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Tous les livres de Gabriele D'Annunzio

Roman, 3e volet de la trilogie "Romanzi de la rosa". Partiellement publié, sous le titre "L'invincible", dans la "Tribuna" illustrata", 6 janvier-16 mars 1890, puis, dans sa version définitive, dans "Il Mattino", 12 février 1893-17 juin 1894

Publié en 1900, Le Feu fait partie des romans mythiques de la littérature italienne. Il met en scène Stelio, poète et dramaturge chantre de la nouvelle Italie qui veut restaurer l’Empire romain, et sa maîtresse la Foscarina, tragédienne sublime mais plus âgée que lui. Tourmentée par la jalousie, elle acceptera de se sacrifier pour la gloire de son jeune amant. S’il peut se lire avant tout comme le récit des amours de son auteur avec la Duse, comédienne célèbre et rivale de Sarah Bernhardt, Le Feu est aussi un hymne à Venise, ville luxurieuse et royale, et un roman expérimental dans lequel D’Annunzio rompait audacieusement avec le récit réaliste et naturaliste alors en vigueur.

"Les Laudi" de Gabriele D'Annunzio se divisent en cinq livres. Le projet de l'auteur avait été de consacrer un livre à chaque étoile de la Pléïade, ce qui portait le nombre total à sept. Or, il s'est arrêté à cinq parties dont les titres sont les suivants : "Maia", "Elettra", "Alcyone", "Merope ou Chants de la guerre d'outre-mer", "Asterope ou Chants de la guerre latine". Le thème principal de ce recueil est le voyage spirituel qui porte à la fusion des éléments de l'esthétique décadente et la figure du surhomme de Nietzsche.

Odieuse marâtre ! Inflexible belle-mère ! Hippolyte beau-fils maudit, en sait quelque chose... Son prénom, même, est banni du royaume ! Mais que cache Phèdre sous cette cruelle apparence ? Quel secret ? Quel mystère ? Maintenant, elle se meurt. Serait-ce l'inquiétude qui la ronge alors qu'elle est sans nouvelles du roi depuis des mois ? De quel mal souffre-t-elle ? L'issue semble fatale et ressemble étrangement à une délivrance ! Si seulement les dieux pouvaient l'apaiser... Hélas ! Eux-mêmes sont impuissants. Et puis, à tant les solliciter, ne risque-t-on pas d'attiser leur colère ? La tragédie est en marche..

LE MARTYRE DE SAINT SEBASTIEN

MYSTERE composé en rythme français par GABRIELE DANNUNZIO et joue a PARIS sur la scène du CHATELET LE XXII M A I M C M X I

Musique DE CLAUDE DEBUSSY.

La Belle Époque touche à sa fin. Le 13 juin 1913 est créée au théâtre du Châtelet à Paris une œuvre rutilante et hybride : la pisanelle ou la mort parfumée, texte français du dramaturge italien Gabriele d’Annunzio. La participation russe est prépondérante : Lev Bakst pour le décor, Ida Rubinstein dans le rôle principal, Vsevolod Meyerhold pour la mise en scène. La richissime actrice est la commanditaire du spectacle dont la chaude volupté répond à ses vœux. D’Annunzio a voulu dans cette œuvre faire se mesurer latinité et orientalisme. Les circonstances qui ont procédé à la création de la pièce dans l’atmosphère survoltée d’une vie artistique dominée par les Ballets Russes font l’objet de cet article

Voici le texte ultime du poète ultime d'un siècle ultime. Le Nocturne de Gabriele D'Annunzio est tout à la fois révélateur terrifiant des temps qui viennent, indicateur grave des temps qui furent, métaphore mélancolique et métaphorique d'une société explosée à force de renoncements déjà. Nous sommes à la toute fin du XIXe siècle, c'est-à-dire en plein cœur de la Grande Guerre. 1916. Grièvement blessé, le poète-combattant Gabriele D'Annunzio, héros mondial d'une Italie encore à inventer, passe des nuits de souffrance dans l'obscurité inquiétante d'une pièce en forme de champ clos. Et crise après crise il va décrire-prédire de façon hallucinante. Tel un prophète hésitant à franchir le pas de la porte illuminante du futur. Il fait sombre, il fait nuit noire... Apologie d'une écriture engagée, annonciatrice de Thomas Edward Lawrence et de Che Guevara, l'œuvre tragique est paradoxalement composée de lignes lumineuses et mélancoliques écrites avec le sang. Le romantisme et le baroque composent alors une incroyable mélodie en forme d'hymne littéraire à l'usage de la jeunesse éternelle.

