a complété par une illustration d'un grand intérêt." (Jérôme Seguin, Lectures françaises.) - "Lisez vite cette petite biographie de Francis Bergeron qui vous fera comprendre la taille de ce normalien, agrégé de lettres qui aurait pu avoir la carrière d'un Pompidou ou être académicien, dont la carrière fut brisée par son soutien sans faille à son ami Robert Brasillach." (Anne Brassié, Présent.)

Léon Degrelle (1906-1994): « Seule compte la foi, la confiance brûlante, l'absence complète d'égoïsme et d'individualisme, la tension de tout l'être vers le service, si ingrat soit-il, n'importe où, n'importe comment, d'une cause qui dépasse l'homme, lui demandant tout, ne lui promettant rien. » (1944.)

Degrelle a été un vrai héros de roman à la Alexandre Dumas, un personnage fascinant, digne des plus grandes épopées, avec sa part de faconde, de farce, de grandiloquence, d'auto-justifications, d'aveuglement, d'échecs, mais aussi d'héroïsme, de grandeur, de tragédie.

Écrivain précoce, curieux de tout, Léon Degrelle a effectué son premier reportage au Mexique à 23 ans. Puis, ce militant catholique, ami d'Hergé, polémiste dans l'âme, s'est lancé bruyamment dans la politique en faisant de Rex, journal et maison d'édition de l'Action catholique belge, un parti qui obtiendra vingt et un députés et onze sénateurs en mai 1936.

Député de Bruxelles en avril 1939, son immunité parlementaire est bafouée par une arrestation arbitraire en mai 1940. Méprisé par les autorités allemandes d'occupation de la Belgique, il prendra sa revanche sur le front de l'Est : engagé comme simple soldat sous uniforme allemand, en août 1941, il terminera la guerre, à 38 ans, avec le titre de commandeur de la division SS Wallonie.

Par sa force de conviction, sa lecture de l'Histoire et son talent d'écrivain (La Campagne de Russie 1941-1945), il s'efforcera de nous convaincre que la croisade anti-bolchévique était une guerre juste, faite d esprit de sacrifice et de don de soi.

Ce «Qui suis-je ?» Degrelle retrace la vie tumultueuse de cet ancien militant de la jeunesse catholique belge, personnage à multiples facettes et au destin exceptionnel, qui, après 1945, de son exil en Espagne, se fera le metteur en scène de sa propre gloire.

Fin connaisseur et amateur au sens fort du terme : celui qui aime de la bande dessinée de l'Age d'Or, Francis Bergeron se penche sur la vie et l'oeuvre d'un géant du 9e Art, Jean-Michel Charlier.

On doit à ce grand Belge (et, sans la Belgique, la BD ne serait pas ce qu'elle est) des dizaines et des dizaines de belles histoires. A commencer par celles dites de l'Oncle Paul. Mais aussi des héros qui font partie de notre patrimoine culturel : de Barbe-Rouge à Blueberry en passant par Buck Danny, Tanguy et Laverdure, Marc Dacier, les p'tits gars de la Patrouille des Castors, etc. Jean-Michel Charlier fut un homme rare.

Aventurier, pilote de ligne (pour la légendaire Sabena), écrivain, journaliste, homme de télé et, the last but not the least, co-créateur, avec Goscinny, de Pilote en 1960.

Au fil de pages bourrées d'anecdotes, d'informations peu connues, voire inédites, Francis Bergeron nous donne à (re)découvrir ce créateur, au même titre que Hergé, Edgar P. Jacobs, Franquin et Cie, d'un monde où puiser de belles leçons de courage.

En raison de ses convictions solides, il fut persona non grata au très politiquement correct Festival d'Angoulême. Et ça, ça vaut toutes les légions d'honneur.

Georges Remi, issu de la petite bourgeoisie catholique de Belgique, aura mené une vie modeste, discrète et lisse, qui ne fut guère marquée que par trois événements : le scoutisme, une nuit passée en prison, le 11 septembre 1944, et son divorce.

Hergé, quant à lui, est le « fils » de l'abbé Norbert Wallez. C'est l'abbé Wallez qui identifie le talent de ce jeune employé du service des abonnements du Vingtième siècle, le quotidien catholique de Bruxelles. Et voici Tintin. Il est le fruit d une imagination.

Et même de plusieurs : celle de l'abbé Wallez, d'abord. Mais aussi celle du dessinateur Hergé. C'est grâce à l'abbé que Tintin n a pas les oreilles de Mickey ou une truffe à la façon des chiens de Benjamin Rabier. Alors, de qui a-t-il la tête ?

Du Belge Léon Degrelle, certainement, et du frère de Georges Remi, Paul, de cinq ans son cadet. Autant Georges Remi fut le plus bruxellois des Belges, et Hergé le plus sédentaire des dessinateurs, autant Tintin aura parcouru l'Europe et le monde, jusqu'à la lune !

C'est cet étonnant contraste que raconte ce livre.

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