Qu'évoquent aujourd'hui, pour un lecteur non averti ou rêveur, des « nouvelles de la Pescara » ? La Pescara : une créature féminine ? Quelque lieu destiné à la pêche ? Une ville ? Un fleuve ? En fait, il s'agit bien du fleuve qui baigne la ville du même nom : « nouvelles de la Pescara » et non « nouvelles de Pescara ». Cet article défini, qui apporte au titre une infinie douceur, amarre le recueil au fleuve qui se jette dans l'Adriatique, et pas seulement au port des Abruzzes où naquit D'Annunzio en 1863. Nouvelles à la fois d'une terre, d'un fleuve et d'un homme, qui ont été rassemblées sous ce titre en 1902.

C'est en 1889 que Gabriele D'Annunzio (1863-1938) publie son premier chef-d'œuvre, L'Enfant de volupté («Il Piacere»). Son héros, Andrea Sperelli, aristocrate raffiné, artiste classicisant et précieux, a pris pour dieu l'amour. Amour sensuel qui le lie à la brûlante et maladive Elena, amour plus spirituel, poétique, de Maria : deux formes du désir qu'il rêve d'harmoniser dans une synthèse parfaite. Le luxe des bals et des palais romains, les splendeurs baroques de la Ville éternelle secrètement hantée par la mort, forment le décor somptueux et pathétique de cette quête promise à l'échec. Sensualité et spiritualité, culte du Surhomme nietzschéen et fascination de la morbidezza, exaltation du Moi et tentative désespérée de conjurer la faiblesse intérieure : dans ce roman suave et sombre, où l'on a pu voir l'expression achevée du «décadentisme», se réfractent tous les thèmes de l'œuvre de D'Annunzio - et la sensibilité même de sa «fin de siècle».

Loin du monde, au bord de la Lande inquiétante, mais au cœur d'un univers plus factice, celui de la Ville d'hiver d'Arcachon, Desiderio Moriar s'éprend d'une femme qu'il reconnaît : tout dans son attitude trahit la parenté avec l'antique Léda conquise par Zeus sous les allures d'un cygne. Possédé par cette apparition fugace, il va se laisser gagner par l'euphorie douloureuse d'un sentiment dont, devant nous, se dessinent les subtilités de la cristallisation. Grâce à la mystérieuse beauté de sa langue, Gabriele D'Annunzio, qui composa ce court roman lors de son exil atlantique, nous fait pénétrer dans les méandres d'une âme poursuivie par l'image obsédante d'un amour impossible. Cette variation amoureuse, où le désespoir vient épouser la lucidité et l'ironie, nous rappelle le talent de celui en qui Cocteau voyait " le seul à savoir lire les étoiles dans les ténèbres du cœur humain ".

Ce livre est la reproduction fidele d'une oeuvre publiee avant 1920 et fait partie d'une collection de livres reimprimes a la demande editee par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliotheque nationale de France, offrant l'opportunite d'acceder a des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.

Les oeuvres faisant partie de cette collection ont ete numerisees par la BnF et sont presentes sur Gallica, sa bibliotheque numerique.

En entreprenant de redonner vie a ces ouvrages au travers d'une collection de livres reimprimes a la demande, nous leur donnons la possibilite de rencontrer un public elargi et participons a la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.

Nous avons cherche a concilier la reproduction fidele d'un livre ancien a partir de sa version numerisee avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous esperons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entiere satisfaction.

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